L'Algérie a investi trois milliards de dinars (environ 40 millions de dollars), en cinq ans, dans la modernisation des infrastructures de contrôle aérien et la formation "illimitée et continue" des personnels de la circulation aérienne, a indiqué lundi, à Alger, le ministre des Transports, M. Mohamed Maghlaoui. "L'Algérie a investi 3 milliards de dinars dans la modernisation des infrastructures de contrôle aérien et la formation des personnels de la circulation aérienne", a déclaré le ministre en marge de l'ouverture des travaux de la 18ème conférence régionale Afrique-Moyen-Orient de la Fédération internationale des contrôleurs de trafic aérien (IFATCA). M. Maghlaoui a insisté sur la formation "sans limite" du contrôleur aérien, mais aussi de tout le personnel chargé de l'exploitation comme les ingénieurs et les techniciens de la maintenance technique. Dans une première phase, l'Algérie a mis en place, en 2003, un système de haute technologie en matière de contrôle et de sécurité aériennes, désigné par système de "traitement automatique des fonctions de la circulation aérienne (TRAFCA)". Dans une deuxième phase, l'Algérie a entrepris de réaliser un plan de développement de la gestion de l'espace aérien (PDGEA) dont l'objectif est d'assurer le contrôle radar de tout l'espace aérien algérien, a-t-il ajouté. L'Algérie a investi trois milliards de dinars (environ 40 millions de dollars), en cinq ans, dans la modernisation des infrastructures de contrôle aérien et la formation "illimitée et continue" des personnels de la circulation aérienne, a indiqué lundi, à Alger, le ministre des Transports, M. Mohamed Maghlaoui. "L'Algérie a investi 3 milliards de dinars dans la modernisation des infrastructures de contrôle aérien et la formation des personnels de la circulation aérienne", a déclaré le ministre en marge de l'ouverture des travaux de la 18ème conférence régionale Afrique-Moyen-Orient de la Fédération internationale des contrôleurs de trafic aérien (IFATCA). M. Maghlaoui a insisté sur la formation "sans limite" du contrôleur aérien, mais aussi de tout le personnel chargé de l'exploitation comme les ingénieurs et les techniciens de la maintenance technique. Dans une première phase, l'Algérie a mis en place, en 2003, un système de haute technologie en matière de contrôle et de sécurité aériennes, désigné par système de "traitement automatique des fonctions de la circulation aérienne (TRAFCA)". Dans une deuxième phase, l'Algérie a entrepris de réaliser un plan de développement de la gestion de l'espace aérien (PDGEA) dont l'objectif est d'assurer le contrôle radar de tout l'espace aérien algérien, a-t-il ajouté.