Une étude menée aux Etats-Unis d'Amérique a abouti à la possibilité de développer une nouvelle technique à même de permettre de créer des cellules souches embryonnaires humaines sans détruire l'embryon. Il s'agit de cellules ayant la capacité de devenir n'importe quel tissu de l'organisme, offrant ainsi de meilleurs espoirs de guérir un certain nombre de maladies incurables ou de réparer des organes détruits par un cancer, une maladie ou un accident, selon une étude publiée, jeudi, dans le magazine spécialisé Cell Stem Cell. Cette étude a été menée suite à l'extraction d'une simple cellule de l'embryon récupéré dans des cliniques de fertilisation in vitro selon la procédure utilisée pour effectuer des tests de détection de défauts génétiques. Toutefois, l'embryon ayant subi cette procédure ne doit pas être affecté et peut se développer normalement, relève cette même étude. Ainsi, après cette extraction, des chercheurs ont inséré une simple protéine, appelée laminine, qui préserve la pluripotence caractérisant les cellules souches embryonnaires. Des chercheurs espèrent, par ailleurs, que les cellules de la peau vont probablement devenir la plus grande source de cellules souches, lesquelles ne sont pas encore prêtes pour des applications cliniques, le processus de transformation induisant des altérations génétiques potentiellement mortelles ainsi que des virus, estiment-ils. Une étude menée aux Etats-Unis d'Amérique a abouti à la possibilité de développer une nouvelle technique à même de permettre de créer des cellules souches embryonnaires humaines sans détruire l'embryon. Il s'agit de cellules ayant la capacité de devenir n'importe quel tissu de l'organisme, offrant ainsi de meilleurs espoirs de guérir un certain nombre de maladies incurables ou de réparer des organes détruits par un cancer, une maladie ou un accident, selon une étude publiée, jeudi, dans le magazine spécialisé Cell Stem Cell. Cette étude a été menée suite à l'extraction d'une simple cellule de l'embryon récupéré dans des cliniques de fertilisation in vitro selon la procédure utilisée pour effectuer des tests de détection de défauts génétiques. Toutefois, l'embryon ayant subi cette procédure ne doit pas être affecté et peut se développer normalement, relève cette même étude. Ainsi, après cette extraction, des chercheurs ont inséré une simple protéine, appelée laminine, qui préserve la pluripotence caractérisant les cellules souches embryonnaires. Des chercheurs espèrent, par ailleurs, que les cellules de la peau vont probablement devenir la plus grande source de cellules souches, lesquelles ne sont pas encore prêtes pour des applications cliniques, le processus de transformation induisant des altérations génétiques potentiellement mortelles ainsi que des virus, estiment-ils.