Vous êtes du genre énervé ? Vous brandissez le poing face au chauffard qui vous a coupé la route, vous criez à tue-tête si, par malheur, vous ne trouvez pas vos dossier là où vous les avez placé, vous déversez des insanités à votre épouse qui vous harcelait par ces questions, vous agressez la collègue qui vous coupe la parole pour répondre avant vous au boss ? Stop ! Si les occasions de "bouillir" intérieurement ne manquent pas, une dispute, ou un déferlement d'injures ne soulagent absolument pas, contrairement à ce que vous croyez. Au contraire, cette attitude peut finir par être dévalorisante, en plus de vous faire perdre bêtement votre énergie, et de faire grimper votre adrénaline. Alors que «parvenir à maîtriser votre agressivité, comme toute victoire chèrement acquise, augmentera votre fierté et regonfler votre estime de vous. Vous avez tout à y gagner, d'autant qu'à long terme l'agressivité a souvent des conséquences fâcheuses, que cela soit en amitié, au travail ou en amour, pouvant finir par provoquer un rejet de la part des autres. Les «grandes gueules» ne sont pas toujours appréciés ! Se défendre en attaquant : c'est la technique de "l'agressé agresseur" ! Apprenez à gérer autrement vos conflits, en misant plutôt sur le dialogue pour les désamorcer. Une attitude qui vous oblige, non à vous lâcher en hurlant, mais à écouter le «casse-pieds» que vous avez devant vous. Essayez de comprendre son attitude ou ses revendications, même si vous vous sentez horripilé. Profitez-en pour redonner aux événements leur juste valeur : ce monsieur vous a bousculé ou vous a pris sous le nez votre place de parking : n'est-il pas légèrement exagéré de l'injurier ainsi ? Vous ne devez pas vous écraser, mais apprendre à exprimer vos émotions clairement et sans énervement. N'oubliez pas que si vous pouvez blâmer le comportement de l'autre, vous devez respecter l'individu et ne pas le dévaloriser. Monter le ton : utilisez la technique dite de la messe basse. Face à des hurlements (les vôtres ou ceux de votre interlocuteur), ralentissez progressivement votre débit et votre volume sonore : votre interlocuteur en fera autant sans même s'en rendre compte. A volume faible, votre conflit se résoudra mieux ! Se laisser déborder par son énergie. Les facteurs déclenchants de l'agressivité sont généralement le stress, l'insatisfaction, la frustration, des soucis personnels. Dans la vie quotidienne, chacun y est confronté dans le double rôle d'agresseur et d'agressé. Et, à force d'encaisser les chocs, le risque, on s'emporte pour une broutille, parce qu'une goutte d'eau fait déborder le vase. Pour mieux gérer votre stress et canaliser votre énergie, pratiquez un art martial comme le karaté qui associe le souci de maîtrise et de connaissance de soi, et le respect des autres. Idéal pour calmer les excités "en profondeur". Un sport "défouloir" (jogging, squash, natation, vélo…) peut également être bénéfique pour chasser la tension nerveuse. Vous êtes du genre énervé ? Vous brandissez le poing face au chauffard qui vous a coupé la route, vous criez à tue-tête si, par malheur, vous ne trouvez pas vos dossier là où vous les avez placé, vous déversez des insanités à votre épouse qui vous harcelait par ces questions, vous agressez la collègue qui vous coupe la parole pour répondre avant vous au boss ? Stop ! Si les occasions de "bouillir" intérieurement ne manquent pas, une dispute, ou un déferlement d'injures ne soulagent absolument pas, contrairement à ce que vous croyez. Au contraire, cette attitude peut finir par être dévalorisante, en plus de vous faire perdre bêtement votre énergie, et de faire grimper votre adrénaline. Alors que «parvenir à maîtriser votre agressivité, comme toute victoire chèrement acquise, augmentera votre fierté et regonfler votre estime de vous. Vous avez tout à y gagner, d'autant qu'à long terme l'agressivité a souvent des conséquences fâcheuses, que cela soit en amitié, au travail ou en amour, pouvant finir par provoquer un rejet de la part des autres. Les «grandes gueules» ne sont pas toujours appréciés ! Se défendre en attaquant : c'est la technique de "l'agressé agresseur" ! Apprenez à gérer autrement vos conflits, en misant plutôt sur le dialogue pour les désamorcer. Une attitude qui vous oblige, non à vous lâcher en hurlant, mais à écouter le «casse-pieds» que vous avez devant vous. Essayez de comprendre son attitude ou ses revendications, même si vous vous sentez horripilé. Profitez-en pour redonner aux événements leur juste valeur : ce monsieur vous a bousculé ou vous a pris sous le nez votre place de parking : n'est-il pas légèrement exagéré de l'injurier ainsi ? Vous ne devez pas vous écraser, mais apprendre à exprimer vos émotions clairement et sans énervement. N'oubliez pas que si vous pouvez blâmer le comportement de l'autre, vous devez respecter l'individu et ne pas le dévaloriser. Monter le ton : utilisez la technique dite de la messe basse. Face à des hurlements (les vôtres ou ceux de votre interlocuteur), ralentissez progressivement votre débit et votre volume sonore : votre interlocuteur en fera autant sans même s'en rendre compte. A volume faible, votre conflit se résoudra mieux ! Se laisser déborder par son énergie. Les facteurs déclenchants de l'agressivité sont généralement le stress, l'insatisfaction, la frustration, des soucis personnels. Dans la vie quotidienne, chacun y est confronté dans le double rôle d'agresseur et d'agressé. Et, à force d'encaisser les chocs, le risque, on s'emporte pour une broutille, parce qu'une goutte d'eau fait déborder le vase. Pour mieux gérer votre stress et canaliser votre énergie, pratiquez un art martial comme le karaté qui associe le souci de maîtrise et de connaissance de soi, et le respect des autres. Idéal pour calmer les excités "en profondeur". Un sport "défouloir" (jogging, squash, natation, vélo…) peut également être bénéfique pour chasser la tension nerveuse.