Les membres de l'assemblée générale de la Fédération algérienne de football (FAF) seront en assemblée générale extraordinaire aujourd'hui à partir de 9h30 à l'hôtel Dar Diaf de Chéraga afin de discuter des amendements des nouveaux statuts et du règlement intérieur de l'instance fédérale algérienne. Les membres de l'assemblée générale de la Fédération algérienne de football (FAF) seront en assemblée générale extraordinaire aujourd'hui à partir de 9h30 à l'hôtel Dar Diaf de Chéraga afin de discuter des amendements des nouveaux statuts et du règlement intérieur de l'instance fédérale algérienne. Parmis les points à discuter figure celui de « la création des structures de contrôle et de gestion financière des ligues et clubs sportifs qui lui sont affiliés conformément à la loi ». Cette disposition nouvelle permet de bien contrôler le flux financier et surtout l'utilisation de cette manne financière utilisée par l'instance dirigeante du football algérien. Dans les nouveaux statuts figure également l'obligation faite aux «ligues de football ainsi que les clubs sportifs de football directement affiliés à la FAF de lui adresser leurs statuts, la liste de leurs membres ainsi que leurs bilans moral et financier de l'exercice écoulé, adoptés par leur assemblée générale respective» (article 5 des nouveaux statuts). Un autre changement important et celui qui a fait couler beaucoup d'encre. Il s'agit de la convocaiton de l'Assemblée générale. Il fallait que le ministre convoque celle-ci, mais dans la nouvelle mouture, il propose seulement l'AG et au président de la FAF d'accepter ou pas. Ce qui permet à la FAF d'éviter l'ingérence de la FIFA. De plus, et toujours selon la nouvelle mouture des statuts, «les représentants algériens au sein des organes exécutifs des instances internationales du football participent avec voix. Il y a aussi la problèmatique du mandat de président qui a aussi fait couler beaucoup d'encre du temps de l'ex-ministre de la Jeunesse et des Sports, M. Guidoum. Dans les nouvelles dispositions qui seront discutées aujourd'hui, la disposition de l'article 33 des statuts qui traite de la durée du mandat du Bureau fédéral stipule : «Les membres du Bureau fédéral sont élus par l'assemblée générale en son sein pour un mandat d'une durée de quatre ans ». On remarque ainsi que la limitation à un « seul mandat » n'est plus de mise. Par ailleurs, le poste de secrétaire général de la FAF n'est plus l'apanage du ministre de la Jeunesse et des Sports, mais bel et bien du «Bureau fédéral (qui) nomme et révoque le secrétaire général sur proposition du président ». Concernant le nouveau règlement intérieur de la FAF, on note l'article 24 qui précise que : « L'assemblée générale précédant les élections élit pour un mandat de quatre ans une commission électorale et une commission de recours qui ont pour mission d'organiser et de superviser la procédure de recueil des candidatures de l'organisation des élections et de prendre toutes décisions y afférentes ». Si les amendements actuels sont adoptés, la FAF respirerait mieux et serait bien sans ombrage avec la tutelle et elle aura donc, le plus normalement du monde, son budget et ce, sans restriction. Parmis les points à discuter figure celui de « la création des structures de contrôle et de gestion financière des ligues et clubs sportifs qui lui sont affiliés conformément à la loi ». Cette disposition nouvelle permet de bien contrôler le flux financier et surtout l'utilisation de cette manne financière utilisée par l'instance dirigeante du football algérien. Dans les nouveaux statuts figure également l'obligation faite aux «ligues de football ainsi que les clubs sportifs de football directement affiliés à la FAF de lui adresser leurs statuts, la liste de leurs membres ainsi que leurs bilans moral et financier de l'exercice écoulé, adoptés par leur assemblée générale respective» (article 5 des nouveaux statuts). Un autre changement important et celui qui a fait couler beaucoup d'encre. Il s'agit de la convocaiton de l'Assemblée générale. Il fallait que le ministre convoque celle-ci, mais dans la nouvelle mouture, il propose seulement l'AG et au président de la FAF d'accepter ou pas. Ce qui permet à la FAF d'éviter l'ingérence de la FIFA. De plus, et toujours selon la nouvelle mouture des statuts, «les représentants algériens au sein des organes exécutifs des instances internationales du football participent avec voix. Il y a aussi la problèmatique du mandat de président qui a aussi fait couler beaucoup d'encre du temps de l'ex-ministre de la Jeunesse et des Sports, M. Guidoum. Dans les nouvelles dispositions qui seront discutées aujourd'hui, la disposition de l'article 33 des statuts qui traite de la durée du mandat du Bureau fédéral stipule : «Les membres du Bureau fédéral sont élus par l'assemblée générale en son sein pour un mandat d'une durée de quatre ans ». On remarque ainsi que la limitation à un « seul mandat » n'est plus de mise. Par ailleurs, le poste de secrétaire général de la FAF n'est plus l'apanage du ministre de la Jeunesse et des Sports, mais bel et bien du «Bureau fédéral (qui) nomme et révoque le secrétaire général sur proposition du président ». Concernant le nouveau règlement intérieur de la FAF, on note l'article 24 qui précise que : « L'assemblée générale précédant les élections élit pour un mandat de quatre ans une commission électorale et une commission de recours qui ont pour mission d'organiser et de superviser la procédure de recueil des candidatures de l'organisation des élections et de prendre toutes décisions y afférentes ». Si les amendements actuels sont adoptés, la FAF respirerait mieux et serait bien sans ombrage avec la tutelle et elle aura donc, le plus normalement du monde, son budget et ce, sans restriction.