La loi de finances complémentaire est actuellement en cours de préparation au niveau du ministère des Finances, qui aurait été instruit par le gouvernement à cet effet, en vue d'introduire les dépenses d'urgence non contenues dans la loi de finances 2008, en vigueur depuis janvier dernier. L'élaboration de la loi de finances complémentaire est motivée, selon des économistes, par le souci de réguler et encadrer les dépenses destinées à couvrir la subvention et le plafonnement des prix des produits de large consommation. Ces dépenses qui n'ont pas été introduites dans la loi de finances 2008, ont été décidées à la suite des propositions faites par la commission gouvernementale chargée du contrôle des prix et de l'évolution du marché, qui se réunit chaque semaine au niveau du ministère du Commerce. Cette commission pourrait, conformément aux missions qui lui ont été confiées, proposer de nouvelles solutions au gouvernement pour qu'elles soient prises comme mesures concrètes, en vue de faire face aux fluctuations du marché et à la hausse des prix. L'Etat qui continue à subventionner plusieurs produits de première nécessité, à l'instar de la farine et de la poudre destinée à la fabrication du lait en sachet, se trouve donc dans l'obligation de reconduire cette subvention devant la dégradation du pouvoir d'achat d'une large catégorie de la population et ce, en dépit de l'effort financier assez lourd, évalué à 77 milliards de dinars par an. Selon le ministre du Commerce, Hachemi Djaaboub, la facture engendrée par le plafonnement des prix de matières de large consommation comme la semoule, l'huile de table et les légumes secs est «très importante» et est évaluée à 107 milliards de dinars pour cette année. Partant de cette logique, le prix de l'huile de table devrait se stabiliser autour de 450 DA le bidon de cinq litres, alors que le sac de semoule de 25 kg ne devrait pas dépasser les 950 DA. La loi de finances complémentaire est actuellement en cours de préparation au niveau du ministère des Finances, qui aurait été instruit par le gouvernement à cet effet, en vue d'introduire les dépenses d'urgence non contenues dans la loi de finances 2008, en vigueur depuis janvier dernier. L'élaboration de la loi de finances complémentaire est motivée, selon des économistes, par le souci de réguler et encadrer les dépenses destinées à couvrir la subvention et le plafonnement des prix des produits de large consommation. Ces dépenses qui n'ont pas été introduites dans la loi de finances 2008, ont été décidées à la suite des propositions faites par la commission gouvernementale chargée du contrôle des prix et de l'évolution du marché, qui se réunit chaque semaine au niveau du ministère du Commerce. Cette commission pourrait, conformément aux missions qui lui ont été confiées, proposer de nouvelles solutions au gouvernement pour qu'elles soient prises comme mesures concrètes, en vue de faire face aux fluctuations du marché et à la hausse des prix. L'Etat qui continue à subventionner plusieurs produits de première nécessité, à l'instar de la farine et de la poudre destinée à la fabrication du lait en sachet, se trouve donc dans l'obligation de reconduire cette subvention devant la dégradation du pouvoir d'achat d'une large catégorie de la population et ce, en dépit de l'effort financier assez lourd, évalué à 77 milliards de dinars par an. Selon le ministre du Commerce, Hachemi Djaaboub, la facture engendrée par le plafonnement des prix de matières de large consommation comme la semoule, l'huile de table et les légumes secs est «très importante» et est évaluée à 107 milliards de dinars pour cette année. Partant de cette logique, le prix de l'huile de table devrait se stabiliser autour de 450 DA le bidon de cinq litres, alors que le sac de semoule de 25 kg ne devrait pas dépasser les 950 DA.