Les personnes qui ronflent paraissent être plus sujettes à développer une bronchite chronique, selon une étude de chercheurs sud-coréens parue lundi aux Etats-Unis. Cette recherche a porté sur 4.270 personnes (52% d'hommes et 48% de femmes) à l'hôpital Universitaire Ansan en Corée du Sud de 2001 à 2003 avec un suivi tous les deux ans jusqu'en 2006. Durant ces séances, les participants étaient interrogés par les médecins pour déterminer s'ils souffraient de bronchite chronique, ce qui a été le cas pour 314 de ces sujets. Après avoir pris en compte l'âge, le fait de fumer ou non et d'autres facteurs de risques, les personnes qui ronflent régulièrement courent plus de risques de développer une bronchite chronique que ceux qui ne ronflent pas. Comparativement à ceux qui n'ont jamais ronflé, ceux qui ronflent six fois par semaine ou moins ont 25% de risques supplémentaires de souffrir d'une bronchite chronique, indique l'étude. Ceux qui ronflent sept fois par semaine et davantage ont 68% de risques supplémentaires de développer une bronchite. Le lien entre ronflement et bronchite chronique était plus fort chez les sujets de l'étude qui n'avaient jamais fumé et souffraient de surpoids. Toutefois le mécanisme liant le ronflement et la bronchite chronique reste "largement inconnu", soulignent les auteurs de cette recherche. Selon certaines hypothèses, "le ronflement et l'apnée pourraient résulter de changements structurels ou fonctionnels dans les voies respiratoires dus à une inflammation", relèvent ces chercheurs. Mais "des études supplémentaires sont nécessaires pour confirmer le lien entre ronflement et bronchite chronique et aussi pour comprendre le mécanisme sous-tendant ce lien", ajoutent-ils dans un communiqué. Les personnes qui ronflent paraissent être plus sujettes à développer une bronchite chronique, selon une étude de chercheurs sud-coréens parue lundi aux Etats-Unis. Cette recherche a porté sur 4.270 personnes (52% d'hommes et 48% de femmes) à l'hôpital Universitaire Ansan en Corée du Sud de 2001 à 2003 avec un suivi tous les deux ans jusqu'en 2006. Durant ces séances, les participants étaient interrogés par les médecins pour déterminer s'ils souffraient de bronchite chronique, ce qui a été le cas pour 314 de ces sujets. Après avoir pris en compte l'âge, le fait de fumer ou non et d'autres facteurs de risques, les personnes qui ronflent régulièrement courent plus de risques de développer une bronchite chronique que ceux qui ne ronflent pas. Comparativement à ceux qui n'ont jamais ronflé, ceux qui ronflent six fois par semaine ou moins ont 25% de risques supplémentaires de souffrir d'une bronchite chronique, indique l'étude. Ceux qui ronflent sept fois par semaine et davantage ont 68% de risques supplémentaires de développer une bronchite. Le lien entre ronflement et bronchite chronique était plus fort chez les sujets de l'étude qui n'avaient jamais fumé et souffraient de surpoids. Toutefois le mécanisme liant le ronflement et la bronchite chronique reste "largement inconnu", soulignent les auteurs de cette recherche. Selon certaines hypothèses, "le ronflement et l'apnée pourraient résulter de changements structurels ou fonctionnels dans les voies respiratoires dus à une inflammation", relèvent ces chercheurs. Mais "des études supplémentaires sont nécessaires pour confirmer le lien entre ronflement et bronchite chronique et aussi pour comprendre le mécanisme sous-tendant ce lien", ajoutent-ils dans un communiqué.