Lors de leur réunion organisée, dimanche, les transformateurs et producteurs de lait en sachet ont demandé à être représenté au sein de l'Office national interprofessionnel du lait pour pouvoir participer au choix de la poudre importée et afin d'assurer une transparence dans la distribution des quotas destinées aux producteurs. Ces derniers ont appelé l'ONIL à respecter les quotas de distribution du lait en poudre. La réduction des quotas alloués aux producteurs de lait privés s'est traduite selon les mêmes producteurs, par une baisse de 40% dans la production globale de lait des laiteries privées, passant de 5.700 tonnes/mois auparavant à 3.000 tonnes/mois actuellement. Le lait occupe, en Algérie, une place prépondérante dans la ration alimentaire de chaque foyer, rappelle M. Ziani, président de la filiale lait auprès de la Confédération des industriels et producteurs algériens (CIPA), indiquant au passage que le secteur privé assure 60% de la production du lait en sachet sur tout le territoire national. Pour sa part, le ministre du commerce a tenu, hier, à rassurer qu'il n'y aura aucune perturbation dans la distribution du lait ou d'autres produits de première nécessité. «Nous rassurons tout le monde que nous avons les quantités suffisantes et nous suivons de près le travail de l'ONIL» a précisé M. El Hachemi Djaâboub, lors de la journée d'étude sur les produits cosmétiques et d'hygiène corporelle et les produits toxiques qui s'est tenue hier à Alger. En réponse aux producteurs de lait inquiets, il dira «nous allons satisfaire toutes les demandes des transformateurs», affirmant par ailleurs que «le lait sera disponible de manière régulière au même titre que le blé et le pain», et ajoutant que «les prix ne seront pas augmentés, d'autant que cette question a déjà été tranchée». Pour rappel, il a été relevé, dimanche, que le retard dans le paiement des subventions des mois de novembre et décembre derniers perturbe la production de cette matière essentielle pour le quotidien de chacun. Lors de leur réunion organisée, dimanche, les transformateurs et producteurs de lait en sachet ont demandé à être représenté au sein de l'Office national interprofessionnel du lait pour pouvoir participer au choix de la poudre importée et afin d'assurer une transparence dans la distribution des quotas destinées aux producteurs. Ces derniers ont appelé l'ONIL à respecter les quotas de distribution du lait en poudre. La réduction des quotas alloués aux producteurs de lait privés s'est traduite selon les mêmes producteurs, par une baisse de 40% dans la production globale de lait des laiteries privées, passant de 5.700 tonnes/mois auparavant à 3.000 tonnes/mois actuellement. Le lait occupe, en Algérie, une place prépondérante dans la ration alimentaire de chaque foyer, rappelle M. Ziani, président de la filiale lait auprès de la Confédération des industriels et producteurs algériens (CIPA), indiquant au passage que le secteur privé assure 60% de la production du lait en sachet sur tout le territoire national. Pour sa part, le ministre du commerce a tenu, hier, à rassurer qu'il n'y aura aucune perturbation dans la distribution du lait ou d'autres produits de première nécessité. «Nous rassurons tout le monde que nous avons les quantités suffisantes et nous suivons de près le travail de l'ONIL» a précisé M. El Hachemi Djaâboub, lors de la journée d'étude sur les produits cosmétiques et d'hygiène corporelle et les produits toxiques qui s'est tenue hier à Alger. En réponse aux producteurs de lait inquiets, il dira «nous allons satisfaire toutes les demandes des transformateurs», affirmant par ailleurs que «le lait sera disponible de manière régulière au même titre que le blé et le pain», et ajoutant que «les prix ne seront pas augmentés, d'autant que cette question a déjà été tranchée». Pour rappel, il a été relevé, dimanche, que le retard dans le paiement des subventions des mois de novembre et décembre derniers perturbe la production de cette matière essentielle pour le quotidien de chacun.