Le DG des Douanes a souligné «la nécessité d'assurer une formation permanente à nos douaniers pour s'adapter aux réformes économiques engagées en Algérie». Le DG des Douanes a souligné «la nécessité d'assurer une formation permanente à nos douaniers pour s'adapter aux réformes économiques engagées en Algérie». Les Douanes algériennes se mettent à l'heure de la globalisation et de la mondialisation en lançant une politique de modernisation de leur organisation et de formation permanente de ses personnels. En effet, la récente visite en France du directeur général des Douanes, Mohamed Abdou Bouderbala, a notamment permis de jeter les bases d'une coopération durable avec les Douanes françaises et l'école supérieure des douanes de Tourcoing, premier établissement de l'Hexagone dans ce domaine. Il a affirmé «la nécessité d'assurer une formation permanente à nos douaniers pour s'adapter aux réformes économiques engagées en Algérie». Mais, il s'agit surtout de se préparer méthodiquement à la nouvelle réalité inhérente à la prochaine adhésion de l'Algérie à l'organisation mondiale du commerce (OMC) et à l'accord d'association avec l'Union européenne où le démantèlement tarifaire et la levée des barrières douanières changeront radicalement les attributions des douaniers. En fait, Bouderbala a noué de véritables relations de partenariat avec les douanes françaises à travers une collaboration visant le transfert de technologie et l'échange d'expériences. «Nous avons un système de formation au niveau national en quête de performance. Par conséquent, nous avons besoin du savoir faire et des connaissances scientifiques et techniques de l'Ecole de Tourcoing pour accompagner notre stratégie de formation», a notamment souligné le boss des douanes nationales. Evoquant l'Ecole des Douanes d'Oran, appelée à former des cadres et répondre aux besoins du secteur, il a sollicité les services des experts de la direction française des douanes et de l'Ecole de Tourcoing pour une assistance fructueuse dans l'édification de cette école de l'ouest du pays en institution nationale crédible et performante. Ainsi, il est question de doter cette école de toutes les structures et programmes liés à la formation des formateurs, l'ingénierie, et la téléformation. Pour sa part, Georges Claustres, responsable au niveau de la direction des douanes françaises, estime qu'il est prêt à enclencher une coopération pour la formation des agents des douanes algériens. Prochainement, un audit sera réalisé en Algérie par les experts des Douanes françaises pour évaluer l'organisation actuelle pour un meilleur et efficace transfert des techniques de formation. Il y a une année, Bouderbala avait déjà relevé les carences de son secteur en déclarant que «l'organisation actuelle des douanes est à un niveau qui n'est pas susceptible de faire face aux défis et autres échéances attendant l'Algérie, telle que la mondialisation. Aussi un plan de restructuration des douanes, allant de 2007 à 2010, a été élaboré et s'articulera autour de la modernisation des ressources humaines, l'organisation interne, les conditions et les moyens de travail, ainsi que le droit douanier». En 2000, l'Algérie et la France ont signé une convention sur l'assistance administrative mutuelle internationale ayant pour objet de prévenir, rechercher et réprimer les fraudes douanières et le trafic de stupéfiants par les administrations douanières des deux pays. Rappelons que les Douanes algériennes sont, depuis une dizaine d'années, le premier partenaire des douanes françaises au Maghreb. Le nouveau plan de modernisation des douanes nationales préconise la mise en place d'une inspection générale jouant le rôle de police, et qui se chargera de contrôler, non seulement les services et les marchandises, mais également et surtout de surveiller les personnes. Il s'agit donc de combattre la corruption rampante sous toutes ses formes et lutter efficacement contre le blanchiment d'argent, la contrefaçon et la contrebande. Les Douanes algériennes se mettent à l'heure de la globalisation et de la mondialisation en lançant une politique de modernisation de leur organisation et de formation permanente de ses personnels. En effet, la récente visite en France du directeur général des Douanes, Mohamed Abdou Bouderbala, a notamment permis de jeter les bases d'une coopération durable avec les Douanes françaises et l'école supérieure des douanes de Tourcoing, premier établissement de l'Hexagone dans ce domaine. Il a affirmé «la nécessité d'assurer une formation permanente à nos douaniers pour s'adapter aux réformes économiques engagées en Algérie». Mais, il s'agit surtout de se préparer méthodiquement à la nouvelle réalité inhérente à la prochaine adhésion de l'Algérie à l'organisation mondiale du commerce (OMC) et à l'accord d'association avec l'Union européenne où le démantèlement tarifaire et la levée des barrières douanières changeront radicalement les attributions des douaniers. En fait, Bouderbala a noué de véritables relations de partenariat avec les douanes françaises à travers une collaboration visant le transfert de technologie et l'échange d'expériences. «Nous avons un système de formation au niveau national en quête de performance. Par conséquent, nous avons besoin du savoir faire et des connaissances scientifiques et techniques de l'Ecole de Tourcoing pour accompagner notre stratégie de formation», a notamment souligné le boss des douanes nationales. Evoquant l'Ecole des Douanes d'Oran, appelée à former des cadres et répondre aux besoins du secteur, il a sollicité les services des experts de la direction française des douanes et de l'Ecole de Tourcoing pour une assistance fructueuse dans l'édification de cette école de l'ouest du pays en institution nationale crédible et performante. Ainsi, il est question de doter cette école de toutes les structures et programmes liés à la formation des formateurs, l'ingénierie, et la téléformation. Pour sa part, Georges Claustres, responsable au niveau de la direction des douanes françaises, estime qu'il est prêt à enclencher une coopération pour la formation des agents des douanes algériens. Prochainement, un audit sera réalisé en Algérie par les experts des Douanes françaises pour évaluer l'organisation actuelle pour un meilleur et efficace transfert des techniques de formation. Il y a une année, Bouderbala avait déjà relevé les carences de son secteur en déclarant que «l'organisation actuelle des douanes est à un niveau qui n'est pas susceptible de faire face aux défis et autres échéances attendant l'Algérie, telle que la mondialisation. Aussi un plan de restructuration des douanes, allant de 2007 à 2010, a été élaboré et s'articulera autour de la modernisation des ressources humaines, l'organisation interne, les conditions et les moyens de travail, ainsi que le droit douanier». En 2000, l'Algérie et la France ont signé une convention sur l'assistance administrative mutuelle internationale ayant pour objet de prévenir, rechercher et réprimer les fraudes douanières et le trafic de stupéfiants par les administrations douanières des deux pays. Rappelons que les Douanes algériennes sont, depuis une dizaine d'années, le premier partenaire des douanes françaises au Maghreb. Le nouveau plan de modernisation des douanes nationales préconise la mise en place d'une inspection générale jouant le rôle de police, et qui se chargera de contrôler, non seulement les services et les marchandises, mais également et surtout de surveiller les personnes. Il s'agit donc de combattre la corruption rampante sous toutes ses formes et lutter efficacement contre le blanchiment d'argent, la contrefaçon et la contrebande.