Les chirurgiens pédiatres, les oncologues pédiatres et radiothérapeutes ont souligné le manque terribles de moyens et de structures spécialisées pour prendre en charge les enfants atteints de cancer. Les chirurgiens pédiatres, les oncologues pédiatres et radiothérapeutes ont souligné le manque terribles de moyens et de structures spécialisées pour prendre en charge les enfants atteints de cancer. La Société Algérienne d'Oncologie Pédiatrique (SAOP), a organisé hier à la bibliothèque d'El-Hamma à Alger, les septièmes journées nationales d'oncologie pédiatrique, étalées sur deux jours, ayant pour thème principal les néphroblastomes (tumeur maligne du rein) de l'enfant. Ces journées ont réuni des médecins de plusieurs spécialités venus d'Alger ou de l'intérieur du pays, notamment les chirurgiens pédiatres, les oncologues pédiatres, les oncologues radiothérapeutes qui ont présenté des communications par lesquelles ils ont souligné le manque terribles de moyens et de structures spécialisées pour prendre en charge les enfants atteints de cancer. Pourtant, ces praticiens s'estiment assez compétents et ce n'est pas non plus le manque de volonté qui leur fait défaut pour prendre en charge les enfants cancéreux. «Ce sont surtout l'environnement inadéquat, le manque d'organisation et de moyens financiers qui font que ces enfants malades ne bénéficient pas tous des soins, après une thérapeutique lourde, ce qui est frustrant pour chaque médecin qui prend en charge le cancer de l'enfant», affirme le Pr R. Boukhari Spécialiste en pédiatrie à l'hôpital de Blida. En effet, les communicants ont tous déploré cet état de fait, parce qu'effectivement les moyens environnementaux (la transfusion sanguine, certaines explorations approfondies, le problème d'hébergement et de transport des enfants malades…), sont loin de répondre aux besoins des médecins qui se soucient de l'avenir de ces enfants cancéreux. Ce que souhaitent ces spécialistes, c'est que les autorités se penchent un peu plus sur cette catégorie de patients et pensent à lui créer des services, des structures spécialisées pour traiter le cancer de l'enfant, comme également, ces derniers doivent bénéficier d'un plateau technique, de médicaments (chimiothérapie), de bilan d'exploration (radiologie, biologie…), enfin d'une prise en charge totale. A ce sujet le Pr M. Afiane, chef de service de l'oncologie radiothérapie et président du centre national contre le cancer, se dit optimiste et redonne une lueur d'espoir à l'assistance en affirmant que «le ministre de la Santé a annoncé la construction de plusieurs centres anti-cancer où nous allons inclure des établissements d'oncologie pédiatrique pourvus de tous les moyens nécessaires», annonce t-il. Reste après, «le problème d'organisation qui dépend des pédiatres pour les soins et qui doivent également faire des propositions pour bien gérer ces futures services», ajoute le Pr Afiane. En attendant, ces médecins spécialistes doivent travailler avec les moyens du bord, et les parents d'enfants cancéreux ainsi que les malades eux même doivent garder l'espoir d'un lendemain meilleur, inchallah. La Société Algérienne d'Oncologie Pédiatrique (SAOP), a organisé hier à la bibliothèque d'El-Hamma à Alger, les septièmes journées nationales d'oncologie pédiatrique, étalées sur deux jours, ayant pour thème principal les néphroblastomes (tumeur maligne du rein) de l'enfant. Ces journées ont réuni des médecins de plusieurs spécialités venus d'Alger ou de l'intérieur du pays, notamment les chirurgiens pédiatres, les oncologues pédiatres, les oncologues radiothérapeutes qui ont présenté des communications par lesquelles ils ont souligné le manque terribles de moyens et de structures spécialisées pour prendre en charge les enfants atteints de cancer. Pourtant, ces praticiens s'estiment assez compétents et ce n'est pas non plus le manque de volonté qui leur fait défaut pour prendre en charge les enfants cancéreux. «Ce sont surtout l'environnement inadéquat, le manque d'organisation et de moyens financiers qui font que ces enfants malades ne bénéficient pas tous des soins, après une thérapeutique lourde, ce qui est frustrant pour chaque médecin qui prend en charge le cancer de l'enfant», affirme le Pr R. Boukhari Spécialiste en pédiatrie à l'hôpital de Blida. En effet, les communicants ont tous déploré cet état de fait, parce qu'effectivement les moyens environnementaux (la transfusion sanguine, certaines explorations approfondies, le problème d'hébergement et de transport des enfants malades…), sont loin de répondre aux besoins des médecins qui se soucient de l'avenir de ces enfants cancéreux. Ce que souhaitent ces spécialistes, c'est que les autorités se penchent un peu plus sur cette catégorie de patients et pensent à lui créer des services, des structures spécialisées pour traiter le cancer de l'enfant, comme également, ces derniers doivent bénéficier d'un plateau technique, de médicaments (chimiothérapie), de bilan d'exploration (radiologie, biologie…), enfin d'une prise en charge totale. A ce sujet le Pr M. Afiane, chef de service de l'oncologie radiothérapie et président du centre national contre le cancer, se dit optimiste et redonne une lueur d'espoir à l'assistance en affirmant que «le ministre de la Santé a annoncé la construction de plusieurs centres anti-cancer où nous allons inclure des établissements d'oncologie pédiatrique pourvus de tous les moyens nécessaires», annonce t-il. Reste après, «le problème d'organisation qui dépend des pédiatres pour les soins et qui doivent également faire des propositions pour bien gérer ces futures services», ajoute le Pr Afiane. En attendant, ces médecins spécialistes doivent travailler avec les moyens du bord, et les parents d'enfants cancéreux ainsi que les malades eux même doivent garder l'espoir d'un lendemain meilleur, inchallah.