La Banque européenne d'investissement (BEI) et la société privée algérienne spécialisée dans les jus, Nouvelles conserveries d'Algérie (NCA-Rouiba) ont signé hier, à Alger, un contrat garantissant au vis-à-vis algérien l'extension de son champ d'activités, une première dans les annales de la PME en Algérie. En effet, M. Philipe de Fontaine Vive, vice-président de la BEI, en charge de la FEMIP et M. Slim Othmani, directeur général des NCA – Rouiba ont scellé hier un partenariat nouveau, le premier en date entre une banque et une entreprise algérienne. Le montant de ce contrat est évalué à 300 millions de dinars, soit 3 millions d'euros, qui seront mis à la disposition de NCA pour une durée de 8 ans afin d'accompagner son processus d'extension, avec notamment des projets de construction de nouveaux bâtiments pour l'entreprise. L'apport de la BEI est défini par ses promoteurs comme un prêt participatif, se situant entre un financement en capital et un financement par prêt. Le patron de NCA, M. Slim Othmani, l'explique, lui, comme une couverture de risque. Cette enveloppe est mise à la disposition de NCA qui est libre d'en puiser ou non pour le financement de ces projets. Ce recours à l'argent frais étranger serait rendu nécessaire par le manque de réceptivité du système bancaire et financier actuel vis-à-vis des besoins financiers de certaines PME qui se trouvent en pleine expansion. Pour rappel, l'Algérie et la BEI ont signé, en 2003, une convention dans ce sens, visant à favoriser ce genre d'opérations. La FEMIP, Facilité Euro-Méditerranéenne d'investissement et de Partenariat, l'instrument de la banque européenne d'investissement consacré à l'Euro-Méditerranée s'implique donc, dans le soutien à la PME en Algérie et envoie, à travers cette signature de contrat, un message de confiance envers l'économie de l'Algérie. Il vise également à démontrer aux investisseurs étrangers «la viabilité et le potentiel du secteur du capital investissement en Algérie», a-t-il été souligné lors de cette cérémonie. La Banque européenne d'investissement (BEI) et la société privée algérienne spécialisée dans les jus, Nouvelles conserveries d'Algérie (NCA-Rouiba) ont signé hier, à Alger, un contrat garantissant au vis-à-vis algérien l'extension de son champ d'activités, une première dans les annales de la PME en Algérie. En effet, M. Philipe de Fontaine Vive, vice-président de la BEI, en charge de la FEMIP et M. Slim Othmani, directeur général des NCA – Rouiba ont scellé hier un partenariat nouveau, le premier en date entre une banque et une entreprise algérienne. Le montant de ce contrat est évalué à 300 millions de dinars, soit 3 millions d'euros, qui seront mis à la disposition de NCA pour une durée de 8 ans afin d'accompagner son processus d'extension, avec notamment des projets de construction de nouveaux bâtiments pour l'entreprise. L'apport de la BEI est défini par ses promoteurs comme un prêt participatif, se situant entre un financement en capital et un financement par prêt. Le patron de NCA, M. Slim Othmani, l'explique, lui, comme une couverture de risque. Cette enveloppe est mise à la disposition de NCA qui est libre d'en puiser ou non pour le financement de ces projets. Ce recours à l'argent frais étranger serait rendu nécessaire par le manque de réceptivité du système bancaire et financier actuel vis-à-vis des besoins financiers de certaines PME qui se trouvent en pleine expansion. Pour rappel, l'Algérie et la BEI ont signé, en 2003, une convention dans ce sens, visant à favoriser ce genre d'opérations. La FEMIP, Facilité Euro-Méditerranéenne d'investissement et de Partenariat, l'instrument de la banque européenne d'investissement consacré à l'Euro-Méditerranée s'implique donc, dans le soutien à la PME en Algérie et envoie, à travers cette signature de contrat, un message de confiance envers l'économie de l'Algérie. Il vise également à démontrer aux investisseurs étrangers «la viabilité et le potentiel du secteur du capital investissement en Algérie», a-t-il été souligné lors de cette cérémonie.