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Le silence pesant des ONG
Plus de cinq jours après les attentats
Publié dans Le Midi Libre le 16 - 12 - 2007

Des dizaines de morts et plus d‘une centaine de blessés dans les deux attentats kamikaze perpétrés mardi dernier à Alger. Deux institutions, l‘une nationale, le Conseil constitutionnel et l‘autre internationale, le HCR (Haut commissariat aux réfugiés), dépendant de l‘ONU (Organisation des Nations unies) ont été la cible des actes terroristes. La communauté internationale a réagi vivement en dénonçant, dès les premiers instants, ce double attentat que rien ne pouvait justifier à plus forte raison quand il attente au droit le plus absolu de l‘être humain : le respect des droits humains et le droit de vivre. Ce n‘est pas le cas des ONG internationales plus promptes à réagir quand il s‘agit de critiquer sévèrement le gouvernement algérien sur certaines questions qui touchent à la lutte contre le terrorisme. Des réactions sélectives et un parti-pris flagrant destinés à dédouaner les terroristes de leurs vils crimes. Ces réactions viennent particulièrement d‘Amnesty international qui s‘est distinguée durant la décennie rouge par des prises de position franchement hostiles au peuple algérien qui ont jeté le trouble dans les esprits des citoyens. Qui se souvient du fameux « Qui tue qui ? », alors que le sang des Algériens coulait tous les jours que Dieu fait, œuvre des groupes terroristes sans foi, ni loi. Ou encore du problème des disparus dont cette ONG en a fait un objet de fixation pour culpabiliser l‘Etat algérien sur cette problématique.
Des accusations qui ont eu pour effet de mettre le gouvernement au ban de la communauté internationale durant de longues années. Une autre ONG du même moule et avec les mêmes réactions sélectives, Humain Watch Right, car c‘est d‘elle qu‘il s‘agit, emprunte les mêmes raccourcis pour mettre à mal toute la politique de l‘Etat algérien tendant à réconcilier le peuple algérien avec lui-même.
La ligue internationale des droits de l‘Homme, elle aussi, ne va pas par quatre chemins pour charger les pouvoirs publics de tous les maux qui accablent notre pays. La justification est bien simple à trouver dans l‘esprit des animateurs de cette organisation non gouvernementale.
«Le respect des droits humains ne doit pas être soluble dans la lutte contre le terrorisme, et cette lutte ne pourra être gagnée qu‘en faisant du respect du droit international et des engagements pris, une règle générale», disent-ils.
Et le respect des innocentes victimes tombées sous les coups des hordes sanguinaires ? On pourra y repasser un autre jour. Le but inavoué de ces ONG et le seul objectif qu‘elles poursuivent est clair-obscur. Maintenir une pression constante sur le gouvernement algérien pour l‘amener à abandonner ou du moins à lâcher du lest sur certains principes qui sont les fondamentaux de la politique étrangère algérienne. Jusque-là, cette politique a échoué sur toute la ligne.
Des dizaines de morts et plus d‘une centaine de blessés dans les deux attentats kamikaze perpétrés mardi dernier à Alger. Deux institutions, l‘une nationale, le Conseil constitutionnel et l‘autre internationale, le HCR (Haut commissariat aux réfugiés), dépendant de l‘ONU (Organisation des Nations unies) ont été la cible des actes terroristes. La communauté internationale a réagi vivement en dénonçant, dès les premiers instants, ce double attentat que rien ne pouvait justifier à plus forte raison quand il attente au droit le plus absolu de l‘être humain : le respect des droits humains et le droit de vivre. Ce n‘est pas le cas des ONG internationales plus promptes à réagir quand il s‘agit de critiquer sévèrement le gouvernement algérien sur certaines questions qui touchent à la lutte contre le terrorisme. Des réactions sélectives et un parti-pris flagrant destinés à dédouaner les terroristes de leurs vils crimes. Ces réactions viennent particulièrement d‘Amnesty international qui s‘est distinguée durant la décennie rouge par des prises de position franchement hostiles au peuple algérien qui ont jeté le trouble dans les esprits des citoyens. Qui se souvient du fameux « Qui tue qui ? », alors que le sang des Algériens coulait tous les jours que Dieu fait, œuvre des groupes terroristes sans foi, ni loi. Ou encore du problème des disparus dont cette ONG en a fait un objet de fixation pour culpabiliser l‘Etat algérien sur cette problématique.
Des accusations qui ont eu pour effet de mettre le gouvernement au ban de la communauté internationale durant de longues années. Une autre ONG du même moule et avec les mêmes réactions sélectives, Humain Watch Right, car c‘est d‘elle qu‘il s‘agit, emprunte les mêmes raccourcis pour mettre à mal toute la politique de l‘Etat algérien tendant à réconcilier le peuple algérien avec lui-même.
La ligue internationale des droits de l‘Homme, elle aussi, ne va pas par quatre chemins pour charger les pouvoirs publics de tous les maux qui accablent notre pays. La justification est bien simple à trouver dans l‘esprit des animateurs de cette organisation non gouvernementale.
«Le respect des droits humains ne doit pas être soluble dans la lutte contre le terrorisme, et cette lutte ne pourra être gagnée qu‘en faisant du respect du droit international et des engagements pris, une règle générale», disent-ils.
Et le respect des innocentes victimes tombées sous les coups des hordes sanguinaires ? On pourra y repasser un autre jour. Le but inavoué de ces ONG et le seul objectif qu‘elles poursuivent est clair-obscur. Maintenir une pression constante sur le gouvernement algérien pour l‘amener à abandonner ou du moins à lâcher du lest sur certains principes qui sont les fondamentaux de la politique étrangère algérienne. Jusque-là, cette politique a échoué sur toute la ligne.


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