Au lendemain de l'incident survenu à Bourouba, vers 15h30 et qui s'est soldé par la mort accidentelle d'une femme, le procureur de la République a ordonné l'ouverture d'une enquête pour mettre toute la lumière sur ce drame. C'est ce qu'a annoncé, hier, lors d'un point de presse, le responsable de la cellule de communication de la sûreté de la wilaya d'Alger. «Déplorant ce regrettable accident, la DGSN et la Sûreté de la wilaya ont adressé leurs condoléances aux parents de la victime avec l'assurance que le ou les auteurs seront sévèrement sanctionnés». Lors de cette rencontre avec la presse nationale, le commissaire Samir a apporté des éclaircissements sur les origines de cet incident. Il indiquera que les policiers de la BMPJ relevant de Bachdjarah, sur la base de plaintes, s'étaient rendus sur les lieux avec l'intention d'appréhender une des quatre personnes activement recherchées pour de multiples agressions commises sur la route menant vers l'autoroute de Blida. «Après avoir interpellé l'une des personnes, les policiers ont été sévèrement malmenés et menacés par la foule dont certaines personnes étaient armées de couteaux, d'épées et de fusils arpons». Et à l'officier de préciser : «Devant cette situation extrême et sous une pluie de pierres lancées par la foule, les policiers, se sentant en danger, ont fait usage de leurs armes en tirant des coups de feu de sommation». Au terme de ces escarmouches, une femme est décédée et quatre policiers faisant partie de l'escouade ont été blessés, révèle une source proche des services de sécurité. Le commissaire Samir n'a pas caché, d'une part, sa déception devant la tournure qu'ont pris les événements, et d'autre part, son affliction vis-à-vis de la famille de la défunte. «Un des quatre policiers a malencontreusement perdu son sang-froid et a fait feu sans prendre la peine de baisser son arme, touchant mortellement la pauvre femme qui décéda à l'hôpital», devait-il affirmer. Il indiquera que les quatre armes utilisées ont été réquisitionnées et envoyées aux services de la police scientifique pour y être soumises à des analyses balistiques assurant, par ailleurs, que «le ou les auteurs seront sévèrement sanctionnés». Une autre version avancée par un policier parle d'un accident. «Le policier avait peut-être oublié de mettre le cran de sécurité», insinue-t-il. Pour l'heure, le commissaire Samir informe que «le procureur de la République a ordonné l'ouverture d'une enquête judiciaire et seuls les résultats détermineront la nature de la sanction devant être infligée aux policiers». Au lendemain de l'incident survenu à Bourouba, vers 15h30 et qui s'est soldé par la mort accidentelle d'une femme, le procureur de la République a ordonné l'ouverture d'une enquête pour mettre toute la lumière sur ce drame. C'est ce qu'a annoncé, hier, lors d'un point de presse, le responsable de la cellule de communication de la sûreté de la wilaya d'Alger. «Déplorant ce regrettable accident, la DGSN et la Sûreté de la wilaya ont adressé leurs condoléances aux parents de la victime avec l'assurance que le ou les auteurs seront sévèrement sanctionnés». Lors de cette rencontre avec la presse nationale, le commissaire Samir a apporté des éclaircissements sur les origines de cet incident. Il indiquera que les policiers de la BMPJ relevant de Bachdjarah, sur la base de plaintes, s'étaient rendus sur les lieux avec l'intention d'appréhender une des quatre personnes activement recherchées pour de multiples agressions commises sur la route menant vers l'autoroute de Blida. «Après avoir interpellé l'une des personnes, les policiers ont été sévèrement malmenés et menacés par la foule dont certaines personnes étaient armées de couteaux, d'épées et de fusils arpons». Et à l'officier de préciser : «Devant cette situation extrême et sous une pluie de pierres lancées par la foule, les policiers, se sentant en danger, ont fait usage de leurs armes en tirant des coups de feu de sommation». Au terme de ces escarmouches, une femme est décédée et quatre policiers faisant partie de l'escouade ont été blessés, révèle une source proche des services de sécurité. Le commissaire Samir n'a pas caché, d'une part, sa déception devant la tournure qu'ont pris les événements, et d'autre part, son affliction vis-à-vis de la famille de la défunte. «Un des quatre policiers a malencontreusement perdu son sang-froid et a fait feu sans prendre la peine de baisser son arme, touchant mortellement la pauvre femme qui décéda à l'hôpital», devait-il affirmer. Il indiquera que les quatre armes utilisées ont été réquisitionnées et envoyées aux services de la police scientifique pour y être soumises à des analyses balistiques assurant, par ailleurs, que «le ou les auteurs seront sévèrement sanctionnés». Une autre version avancée par un policier parle d'un accident. «Le policier avait peut-être oublié de mettre le cran de sécurité», insinue-t-il. Pour l'heure, le commissaire Samir informe que «le procureur de la République a ordonné l'ouverture d'une enquête judiciaire et seuls les résultats détermineront la nature de la sanction devant être infligée aux policiers».