S'inscrivant dans le cadre de la nouvelle vision du secteur de la Pêche, la réalisation de ces deux nouvelles pêcheries permettra, selon la responsable, "de lever le monopole sur les produits halieutiques et, partant, de garantir des prix accessibles aux consommateurs". S'inscrivant dans le cadre de la nouvelle vision du secteur de la Pêche, la réalisation de ces deux nouvelles pêcheries permettra, selon la responsable, "de lever le monopole sur les produits halieutiques et, partant, de garantir des prix accessibles aux consommateurs". Alger connaîtra prochainement le lancement des travaux de réalisation de deux nouvelles pêcheries. C'est ce qu'a annoncé la directrice de la pêche et des ressources halieutiques de la wilaya d'Alger, Mme Khazem, qui a indiqué que le ministère entend réaliser une nouvelle pêcherie au niveau du port de la Madrague, à Ain Benian, alors que pour la seconde structure, le site approprié n'a pas encore été choisi. S'inscrivant ainsi dans le cadre de la nouvelle vision du secteur de la Pêche, la réalisation de ces deux nouvelles pêcheries permettra, selon la même responsable, "de lever le monopole sur les produits halieutiques et, partant, de garantir des prix accessibles aux consommateurs". Concernant la pêcherie d'Alger, l'unique structure du genre dans la capitale, dont la réalisation remonte à 1936, la responsable a affirmé que "la chambre froide de cette structure nécessite des travaux de restauration et de réaménagement", projet que la Direction de la pêche envisage de réaliser à travers "l'élaboration d'une fiche technique de la pêcherie, dont l'aspect architectural épouse parfaitement le paysage marin". Signalons, par ailleurs, que ce projet vise avant tout "l'adaptation de la pêcherie d'Alger aux normes internationales pour la hisser au diapason des pêcheries européennes", a expliqué Mme Khazem. Sur un autre registre, évoquant les prix excessifs des produits halieutiques, Mme Khazem a amputé cette situation à de multiples facteurs, notamment le monopole exercé par certains agents au sein de l'unique pêcherie d'Alger, qui se chargent de l'écoulement en gros de ces produits, en sus de l'approvisionnement de nombreuses wilayas de l'intérieur du pays à partir de cette structure. Quant à la hausse des prix, la responsable explique cette tendance par "l'absence de contrôle des prix de la part du secteur, d'autant plus qu'il s'agit de prix libres régis par la loi de l'offre et de la demande". "Le secteur dépend également des changements climatiques, sachant que les intempéries empêchent les pêcheurs de sortir en mer, accentuant ainsi la flambée des prix des produits halieutiques durant certaines périodes de l'année", a encore précisé la responsable. D'autre part, Mme Khazem, profitant de cette occasion, a annoncé également "la réception, le premier trimestre 2008, des autres projets inscrits au titre du programme de soutien à la relance économique, à savoir 9 chalutiers, 3 sardiniers et une petite embarcation", outre le lancement, début 2008, des travaux d'aménagement de la rade de Surcouf, à Aïn-Taya. Ces nouvelles acquisitions s'inscrivent dans le cadre de la mise en œuvre du programme de rénovation de la flotte de la pêche qui comptait jusqu'à septembre 2007 quelque 246 unités. Rappelons enfin qu'Alger dispose de trois ports de pêche et de deux abris de pêche ainsi que d'une vingtaine de rades. Alger connaîtra prochainement le lancement des travaux de réalisation de deux nouvelles pêcheries. C'est ce qu'a annoncé la directrice de la pêche et des ressources halieutiques de la wilaya d'Alger, Mme Khazem, qui a indiqué que le ministère entend réaliser une nouvelle pêcherie au niveau du port de la Madrague, à Ain Benian, alors que pour la seconde structure, le site approprié n'a pas encore été choisi. S'inscrivant ainsi dans le cadre de la nouvelle vision du secteur de la Pêche, la réalisation de ces deux nouvelles pêcheries permettra, selon la même responsable, "de lever le monopole sur les produits halieutiques et, partant, de garantir des prix accessibles aux consommateurs". Concernant la pêcherie d'Alger, l'unique structure du genre dans la capitale, dont la réalisation remonte à 1936, la responsable a affirmé que "la chambre froide de cette structure nécessite des travaux de restauration et de réaménagement", projet que la Direction de la pêche envisage de réaliser à travers "l'élaboration d'une fiche technique de la pêcherie, dont l'aspect architectural épouse parfaitement le paysage marin". Signalons, par ailleurs, que ce projet vise avant tout "l'adaptation de la pêcherie d'Alger aux normes internationales pour la hisser au diapason des pêcheries européennes", a expliqué Mme Khazem. Sur un autre registre, évoquant les prix excessifs des produits halieutiques, Mme Khazem a amputé cette situation à de multiples facteurs, notamment le monopole exercé par certains agents au sein de l'unique pêcherie d'Alger, qui se chargent de l'écoulement en gros de ces produits, en sus de l'approvisionnement de nombreuses wilayas de l'intérieur du pays à partir de cette structure. Quant à la hausse des prix, la responsable explique cette tendance par "l'absence de contrôle des prix de la part du secteur, d'autant plus qu'il s'agit de prix libres régis par la loi de l'offre et de la demande". "Le secteur dépend également des changements climatiques, sachant que les intempéries empêchent les pêcheurs de sortir en mer, accentuant ainsi la flambée des prix des produits halieutiques durant certaines périodes de l'année", a encore précisé la responsable. D'autre part, Mme Khazem, profitant de cette occasion, a annoncé également "la réception, le premier trimestre 2008, des autres projets inscrits au titre du programme de soutien à la relance économique, à savoir 9 chalutiers, 3 sardiniers et une petite embarcation", outre le lancement, début 2008, des travaux d'aménagement de la rade de Surcouf, à Aïn-Taya. Ces nouvelles acquisitions s'inscrivent dans le cadre de la mise en œuvre du programme de rénovation de la flotte de la pêche qui comptait jusqu'à septembre 2007 quelque 246 unités. Rappelons enfin qu'Alger dispose de trois ports de pêche et de deux abris de pêche ainsi que d'une vingtaine de rades.