Ce congrès intervient dans un contexte marqué par les négociations en cours entre le Front Polisario et le Maroc, sous les auspices des Nations unies, dont le but est de parvenir à une solution politique du conflit du Sahara Occidental. Ce congrès intervient dans un contexte marqué par les négociations en cours entre le Front Polisario et le Maroc, sous les auspices des Nations unies, dont le but est de parvenir à une solution politique du conflit du Sahara Occidental. Le Front Polisario tient à partir de demain vendredi son douzième congrès, à Tifariti, dans les territoires sahraouis libérés, avec pour thème "Lutte généralisée pour imposer la souveraineté et l'indépendance totale" du Sahara Occidental, colonisé par le Maroc depuis 1975. Ce congrès intervient dans un contexte marqué par les négociations en cours entre le Front Polisario et le Maroc, sous les auspices des Nations unies, dont le but est de parvenir à une solution politique du conflit du Sahara Occidental qui respecte le droit à l'autodétermination du peuple sahraoui. "C'est un congrès ordinaire qui se tient dans des circonstances extraordinaires", résume l'ambassadeur sahraoui à Alger, M. Mohamed Yesslem Beïssat, dans une déclaration à l'APS. "C'est le premier congrès que tient le Polisario depuis le début des négociations (de Manhasset) et le premier également depuis le déclenchement de l'intifada pacifique pour l'indépendance, dans les territoires occupés du Sahara Occidental, en mai 2005", explique-t-il. Ce sont-là "deux évènements majeurs qui se sont produits pendant la période qui a suivi la tenue du onzième congrès, en octobre 2003, à Tifariti justement, sur la terre que les Sahraouis ont libérée par les armes", relève M. Beïssat. Concernant le slogan adopté pour ce 12e congrès, le diplomate sahraoui le résume ainsi : "négocier (avec le Maroc) n'est pas un but en soi. Le Front Polisario peut continuer à négocier et en même temps engager d'autres moyens dont il dispose pour arracher ses droits légitimes, comme la lutte armée, l'initifadha ou la désobéissance civile", affirme-t-il. A l'ordre du jour de ce congrès, comme résumé par le ministre de la diaspora sahraouie, M. Khalil Sidi M'hamed, "Les domaines de la lutte légitime des Sahraouis pour leur autodétermination sont politique, diplomatique, militaire et médiatique, et ces différents aspects seront examinés lors du congrès" et puis une "évaluation du bilan de la direction du Front Polisario", a-t-il indiqué. Ce congrès verra la participation d'environ 1.800 délégués élus par la "base" lors de rassemblements populaires. Le congrès est la plus haute instance décisionnelle du Front Polisario. Il se tient tous les trois ou quatre ans et élit notamment son secrétaire général, qui devient en même temps président de la République arabe sahraouie démocratique (RASD), proclamée le 27 février 1976. Le Front Polisario tient à partir de demain vendredi son douzième congrès, à Tifariti, dans les territoires sahraouis libérés, avec pour thème "Lutte généralisée pour imposer la souveraineté et l'indépendance totale" du Sahara Occidental, colonisé par le Maroc depuis 1975. Ce congrès intervient dans un contexte marqué par les négociations en cours entre le Front Polisario et le Maroc, sous les auspices des Nations unies, dont le but est de parvenir à une solution politique du conflit du Sahara Occidental qui respecte le droit à l'autodétermination du peuple sahraoui. "C'est un congrès ordinaire qui se tient dans des circonstances extraordinaires", résume l'ambassadeur sahraoui à Alger, M. Mohamed Yesslem Beïssat, dans une déclaration à l'APS. "C'est le premier congrès que tient le Polisario depuis le début des négociations (de Manhasset) et le premier également depuis le déclenchement de l'intifada pacifique pour l'indépendance, dans les territoires occupés du Sahara Occidental, en mai 2005", explique-t-il. Ce sont-là "deux évènements majeurs qui se sont produits pendant la période qui a suivi la tenue du onzième congrès, en octobre 2003, à Tifariti justement, sur la terre que les Sahraouis ont libérée par les armes", relève M. Beïssat. Concernant le slogan adopté pour ce 12e congrès, le diplomate sahraoui le résume ainsi : "négocier (avec le Maroc) n'est pas un but en soi. Le Front Polisario peut continuer à négocier et en même temps engager d'autres moyens dont il dispose pour arracher ses droits légitimes, comme la lutte armée, l'initifadha ou la désobéissance civile", affirme-t-il. A l'ordre du jour de ce congrès, comme résumé par le ministre de la diaspora sahraouie, M. Khalil Sidi M'hamed, "Les domaines de la lutte légitime des Sahraouis pour leur autodétermination sont politique, diplomatique, militaire et médiatique, et ces différents aspects seront examinés lors du congrès" et puis une "évaluation du bilan de la direction du Front Polisario", a-t-il indiqué. Ce congrès verra la participation d'environ 1.800 délégués élus par la "base" lors de rassemblements populaires. Le congrès est la plus haute instance décisionnelle du Front Polisario. Il se tient tous les trois ou quatre ans et élit notamment son secrétaire général, qui devient en même temps président de la République arabe sahraouie démocratique (RASD), proclamée le 27 février 1976.