Intervenant lors d'un meeting populaire la première responsable du Parti des travailleurs explique que : «toutes les couches sociales et les institutions de l'Etat doivent participer à ce dialogue», assurant que «le peuple est la seule source de décision et de pouvoir» dans ce genre de question. Intervenant lors d'un meeting populaire la première responsable du Parti des travailleurs explique que : «toutes les couches sociales et les institutions de l'Etat doivent participer à ce dialogue», assurant que «le peuple est la seule source de décision et de pouvoir» dans ce genre de question. La SG du PT a prôné, jeudi à partir de Mecheria (wilaya de Naâma), à l'instauration «d'un véritable dialogue» sur le projet de révision de la Constitution. Intervenant lors d'un meeting populaire organisé à l'occasion de la célébration de la Journée mondiale de la femme, la première responsable du Parti des travailleurs précise son idée et explique que «toutes les couches sociales et les institutions de l'Etat doivent participer à ce dialogue», assurant que «le peuple est la seule source de décision et de pouvoir» dans ce genre de question. «La problématique ne se situe pas dans le nombre des mandats présidentiels», souligne-t-elle, «mais plutôt dans la mise en place des conditions requises pour le déroulement d'élections libres dans lesquelles la souveraineté reviendra au peuple». Selon la SG du PT, l'instauration d'un véritable dialogue sur la question de la révision de la Constitution permettera de «dissuader les parties étrangères de porter atteinte au pays» et par, de «s'immiscer dans les affaires internes du pays à partir de cette question». Les vertus du dialogue, a insisté Louisa Hanoune permettent également de «résoudre les problèmes en instance», parmi lesquels, a-t-elle déclaré, ceux des collectivités locales endettées, le pouvoir d'achat et la mauvaise gestion prévalant dans les communes. Abordant la révision du code communal, la première responsable du PT a réaffirmé que son parti militera pour le renforcement des prérogatives des P/APC. Pour en revenir à la célébration de cette journée particulière de la femme, le leader du PT a axé son discours sur l'opportunité qu'offre cette journée pour la femme algérienne pour «la revendication d'une cohésion sociale et la réévaluation de la condition féminine». La femme algérienne, souligne la première responsable du PT, «ne souffre plus de marginalisation», arguant qu'elle est devenue un « acteur actif dans la redynamisation de développement dans le pays et dans la participation aux échéances électorales». Abordant la situation sur le plan interne, notamment dans le domaine des hydrocarbures, Louiza Hanoune a recommandé «la réalisation d'une étude et d'un diagnostic systématique du dossier de la privatisation et la protection du tissu industriel contre les multinationales intéressées par le secteur». S'agissant du phénomène des "harragas", la SG a défendu la cause d'une prise en charge «psychologique et matérielle qui est, selon elle, à même de dissuader les jeunes à quitter leur pays et risquer leurs vies». Il est impératif, s'exclame-t-elle, «de générer des postes d'emploi permanents, de ne pas marginaliser les cadres, et de protéger la famille en garantissant ses droits . En clôturant son meeting, la SG du PT a appelé «à lever l'injustice perpétrée contre le peuple palestinien» exhortant les pays arabes «à coordonner leurs efforts» afin, dit-elle «de permettre aux Palestiniens de recouvrer leurs droits nationaux légitimes». La SG du PT a prôné, jeudi à partir de Mecheria (wilaya de Naâma), à l'instauration «d'un véritable dialogue» sur le projet de révision de la Constitution. Intervenant lors d'un meeting populaire organisé à l'occasion de la célébration de la Journée mondiale de la femme, la première responsable du Parti des travailleurs précise son idée et explique que «toutes les couches sociales et les institutions de l'Etat doivent participer à ce dialogue», assurant que «le peuple est la seule source de décision et de pouvoir» dans ce genre de question. «La problématique ne se situe pas dans le nombre des mandats présidentiels», souligne-t-elle, «mais plutôt dans la mise en place des conditions requises pour le déroulement d'élections libres dans lesquelles la souveraineté reviendra au peuple». Selon la SG du PT, l'instauration d'un véritable dialogue sur la question de la révision de la Constitution permettera de «dissuader les parties étrangères de porter atteinte au pays» et par, de «s'immiscer dans les affaires internes du pays à partir de cette question». Les vertus du dialogue, a insisté Louisa Hanoune permettent également de «résoudre les problèmes en instance», parmi lesquels, a-t-elle déclaré, ceux des collectivités locales endettées, le pouvoir d'achat et la mauvaise gestion prévalant dans les communes. Abordant la révision du code communal, la première responsable du PT a réaffirmé que son parti militera pour le renforcement des prérogatives des P/APC. Pour en revenir à la célébration de cette journée particulière de la femme, le leader du PT a axé son discours sur l'opportunité qu'offre cette journée pour la femme algérienne pour «la revendication d'une cohésion sociale et la réévaluation de la condition féminine». La femme algérienne, souligne la première responsable du PT, «ne souffre plus de marginalisation», arguant qu'elle est devenue un « acteur actif dans la redynamisation de développement dans le pays et dans la participation aux échéances électorales». Abordant la situation sur le plan interne, notamment dans le domaine des hydrocarbures, Louiza Hanoune a recommandé «la réalisation d'une étude et d'un diagnostic systématique du dossier de la privatisation et la protection du tissu industriel contre les multinationales intéressées par le secteur». S'agissant du phénomène des "harragas", la SG a défendu la cause d'une prise en charge «psychologique et matérielle qui est, selon elle, à même de dissuader les jeunes à quitter leur pays et risquer leurs vies». Il est impératif, s'exclame-t-elle, «de générer des postes d'emploi permanents, de ne pas marginaliser les cadres, et de protéger la famille en garantissant ses droits . En clôturant son meeting, la SG du PT a appelé «à lever l'injustice perpétrée contre le peuple palestinien» exhortant les pays arabes «à coordonner leurs efforts» afin, dit-elle «de permettre aux Palestiniens de recouvrer leurs droits nationaux légitimes».