Le journaliste américain et idéologue du nouvel ordre mondial sous l'impulsion US, Robert Kaplan, a publié fin 2007 un livre intitulé «Hog Pilots, Blue Water Grunts», dont l'un des chapitres retrace la participation de GI's en Algérie dans la traque d'Al-Qaïda. Mais, en fait, ce que la plume attitrée du Pentagone qualifie d'exploit ne serait en définitive que l'histoire de neuf GI's qui auraient séjourné en 2005 dans le désert algérien, aux côtés d'éléments de l'ANP aux fins de les initier à l'utilisation d'un matériel de détection nocturne. Par ailleurs, une source sécuritaire nous déclare : «Il se pourrait que les Américains aient participé à des opérations épisodiques en Algérie, au Sahara, mais l'Algérie n'aurait jamais permis, ne permettra jamais leur implantation définitive sur son sol. La théorie de l'appellation Al Qaïda au Maghreb est, à plus d'un titre, bien américaine.» A cela, il conviendrait d'ajouter le fait que « l'échange d'informations en matière de sécurité et dans le cadre de la lutte antiterroriste ainsi que les exercices militaires avec les USA, ou même des pays voisins jusques et y compris le Maroc, lorsque la nécessité se fait sentir sont monnaie courante », selon une autre source que nous avons contactée à cet effet. En tout état de cause, il convient de souligner que quelles que soient la ou les lectures qui pourraient être faites de cette trouvaille de R. Kaplan, le résultat est le même, à savoir, que ces gesticulations dans les méandres du Sahara algérien n'ont abouti à rien de captivant. Les USA ont-ils tout intérêt à ce que l'Algérie reste de ces pays où la bombe humaine «kamikaze» sévira longtemps pour la classer pays terroriste ? Lu dans ce sens, le livre de Kaplan paraît nous en dessiner l'ébauche… Pour rappel, dans son livre-document — comme seuls les Américains en ont les secrets de la fiction hollywoodienne —, qualifié par la presse propagandiste américaine d'«extraordinaire», Robert D. Kaplan nous embarqué dans un bombardier B-2 pour traverser les airs, emménage avec une brigade «Stryker» dans un sous-marin nucléaire, se déplace au large de la côte d'Indonésie… pour ne laisser, à la fin de son récit, au lecteur que les mauvais tours de son imagination et le fantasme d'un rêve américain inabouti. Kaplan est l'un de ces rares journalistes américains embrigadés, promotion guerre de communication des NTIC, qui, selon notre source, a bénéficié d'un accès sans précédent aux parfums secrets des forces armées américaines. Selon ce que l'on rapporte de ce journaliste, dont les portes de Sésame lui ont été ouvertes, c'est qu'il passe plus de temps avec les militaires que n'importe quel autre reporter de sa génération. Il comprend, selon les critiques, comment l'armée se bat dans des dizaines de lieux à travers le monde, en plus de l'Iraq et de l'Afghanistan. En 2002, il a eu accès à l'élite des forces spéciales et des avant-postes de la Marine éloignées du monde. Son analyse de la présence américaine dans les quatre coins de la planète serait le résultat de la complexité de la mission dont la psychologie seule pourrait être le remède de ces soldats d'élite et un éclairage sur les hommes eux-mêmes. Ce livre provocateur nous renseigne ou nous rappelle l'énorme portée des engagements militaires des Etats-Unis qui maintiennent, malgré la moue des Nations unies, une forte présence militaire dans le monde entier, aussi bien en temps de guerre qu'en temps de paix. Le journaliste américain et idéologue du nouvel ordre mondial sous l'impulsion US, Robert Kaplan, a publié fin 2007 un livre intitulé «Hog Pilots, Blue Water Grunts», dont l'un des chapitres retrace la participation de GI's en Algérie dans la traque d'Al-Qaïda. Mais, en fait, ce que la plume attitrée du Pentagone qualifie d'exploit ne serait en définitive que l'histoire de neuf GI's qui auraient séjourné en 2005 dans le désert algérien, aux côtés d'éléments de l'ANP aux fins de les initier à l'utilisation d'un matériel de détection nocturne. Par ailleurs, une source sécuritaire nous déclare : «Il se pourrait que les Américains aient participé à des opérations épisodiques en Algérie, au Sahara, mais l'Algérie n'aurait jamais permis, ne permettra jamais leur implantation définitive sur son sol. La théorie de l'appellation Al Qaïda au Maghreb est, à plus d'un titre, bien américaine.» A cela, il conviendrait d'ajouter le fait que « l'échange d'informations en matière de sécurité et dans le cadre de la lutte antiterroriste ainsi que les exercices militaires avec les USA, ou même des pays voisins jusques et y compris le Maroc, lorsque la nécessité se fait sentir sont monnaie courante », selon une autre source que nous avons contactée à cet effet. En tout état de cause, il convient de souligner que quelles que soient la ou les lectures qui pourraient être faites de cette trouvaille de R. Kaplan, le résultat est le même, à savoir, que ces gesticulations dans les méandres du Sahara algérien n'ont abouti à rien de captivant. Les USA ont-ils tout intérêt à ce que l'Algérie reste de ces pays où la bombe humaine «kamikaze» sévira longtemps pour la classer pays terroriste ? Lu dans ce sens, le livre de Kaplan paraît nous en dessiner l'ébauche… Pour rappel, dans son livre-document — comme seuls les Américains en ont les secrets de la fiction hollywoodienne —, qualifié par la presse propagandiste américaine d'«extraordinaire», Robert D. Kaplan nous embarqué dans un bombardier B-2 pour traverser les airs, emménage avec une brigade «Stryker» dans un sous-marin nucléaire, se déplace au large de la côte d'Indonésie… pour ne laisser, à la fin de son récit, au lecteur que les mauvais tours de son imagination et le fantasme d'un rêve américain inabouti. Kaplan est l'un de ces rares journalistes américains embrigadés, promotion guerre de communication des NTIC, qui, selon notre source, a bénéficié d'un accès sans précédent aux parfums secrets des forces armées américaines. Selon ce que l'on rapporte de ce journaliste, dont les portes de Sésame lui ont été ouvertes, c'est qu'il passe plus de temps avec les militaires que n'importe quel autre reporter de sa génération. Il comprend, selon les critiques, comment l'armée se bat dans des dizaines de lieux à travers le monde, en plus de l'Iraq et de l'Afghanistan. En 2002, il a eu accès à l'élite des forces spéciales et des avant-postes de la Marine éloignées du monde. Son analyse de la présence américaine dans les quatre coins de la planète serait le résultat de la complexité de la mission dont la psychologie seule pourrait être le remède de ces soldats d'élite et un éclairage sur les hommes eux-mêmes. Ce livre provocateur nous renseigne ou nous rappelle l'énorme portée des engagements militaires des Etats-Unis qui maintiennent, malgré la moue des Nations unies, une forte présence militaire dans le monde entier, aussi bien en temps de guerre qu'en temps de paix.