Le ministre a mis en évidence l'impératif de la révision de certains articles du nouveau code du travail, notamment celui ayant trait à la question du licenciement des travailleurs et leur indemnisation ainsi que celui relatif au «contrat de travail». Il a annoncé auparavant que ce nouveau code «entrera en vigueur à la fin 2008». Le ministre a mis en évidence l'impératif de la révision de certains articles du nouveau code du travail, notamment celui ayant trait à la question du licenciement des travailleurs et leur indemnisation ainsi que celui relatif au «contrat de travail». Il a annoncé auparavant que ce nouveau code «entrera en vigueur à la fin 2008». Le projet de nouveau code du travail, qui comprend plus de 700 articles, sera discuté par le ministère du Travail et les syndicats, à partir du mois de mars prochain. C'est ce qui ressort des déclarations du ministre, Tayeb Louh, faites en marge des travaux de la conférence nationale sur la politique sectorielle de prise en charge de la jeunesse. Abordant certains articles prévus par le projet de nouveau code du travail, le ministre a mis en évidence l'impératif de leur révision, notamment celui ayant trait à la question du licenciement des travailleurs et leur indemnisation ainsi que celui relatif au «contrat de travail». Louh avait annoncé auparavant que le nouveau code du travail «entrera en vigueur à la fin 2008». Le nouveau texte prendra en ligne de compte les conventions internationales relatives au travail ratifiées par l'Algérie. Ces articles du nouveau code, à entendre le ministre, feront l'objet d'une attention particulière et devraient offrir une plus grande flexibilité aux employeurs dans le cadre de l'embauche. L'un des objectifs les plus importants de ce nouveau code de travail est de diminuer le taux de chômage et le travail au noir. D'ailleurs, ce même responsable a tablé sur un taux de chômage qui ne dépassera pas les 10% à l'horizon 2009. Mais les observateurs affirment que cette flexibilité accordée aux employeurs désavantage les travailleurs, puisqu'elle offre à ces derniers du travail, certes, mais de façon précaire. Fait loin d'être nouveau, puisque des milliers de travailleurs subissent déjà les effets des nouvelles relations de travail, nées d'un contexte socio-économique national et international marqué par la mondialisation de l'économie et la suprématie du libéralisme, il reste à savoir si les partenaires du gouvernement, l'UGTA notamment, réussiront à faire fléchir le gouvernement en passant un code qui ne lésera pas ses syndiqués. Pour le ministre, le nouveau dispositif législatif du travail devra comporter des dispositions garantissant «l'équilibre entre les exigences d'une relance économique à travers une flexibilité des règles de travail en Algérie, l'encouragement de l'esprit d'initiative, la simplification des procédures de soutien à l'investissement d'une part, et la garantie d'une protection suffisante du travailleur par la création des conditions favorables à un travail décent tel que recommandé par l'Organisation internationale du travail d'autre part», non sans ajouter «la garantie d'un équilibre entre les exigences économiques et les attentes sociales». Par ailleurs, le ministre a annoncé que le projet de nouvelle stratégie globale de lutte contre le chômage et de promotion de l'emploi sera soumis au gouvernement dans le courant de cette semaine. Une stratégie qui repose, selon ses dires, sur le secteur économique «créateurs d'emplois». Pour rappel, le même responsable a précisé, au début de l'année que la réforme du dispositif de création d'activités dont l'Agence nationale d'emploi et de soutien des jeunes (ANSEJ), le Fonds national d'assurance chômage (FNAC) et l'Agence nationale de gestion des microcrédits, sont les principaux points de cette stratégie. Dans cet esprit, il a affirmé que la réforme de ces dispositifs se traduit essentiellement par la levée des obstacles liés au financement bancaire, la décentralisation des décisions de financement, la réorientation des projets, conformément aux exigences du marché et au développement local et l'orientation des micro-crédits vers les métiers notamment au niveau des vieux quartiers des grandes villes. Le projet de stratégie prévoit, en outre, la création de structures de coordination entre les ministères et les différents secteurs concernés par l'emploi de jeunes aux niveaux local et national. Le projet de nouveau code du travail, qui comprend plus de 700 articles, sera discuté par le ministère du Travail et les syndicats, à partir du mois de mars prochain. C'est ce qui ressort des déclarations du ministre, Tayeb Louh, faites en marge des travaux de la conférence nationale sur la politique sectorielle de prise en charge de la jeunesse. Abordant certains articles prévus par le projet de nouveau code du travail, le ministre a mis en évidence l'impératif de leur révision, notamment celui ayant trait à la question du licenciement des travailleurs et leur indemnisation ainsi que celui relatif au «contrat de travail». Louh avait annoncé auparavant que le nouveau code du travail «entrera en vigueur à la fin 2008». Le nouveau texte prendra en ligne de compte les conventions internationales relatives au travail ratifiées par l'Algérie. Ces articles du nouveau code, à entendre le ministre, feront l'objet d'une attention particulière et devraient offrir une plus grande flexibilité aux employeurs dans le cadre de l'embauche. L'un des objectifs les plus importants de ce nouveau code de travail est de diminuer le taux de chômage et le travail au noir. D'ailleurs, ce même responsable a tablé sur un taux de chômage qui ne dépassera pas les 10% à l'horizon 2009. Mais les observateurs affirment que cette flexibilité accordée aux employeurs désavantage les travailleurs, puisqu'elle offre à ces derniers du travail, certes, mais de façon précaire. Fait loin d'être nouveau, puisque des milliers de travailleurs subissent déjà les effets des nouvelles relations de travail, nées d'un contexte socio-économique national et international marqué par la mondialisation de l'économie et la suprématie du libéralisme, il reste à savoir si les partenaires du gouvernement, l'UGTA notamment, réussiront à faire fléchir le gouvernement en passant un code qui ne lésera pas ses syndiqués. Pour le ministre, le nouveau dispositif législatif du travail devra comporter des dispositions garantissant «l'équilibre entre les exigences d'une relance économique à travers une flexibilité des règles de travail en Algérie, l'encouragement de l'esprit d'initiative, la simplification des procédures de soutien à l'investissement d'une part, et la garantie d'une protection suffisante du travailleur par la création des conditions favorables à un travail décent tel que recommandé par l'Organisation internationale du travail d'autre part», non sans ajouter «la garantie d'un équilibre entre les exigences économiques et les attentes sociales». Par ailleurs, le ministre a annoncé que le projet de nouvelle stratégie globale de lutte contre le chômage et de promotion de l'emploi sera soumis au gouvernement dans le courant de cette semaine. Une stratégie qui repose, selon ses dires, sur le secteur économique «créateurs d'emplois». Pour rappel, le même responsable a précisé, au début de l'année que la réforme du dispositif de création d'activités dont l'Agence nationale d'emploi et de soutien des jeunes (ANSEJ), le Fonds national d'assurance chômage (FNAC) et l'Agence nationale de gestion des microcrédits, sont les principaux points de cette stratégie. Dans cet esprit, il a affirmé que la réforme de ces dispositifs se traduit essentiellement par la levée des obstacles liés au financement bancaire, la décentralisation des décisions de financement, la réorientation des projets, conformément aux exigences du marché et au développement local et l'orientation des micro-crédits vers les métiers notamment au niveau des vieux quartiers des grandes villes. Le projet de stratégie prévoit, en outre, la création de structures de coordination entre les ministères et les différents secteurs concernés par l'emploi de jeunes aux niveaux local et national.