A six mois des premières élections depuis le retour de la paix en Angola, les rivalités se ravivent entre le parti au pouvoir et l'opposition, tous deux issus de mouvements ennemis pendant les 27 ans de guerre civile. Les élections législatives, prévues les 5 et 6 septembre, sont considérées comme une étape importante pour la réconciliation nationale, six ans après la fin des hostilités, en avril 2002. L'Union nationale pour l'indépendance totale de l'Angola (Unita) espère détrôner le Mouvement populaire pour la libération de l'Angola (MPLA) au pouvoir depuis 1975. Une élection présidentielle est prévue en 2009. Le président José Eduardo dos Santos, qui dirige le pays depuis 1979, n'a pas encore fait savoir s'il comptait se présenter. A six mois des premières élections depuis le retour de la paix en Angola, les rivalités se ravivent entre le parti au pouvoir et l'opposition, tous deux issus de mouvements ennemis pendant les 27 ans de guerre civile. Les élections législatives, prévues les 5 et 6 septembre, sont considérées comme une étape importante pour la réconciliation nationale, six ans après la fin des hostilités, en avril 2002. L'Union nationale pour l'indépendance totale de l'Angola (Unita) espère détrôner le Mouvement populaire pour la libération de l'Angola (MPLA) au pouvoir depuis 1975. Une élection présidentielle est prévue en 2009. Le président José Eduardo dos Santos, qui dirige le pays depuis 1979, n'a pas encore fait savoir s'il comptait se présenter.