En dépit du rejet dont avait fait l'objet sa proposition de revoir à la hausse le prix du mazout, le ministre de l'Energie et des Mines, M. Chakib Khelil, n'en démord pas et revient à la charge, soulignant que son département ministériel continuera à faire valoir cette proposition pour décourager les citoyens à recourir à l'utilisation de cette matière polluante. Le ministre a expliqué que la facture de ce produit est appelée à être augmentée durant les prochaines années, parallèlement avec la hausse de la consommation intérieure du "diesel". Ceci d'autant que la capacité de production actuelle n'arrive pas à couvrir, selon lui, les besoins en la matière. Le gouvernement sera alors dans l'obligation de doubler les importations pour répondre à une demande intérieure de plus en plus croissante avec tout ce que cela implique sur le plan financier, a fait savoir M. Khelil, rappelant que la consommation en mazout a augmenté de 8% l'année passée, obligeant l'Etat à importer pour 200 millions de dollars. Il a fait remarquer, à ce propos, que son ministère a élaboré une nouvelle politique des prix visant à encourager la consommation du GPL et de l'essence sans plomb, deux produits non polluants, pour préserver l'environnement. Selon le ministre, les prix n'ont pas changé depuis plusieurs années, et c'est là un "déséquilibre" auquel il faut remédier par l'augmentation des taxes sur le diesel. Pour le représentant du gouvernement, l'Etat "ne peut plus continuer à payer à la place du consommateur", et "nous serons dans l'obligation de choisir les matières qu'il faut subventionner", a-t-il précisé. En dépit du rejet dont avait fait l'objet sa proposition de revoir à la hausse le prix du mazout, le ministre de l'Energie et des Mines, M. Chakib Khelil, n'en démord pas et revient à la charge, soulignant que son département ministériel continuera à faire valoir cette proposition pour décourager les citoyens à recourir à l'utilisation de cette matière polluante. Le ministre a expliqué que la facture de ce produit est appelée à être augmentée durant les prochaines années, parallèlement avec la hausse de la consommation intérieure du "diesel". Ceci d'autant que la capacité de production actuelle n'arrive pas à couvrir, selon lui, les besoins en la matière. Le gouvernement sera alors dans l'obligation de doubler les importations pour répondre à une demande intérieure de plus en plus croissante avec tout ce que cela implique sur le plan financier, a fait savoir M. Khelil, rappelant que la consommation en mazout a augmenté de 8% l'année passée, obligeant l'Etat à importer pour 200 millions de dollars. Il a fait remarquer, à ce propos, que son ministère a élaboré une nouvelle politique des prix visant à encourager la consommation du GPL et de l'essence sans plomb, deux produits non polluants, pour préserver l'environnement. Selon le ministre, les prix n'ont pas changé depuis plusieurs années, et c'est là un "déséquilibre" auquel il faut remédier par l'augmentation des taxes sur le diesel. Pour le représentant du gouvernement, l'Etat "ne peut plus continuer à payer à la place du consommateur", et "nous serons dans l'obligation de choisir les matières qu'il faut subventionner", a-t-il précisé.