Le métier de pompiers est désormais classé comme "peut-être cancérogène", par le Centre international de recherche sur le cancer (IARC/CIRC), agence cancer de l'Organisation mondiale de la santé (OMS). Les études épidémiologiques sur les pompiers notent un excès de risque de cancers par comparaison avec la population générale, a souligné vendredi l'agence cancer de l'OMS. Cette décision est la conclusion d'un groupe de 24 experts de dix pays réunis en octobre au CIRC, basé à Lyon. Ce sont ces mêmes experts qui ont classé comme "probablement cancérogène" le travail de nuit posté. Ils ont rédigé un résumé de leurs conclusions, qui porte également sur le métier de peintre, classé depuis 1989 comme "cancérogène" pour les humains, dans la revue médicale britannique Lancet Oncology. Les résultats complets de leurs travaux paraîtront en 2008 dans le volume 98 des monographies du CIRC où sont classés notamment divers produits et substances certainement, probablement ou peut-être cancérogènes. Le métier de pompiers est désormais classé comme "peut-être cancérogène", par le Centre international de recherche sur le cancer (IARC/CIRC), agence cancer de l'Organisation mondiale de la santé (OMS). Les études épidémiologiques sur les pompiers notent un excès de risque de cancers par comparaison avec la population générale, a souligné vendredi l'agence cancer de l'OMS. Cette décision est la conclusion d'un groupe de 24 experts de dix pays réunis en octobre au CIRC, basé à Lyon. Ce sont ces mêmes experts qui ont classé comme "probablement cancérogène" le travail de nuit posté. Ils ont rédigé un résumé de leurs conclusions, qui porte également sur le métier de peintre, classé depuis 1989 comme "cancérogène" pour les humains, dans la revue médicale britannique Lancet Oncology. Les résultats complets de leurs travaux paraîtront en 2008 dans le volume 98 des monographies du CIRC où sont classés notamment divers produits et substances certainement, probablement ou peut-être cancérogènes.