Les ministres des Affaires étrangères de plus de 60 pays africains et européens ont entamé, hier matin dans la ville balnéaire de Charm El Cheikh (Egypte), une réunion préparatoire au 2e sommet Afrique-Europe prévu les 8 et 9 décembre à Lisbonne. La réunion à laquelle l'Algérie participe avec une délégation conduite par M. Abdelkader Messahel, ministre délégué chargé des Affaires maghrébines et africaines, a été précédée d'un dîner de travail qui a réuni, mardi soir, les ministres africains et européens des AE. Tôt le matin, les ministres des AE et les chefs de délégation européens ont tenu une réunion de concertation à huis clos sur la stratégie euro-africaine et les moyens à même de renforcer la coopération entre les deux parties. Les ministres doivent examiner lors de cette réunion préparatoire, les documents finaux à soumettre aux chefs d'Etat et de gouvernement dont le partenariat stratégique entre l'Europe et l'Afrique, le cadre institutionnel, les mécanismes de suivi et de mise en œuvre dont le financement et la déclaration de Lisbonne. Le document relatif au partenariat stratégique souligne l'importance de la paix et de la sécurité en tant que condition sine qua non du développement aux plans politique, économique et social et traite également de la bonne gouvernance et des droits de l'Homme. Il s'agit en outre du soutien à la suprématie de la Loi à travers la consolidation du rôle du parlement, des institutions en charge des droits de l'Homme et des organisations de la société civile. La stratégie vise, également, à améliorer le climat des investissements dans le continent africain et à développer ses capacités de production, résoudre la question de l'émigration clandestine et lutter contre les changements climatiques. La déclaration finale devant sanctionner la réunion de Charm El Cheikh traitera du dialogue Afrique-Union européenne et réaffirmera l'importance d'un partenariat stratégique entre les deux ensembles. Le sommet a été sanctionné par une déclaration et un plan d'action définissant les grandes lignes de la coopération commune, les relations entre les pays des deux continents et les moyens de faire face aux problèmes de développement socio-économiques. Les ministres des Affaires étrangères de plus de 60 pays africains et européens ont entamé, hier matin dans la ville balnéaire de Charm El Cheikh (Egypte), une réunion préparatoire au 2e sommet Afrique-Europe prévu les 8 et 9 décembre à Lisbonne. La réunion à laquelle l'Algérie participe avec une délégation conduite par M. Abdelkader Messahel, ministre délégué chargé des Affaires maghrébines et africaines, a été précédée d'un dîner de travail qui a réuni, mardi soir, les ministres africains et européens des AE. Tôt le matin, les ministres des AE et les chefs de délégation européens ont tenu une réunion de concertation à huis clos sur la stratégie euro-africaine et les moyens à même de renforcer la coopération entre les deux parties. Les ministres doivent examiner lors de cette réunion préparatoire, les documents finaux à soumettre aux chefs d'Etat et de gouvernement dont le partenariat stratégique entre l'Europe et l'Afrique, le cadre institutionnel, les mécanismes de suivi et de mise en œuvre dont le financement et la déclaration de Lisbonne. Le document relatif au partenariat stratégique souligne l'importance de la paix et de la sécurité en tant que condition sine qua non du développement aux plans politique, économique et social et traite également de la bonne gouvernance et des droits de l'Homme. Il s'agit en outre du soutien à la suprématie de la Loi à travers la consolidation du rôle du parlement, des institutions en charge des droits de l'Homme et des organisations de la société civile. La stratégie vise, également, à améliorer le climat des investissements dans le continent africain et à développer ses capacités de production, résoudre la question de l'émigration clandestine et lutter contre les changements climatiques. La déclaration finale devant sanctionner la réunion de Charm El Cheikh traitera du dialogue Afrique-Union européenne et réaffirmera l'importance d'un partenariat stratégique entre les deux ensembles. Le sommet a été sanctionné par une déclaration et un plan d'action définissant les grandes lignes de la coopération commune, les relations entre les pays des deux continents et les moyens de faire face aux problèmes de développement socio-économiques.