Le Centre international de recherche sur le cancer (IARC/CIRC), l'agence chargée du cancer de l'Organisation mondiale de la santé, estime que les coiffeurs pourraient encourir un risque accru de cancer en raison des colorants et d'autres produits chimiques qu'ils utilisent. Dans le numéro d'avril de la revue spécialisée britannique The Lancet Oncology, l'agence de l'OMS, dont le siège est à Lyon (France), estime que le métier de coiffeur est classé comme cancérogène "probable". 17 experts de sept pays réunis en février à Lyon (France) ont passé en revue les données portant sur un certain nombre de produits chimiques. Ils ont ainsi identifié quelques substances —des amines aromatiques— supplémentaires comme cancérogènes. Une longue "monographie" sur le métier de coiffeurs détaillant les produits qu'ils manipulent a été mise en ligne pour accompagner la parution de Lancet Oncology. Cependant, la dernière mise à jour à ce sujet paraîtra dans le volume 99 de ces monographies, précise le CIRC. Le Centre international de recherche sur le cancer (IARC/CIRC), l'agence chargée du cancer de l'Organisation mondiale de la santé, estime que les coiffeurs pourraient encourir un risque accru de cancer en raison des colorants et d'autres produits chimiques qu'ils utilisent. Dans le numéro d'avril de la revue spécialisée britannique The Lancet Oncology, l'agence de l'OMS, dont le siège est à Lyon (France), estime que le métier de coiffeur est classé comme cancérogène "probable". 17 experts de sept pays réunis en février à Lyon (France) ont passé en revue les données portant sur un certain nombre de produits chimiques. Ils ont ainsi identifié quelques substances —des amines aromatiques— supplémentaires comme cancérogènes. Une longue "monographie" sur le métier de coiffeurs détaillant les produits qu'ils manipulent a été mise en ligne pour accompagner la parution de Lancet Oncology. Cependant, la dernière mise à jour à ce sujet paraîtra dans le volume 99 de ces monographies, précise le CIRC.