Après un long débrayage de près de 3 mois, le collectif des chirurgiens du CHU (Centre hospitalo-universitaire) Ibn Rochd, a décidé de reprendre le travail, après avoir en fin de compte trouvé un modus-operandi avec la direction. Les maîtres-assistants grévistes ont mis, en effet, fin à leur mouvement de protestation depuis hier. Le bras de fer qu'ils ont engagé avec la direction a engendré une baisse de la qualité des services médicaux au niveau du CHU. Ce mouvement a été déclenché, selon un des médecins, «pour dénoncer les pratiques et les comportements du médecin chef de la chirurgie, par le fait du charlatanisme et le passe-droit, au détriment des véritables malades en besoin urgent d'interventions chirurgicales…». Selon un des médecins qui avait «négocié» la fin de la grève, une plateforme revendicative a été élaborée avec l'administration et les points revendicatifs seront progressivement réglés en fonction de leur importance sur un échéancier de 2 mois, indique-t-on. Après un long débrayage de près de 3 mois, le collectif des chirurgiens du CHU (Centre hospitalo-universitaire) Ibn Rochd, a décidé de reprendre le travail, après avoir en fin de compte trouvé un modus-operandi avec la direction. Les maîtres-assistants grévistes ont mis, en effet, fin à leur mouvement de protestation depuis hier. Le bras de fer qu'ils ont engagé avec la direction a engendré une baisse de la qualité des services médicaux au niveau du CHU. Ce mouvement a été déclenché, selon un des médecins, «pour dénoncer les pratiques et les comportements du médecin chef de la chirurgie, par le fait du charlatanisme et le passe-droit, au détriment des véritables malades en besoin urgent d'interventions chirurgicales…». Selon un des médecins qui avait «négocié» la fin de la grève, une plateforme revendicative a été élaborée avec l'administration et les points revendicatifs seront progressivement réglés en fonction de leur importance sur un échéancier de 2 mois, indique-t-on.