La subvention accordée par l'Etat ne représente désormais que la moitié du différentiel entre le coût réel de production et le prix de vente de 25 DA le sachet d'un litre. La subvention accordée par l'Etat ne représente désormais que la moitié du différentiel entre le coût réel de production et le prix de vente de 25 DA le sachet d'un litre. Les producteurs de lait privés ont reconnu hier ne plus être capables de continuer à produire du lait pasteurisé en sachet, du moment qu'aucune solution n'a été apportée, selon eux, aux difficultés qu'ils rencontrent dans l'exercice de leur activité. C'est ce qu'a indiqué la Confédération des industriels et producteurs algériens (CIPA) dans un communiqué. "Asphyxiés financièrement par le poids de leurs dettes tant bancaires que commerciales, décrédibilisés auprès de leurs fournisseurs locaux et étrangers qui perdent patience, angoissés par l'absence de lisibilité de leur profession, et se retrouvant en situation de rupture de stocks, les producteurs laitiers, à leur corps défendant, déclarent unanimement leur incapacité à poursuivre (cette activité)", souligne le communiqué. Les délégués régionaux (Centre, Est, Ouest) de la filière lait, réunis au siège de la CIPA à Alger, ont évoqué les mêmes problèmes qu'ils soulèvent depuis le début de l'année en cours : insuffisance du niveau de la subvention, retard dans le règlement de cette même subvention, rupture des stocks de poudre de lait, et défaillance de l'Office national interprofessionnel du lait (ONIL) dans la livraison de cette matière première. Selon la même source, la subvention accordée par l'Etat ne représente désormais que la moitié du différentiel entre le coût réel de production et le prix de vente de 25 DA le sachet d'un litre, tandis que le retard mis à la régler atteindrait quatre (4) mois et plus. A la suite d'une forte hausse du prix de la poudre de lait, enregistrée depuis le début de l'année sur le marché international, les producteurs se sont mis à réclamer l'alignement du prix de vente public (25 DA/litre) sur les coûts réels ou bien un relèvement de la subvention de l'Etat à hauteur des charges supplémentaires consenties. Après une série de rencontres avec la CIPA, le Gouvernement a décidé, en mai dernier, de maintenir à 25 DA le prix public du sachet et d'accorder une subvention de 15 DA par litre aux producteurs avec effet rétroactif. Les producteurs de lait privés ont reconnu hier ne plus être capables de continuer à produire du lait pasteurisé en sachet, du moment qu'aucune solution n'a été apportée, selon eux, aux difficultés qu'ils rencontrent dans l'exercice de leur activité. C'est ce qu'a indiqué la Confédération des industriels et producteurs algériens (CIPA) dans un communiqué. "Asphyxiés financièrement par le poids de leurs dettes tant bancaires que commerciales, décrédibilisés auprès de leurs fournisseurs locaux et étrangers qui perdent patience, angoissés par l'absence de lisibilité de leur profession, et se retrouvant en situation de rupture de stocks, les producteurs laitiers, à leur corps défendant, déclarent unanimement leur incapacité à poursuivre (cette activité)", souligne le communiqué. Les délégués régionaux (Centre, Est, Ouest) de la filière lait, réunis au siège de la CIPA à Alger, ont évoqué les mêmes problèmes qu'ils soulèvent depuis le début de l'année en cours : insuffisance du niveau de la subvention, retard dans le règlement de cette même subvention, rupture des stocks de poudre de lait, et défaillance de l'Office national interprofessionnel du lait (ONIL) dans la livraison de cette matière première. Selon la même source, la subvention accordée par l'Etat ne représente désormais que la moitié du différentiel entre le coût réel de production et le prix de vente de 25 DA le sachet d'un litre, tandis que le retard mis à la régler atteindrait quatre (4) mois et plus. A la suite d'une forte hausse du prix de la poudre de lait, enregistrée depuis le début de l'année sur le marché international, les producteurs se sont mis à réclamer l'alignement du prix de vente public (25 DA/litre) sur les coûts réels ou bien un relèvement de la subvention de l'Etat à hauteur des charges supplémentaires consenties. Après une série de rencontres avec la CIPA, le Gouvernement a décidé, en mai dernier, de maintenir à 25 DA le prix public du sachet et d'accorder une subvention de 15 DA par litre aux producteurs avec effet rétroactif.