La prévalence de la pathologie de l'hypertension artérielle, facteur de la mortalité, "est très élevée en Algérie et nécessite la mobilisation de toute la communauté médicale", a affirmé le Dr A. Berrah, président de la Société algérienne de l'hypertension artérielle (SAHA) à l'issue d'une journée scientifique organisée jeudi à Ghardaïa. "Plus de 30% de la population algérienne est hypertendue", a indiqué le Dr Berrah qui s'est basé sur une étude effectuée par la SAHA, tout en soulignant la nécessité d'une culture pédagogique visant à sensibiliser le corps médical, les associations et les malades. De son côté, le Dr Salim Benkhada a révélé que les maladies cardiovasculaires liées à l'hypertension artérielle constituent "les premières causes de la mortalité dans notre pays qui peuvent être maîtrisées par un dépistage précoce et une prise en charge du malade". Plusieurs communications ayant trait à l'épidémiologie du HTA en Algérie, le syndrome métabolique dans le sud algérien, les pathologies cardiovasculaires et les complications liées à l'hypertension artérielle ainsi que son traitement ont été animées par des experts et professeurs algériens, français et italiens. Selon le Pr Mohamed Temmar, membre organisateur, cette manifestation scientifique et médicale s'inscrit dans le cadre de la formation continue initiée par la "SAHA" et a permis aux médecins et praticiens algériens qui y participent de s'imprégner des expériences des spécialistes étrangers et de nouvelles méthodes de dépistage et de mesures à prendre pour la prise en charge des hypertendus. L'hypertension artérielle est devenue très fréquente notamment chez les populations du sud algérien, a fait remarquer le Pr Temmar ajoutant que cela est "la conséquence d'une vie sédentaire, d'un régime alimentaire pléthorique et d'un dépistage très souvent en retard ou un contrôle de tension non fiable ce qui engendre des complications cardiovasculaires". Plusieurs recommandations pratiques ayant trait au dépistage précoce, à la qualité de contrôle de la tension, la normalisation des tensiomètres et la prévention de l'hypertension artérielle ont été mises en relief durant cette manifestation scientifique et médicale. La prévalence de la pathologie de l'hypertension artérielle, facteur de la mortalité, "est très élevée en Algérie et nécessite la mobilisation de toute la communauté médicale", a affirmé le Dr A. Berrah, président de la Société algérienne de l'hypertension artérielle (SAHA) à l'issue d'une journée scientifique organisée jeudi à Ghardaïa. "Plus de 30% de la population algérienne est hypertendue", a indiqué le Dr Berrah qui s'est basé sur une étude effectuée par la SAHA, tout en soulignant la nécessité d'une culture pédagogique visant à sensibiliser le corps médical, les associations et les malades. De son côté, le Dr Salim Benkhada a révélé que les maladies cardiovasculaires liées à l'hypertension artérielle constituent "les premières causes de la mortalité dans notre pays qui peuvent être maîtrisées par un dépistage précoce et une prise en charge du malade". Plusieurs communications ayant trait à l'épidémiologie du HTA en Algérie, le syndrome métabolique dans le sud algérien, les pathologies cardiovasculaires et les complications liées à l'hypertension artérielle ainsi que son traitement ont été animées par des experts et professeurs algériens, français et italiens. Selon le Pr Mohamed Temmar, membre organisateur, cette manifestation scientifique et médicale s'inscrit dans le cadre de la formation continue initiée par la "SAHA" et a permis aux médecins et praticiens algériens qui y participent de s'imprégner des expériences des spécialistes étrangers et de nouvelles méthodes de dépistage et de mesures à prendre pour la prise en charge des hypertendus. L'hypertension artérielle est devenue très fréquente notamment chez les populations du sud algérien, a fait remarquer le Pr Temmar ajoutant que cela est "la conséquence d'une vie sédentaire, d'un régime alimentaire pléthorique et d'un dépistage très souvent en retard ou un contrôle de tension non fiable ce qui engendre des complications cardiovasculaires". Plusieurs recommandations pratiques ayant trait au dépistage précoce, à la qualité de contrôle de la tension, la normalisation des tensiomètres et la prévention de l'hypertension artérielle ont été mises en relief durant cette manifestation scientifique et médicale.