L'ambassadeur a cité un certain nombre d'indices et de paramètres attestant du regain d'intérêt des investisseurs britanniques pour le marché algérien L'ambassadeur a cité un certain nombre d'indices et de paramètres attestant du regain d'intérêt des investisseurs britanniques pour le marché algérien S'exprimant lors d'une conférence sur les perspectives des relations algéro-britanniques organisée à Londres, l'ambassadeur d'Algérie au Royaume-Uni et en Irlande, Mohamed Salah Dembri, a exhorté les investisseurs anglais à investir massivement en Algérie en citant l'exemple de la compagnie pétrolière British Petroleum (BP) qui s'est taillée une place de choix dans les années 1990. En effet, cette firme devient indétrônable et très compétitive avec une place en Algérie où ses concurrents n'auront aucune chance d'accéder, selon Dembri qui précise que «l'Algérie mobilise l'ensemble de ses ressources humaines et matérielles pour avancer dans l'économie de marché et le libéralisme dont le respect des règles élémentaires incite les investisseurs étrangers et les hommes d'affaires à opter pour des projets d'investissement en Algérie». L'ambassadeur a cité un certain nombre d'indices et de paramètres attestant du regain d'intérêt des investisseurs britanniques pour le marché algérien, en affirmant notamment que «l'ouverture d'une filiale de la banque HSBC en Algérie et la présence active du laboratoire pharmaceutique GlaxoSmithKline sur le marché national constituent un atout majeur pour le développement des relations économiques et commerciales bilatérales». La coopération entre les deux pays pourrait connaître un essor certain, selon Dembri, qui estime qu'«avec l'adhésion de l'Algérie à l'organisation des pays du Commonwealth dont notre pays a exprimé le souhait d'intégration, les échanges bilatéraux seront plus denses et harmonieux». L'exemple le plus édifiant de l'excellence des relations entre l'Algérie et le Royaume-Uni réside notamment dans le fait que «les Britanniques ont ouvert leur marché aux investissements de l'entreprise nationale des hydrocarbures Sonatrach, en vertu d'un contrat de livraison de gaz algérien. De même que l'Algérie a également opéré une ouverture propice aux investisseurs des compagnies anglaises, de plus en plus intéressées par l'attractivité du marché algérien». Le partenariat stratégique recherché par les deux pays et le sérieux affiché par les Anglais dans leurs intentions d'investissement en Algérie sont autant de signes forts de la nature des rapports économiques existant entre l'Algérie et la Grande-Bretagne dont les liens historiques et culturels remontent à 1580 avec le premier accord entre la Régence d'Alger et l'Angleterre datant de 1682. De son côté, l'ambassadeur britannique à Alger, Andrew Henderson, a insisté sur les importantes opportunités d'investissement existant en Algérie recommandant aux investisseurs et les firmes de son pays à initier des actions de partenariat. Plus de 100 entreprises de divers secteurs économiques exercent actuellement en Algérie. Les investissements de la Grande-Bretagne en Algérie ont atteint plus 10 milliards de dollars ces dernières années tandis que le volume des échanges entre les deux pays dépasse actuellement les 900 millions de dollars. L'Algérie a importé pour plus de 150 millions de dollars de biens et marchandises de ce pays, alors que ses exportations portant essentiellement sur les produits pétroliers et gaziers se chiffrent à environ 600 millions de dollars. S'exprimant lors d'une conférence sur les perspectives des relations algéro-britanniques organisée à Londres, l'ambassadeur d'Algérie au Royaume-Uni et en Irlande, Mohamed Salah Dembri, a exhorté les investisseurs anglais à investir massivement en Algérie en citant l'exemple de la compagnie pétrolière British Petroleum (BP) qui s'est taillée une place de choix dans les années 1990. En effet, cette firme devient indétrônable et très compétitive avec une place en Algérie où ses concurrents n'auront aucune chance d'accéder, selon Dembri qui précise que «l'Algérie mobilise l'ensemble de ses ressources humaines et matérielles pour avancer dans l'économie de marché et le libéralisme dont le respect des règles élémentaires incite les investisseurs étrangers et les hommes d'affaires à opter pour des projets d'investissement en Algérie». L'ambassadeur a cité un certain nombre d'indices et de paramètres attestant du regain d'intérêt des investisseurs britanniques pour le marché algérien, en affirmant notamment que «l'ouverture d'une filiale de la banque HSBC en Algérie et la présence active du laboratoire pharmaceutique GlaxoSmithKline sur le marché national constituent un atout majeur pour le développement des relations économiques et commerciales bilatérales». La coopération entre les deux pays pourrait connaître un essor certain, selon Dembri, qui estime qu'«avec l'adhésion de l'Algérie à l'organisation des pays du Commonwealth dont notre pays a exprimé le souhait d'intégration, les échanges bilatéraux seront plus denses et harmonieux». L'exemple le plus édifiant de l'excellence des relations entre l'Algérie et le Royaume-Uni réside notamment dans le fait que «les Britanniques ont ouvert leur marché aux investissements de l'entreprise nationale des hydrocarbures Sonatrach, en vertu d'un contrat de livraison de gaz algérien. De même que l'Algérie a également opéré une ouverture propice aux investisseurs des compagnies anglaises, de plus en plus intéressées par l'attractivité du marché algérien». Le partenariat stratégique recherché par les deux pays et le sérieux affiché par les Anglais dans leurs intentions d'investissement en Algérie sont autant de signes forts de la nature des rapports économiques existant entre l'Algérie et la Grande-Bretagne dont les liens historiques et culturels remontent à 1580 avec le premier accord entre la Régence d'Alger et l'Angleterre datant de 1682. De son côté, l'ambassadeur britannique à Alger, Andrew Henderson, a insisté sur les importantes opportunités d'investissement existant en Algérie recommandant aux investisseurs et les firmes de son pays à initier des actions de partenariat. Plus de 100 entreprises de divers secteurs économiques exercent actuellement en Algérie. Les investissements de la Grande-Bretagne en Algérie ont atteint plus 10 milliards de dollars ces dernières années tandis que le volume des échanges entre les deux pays dépasse actuellement les 900 millions de dollars. L'Algérie a importé pour plus de 150 millions de dollars de biens et marchandises de ce pays, alors que ses exportations portant essentiellement sur les produits pétroliers et gaziers se chiffrent à environ 600 millions de dollars.