Le constructeur français de centrale nucléaire, Areva, entend construire un réacteur nucléaire de troisième génération (EPR) en Algérie. C'est ce qu'a révélé, jeudi dernier, le site de l'hebdomadaire Challenges. Le constructeur français ne s'intéresse pas seulement à l'Algérie, puisque l'Egypte, le Royaume-Uni, le Maroc et l'Europe de l'est figurent sur son plan de charge. Ce groupe, dont 85% du capital est détenu par l'Etat français, envisagerait de conclure un «partenariat exclusif» avec Vinci pour pouvoir faire face à un carnet de commande particulièrement fourni. Le choix d'EPR tient dans le fait qu'il assure une nette amélioration de la sûreté et la rentabilité économique par rapport à celles des précédents réacteurs à eau pressurisée, soulignent les experts en la matière. Le réacteur nucléaire de troisième génération est en voie de généralisation dans les pays disposant d'un réseau électrique de forte capacité capable de distribuer une puissance électrique de l'ordre de 1.600 mégawatts. Il est clair que le réacteur d'Areva permettra à l'Algérie de disposer d'une véritable centrale nucléaire, après les deux premiers réacteurs acquis en 83 et 93, dont la puissance est respectivement de 1 et 16 mégawatts. Le réacteur EPR est conçu pour utiliser de l'uranium enrichi à 5 % et du combustible nucléaire MOX (combustible nucléaire fabriqué à partir du plutonium et de l'uranium appauvri). L'objectif des spécialistes est de parvenir à un cœur de réacteur entièrement constitué de MOX. Pour l'heure, les réacteurs de ce type sont chargés avec environ 33 % de MOX. Il semble donc que l'accord signé entre l'Algérie et la France lors de la visite du Président Sarkozy en Algérie, en décembre dernier, ait été suivi de pourparlers au plan technique ce qui a débouché sur la désignation de la technologie adoptée pour la réalisations de centrales nucléaires en Algérie. Il faut rappeler qu'au plan de la coopération dans le domaine de l'énergie nucléaire, l'Algérie a déjà signé des accords en ce sens avec l'Afrique du Sud et les Etats-Unis d'Amérique. Mais force est de constater que les choses ont évolué beaucoup plus vite avec la France, puisque l'on n'est apparemment pas loin de la phase opérationnelle. Le premier réacteur nucléaire algérien construit par Areva en appellera sans doute d'autres dans les toutes prochaines années. Le constructeur français de centrale nucléaire, Areva, entend construire un réacteur nucléaire de troisième génération (EPR) en Algérie. C'est ce qu'a révélé, jeudi dernier, le site de l'hebdomadaire Challenges. Le constructeur français ne s'intéresse pas seulement à l'Algérie, puisque l'Egypte, le Royaume-Uni, le Maroc et l'Europe de l'est figurent sur son plan de charge. Ce groupe, dont 85% du capital est détenu par l'Etat français, envisagerait de conclure un «partenariat exclusif» avec Vinci pour pouvoir faire face à un carnet de commande particulièrement fourni. Le choix d'EPR tient dans le fait qu'il assure une nette amélioration de la sûreté et la rentabilité économique par rapport à celles des précédents réacteurs à eau pressurisée, soulignent les experts en la matière. Le réacteur nucléaire de troisième génération est en voie de généralisation dans les pays disposant d'un réseau électrique de forte capacité capable de distribuer une puissance électrique de l'ordre de 1.600 mégawatts. Il est clair que le réacteur d'Areva permettra à l'Algérie de disposer d'une véritable centrale nucléaire, après les deux premiers réacteurs acquis en 83 et 93, dont la puissance est respectivement de 1 et 16 mégawatts. Le réacteur EPR est conçu pour utiliser de l'uranium enrichi à 5 % et du combustible nucléaire MOX (combustible nucléaire fabriqué à partir du plutonium et de l'uranium appauvri). L'objectif des spécialistes est de parvenir à un cœur de réacteur entièrement constitué de MOX. Pour l'heure, les réacteurs de ce type sont chargés avec environ 33 % de MOX. Il semble donc que l'accord signé entre l'Algérie et la France lors de la visite du Président Sarkozy en Algérie, en décembre dernier, ait été suivi de pourparlers au plan technique ce qui a débouché sur la désignation de la technologie adoptée pour la réalisations de centrales nucléaires en Algérie. Il faut rappeler qu'au plan de la coopération dans le domaine de l'énergie nucléaire, l'Algérie a déjà signé des accords en ce sens avec l'Afrique du Sud et les Etats-Unis d'Amérique. Mais force est de constater que les choses ont évolué beaucoup plus vite avec la France, puisque l'on n'est apparemment pas loin de la phase opérationnelle. Le premier réacteur nucléaire algérien construit par Areva en appellera sans doute d'autres dans les toutes prochaines années.