L'Algérie envisage sérieusement de soumettre à la prochaine session de l'Assemblée générale de l'ONU des propositions pour qu'elles soient introduites dans les modifications qui seront apportées à la convention internationale de lutte contre le terrorisme, et ce, dans le cadre des efforts visant à faire face à ce phénomène transfrontalier. C'est ce qui a été révélé par une source devant prendre part à la réunion de la troisième session du groupe de travail bilatéral algéro-russe dans le domaine de la lutte antiterroriste, qui aura lieu prochainement. Cette réunion sera présidée par M. Rezzag Bara, conseiller à la présidence de la République, côté algérien, et le représentant du président de la Fédération de Russie, chargé de la coopération internationale en matière de lutte contre le terrorisme et le crime organisé transfrontalier, Anatoli Savonov. Selon la même source, l'Algérie, à travers son expérience en la matière, est bien placée pour soumettre aux Nations unies les propositions qu'elle juge nécessaires à cet effet, ajoutant que la délégation russe compte s'informer auprès des autorités algériennes sur les modifications qu'il faudra intégrer dans la convention internationale, laquelle reste, a-t-on précisé, en deçà des aspirations de la communauté internationale. Ceci d'autant qu'il est admis, aujourd'hui, que le terrorisme constitue une véritable menace pour la paix et la sécurité dans le monde, comme cela a été prouvé par les nombreux attentats perpétrés dans plusieurs régions de la planète. C'est la raison pour laquelle la communauté internationale est appelée à faire face à ce phénomène à travers une stratégie globale, solidaire et efficace, relève la même source, pour qui l'organisation onusienne demeure le cadre approprié pour hisser le niveau de coopération internationale, à travers la neutralisation des auteurs des attentats terroristes et le contrôle de leurs sources de financement et de soutien logistique. L'Algérie a de tout temps appelé à la mise en place d'une convention globale sur le terrorisme international, sans que celle-ci confonde entre terrorisme et droit des peuples à lutter pour leur indépendance et à défendre leur pays contre toute invasion étrangère. L'Algérie envisage sérieusement de soumettre à la prochaine session de l'Assemblée générale de l'ONU des propositions pour qu'elles soient introduites dans les modifications qui seront apportées à la convention internationale de lutte contre le terrorisme, et ce, dans le cadre des efforts visant à faire face à ce phénomène transfrontalier. C'est ce qui a été révélé par une source devant prendre part à la réunion de la troisième session du groupe de travail bilatéral algéro-russe dans le domaine de la lutte antiterroriste, qui aura lieu prochainement. Cette réunion sera présidée par M. Rezzag Bara, conseiller à la présidence de la République, côté algérien, et le représentant du président de la Fédération de Russie, chargé de la coopération internationale en matière de lutte contre le terrorisme et le crime organisé transfrontalier, Anatoli Savonov. Selon la même source, l'Algérie, à travers son expérience en la matière, est bien placée pour soumettre aux Nations unies les propositions qu'elle juge nécessaires à cet effet, ajoutant que la délégation russe compte s'informer auprès des autorités algériennes sur les modifications qu'il faudra intégrer dans la convention internationale, laquelle reste, a-t-on précisé, en deçà des aspirations de la communauté internationale. Ceci d'autant qu'il est admis, aujourd'hui, que le terrorisme constitue une véritable menace pour la paix et la sécurité dans le monde, comme cela a été prouvé par les nombreux attentats perpétrés dans plusieurs régions de la planète. C'est la raison pour laquelle la communauté internationale est appelée à faire face à ce phénomène à travers une stratégie globale, solidaire et efficace, relève la même source, pour qui l'organisation onusienne demeure le cadre approprié pour hisser le niveau de coopération internationale, à travers la neutralisation des auteurs des attentats terroristes et le contrôle de leurs sources de financement et de soutien logistique. L'Algérie a de tout temps appelé à la mise en place d'une convention globale sur le terrorisme international, sans que celle-ci confonde entre terrorisme et droit des peuples à lutter pour leur indépendance et à défendre leur pays contre toute invasion étrangère.