Alger est parvenu à arracher le soutien des pays arabes dans cette optique, en réussissant à convaincre les premiers responsables diplomatiques de plusieurs Etats de la nécessité, voire de l'urgence de prendre une décision commune dans le cadre de la lutte antiterroriste. Alger est parvenu à arracher le soutien des pays arabes dans cette optique, en réussissant à convaincre les premiers responsables diplomatiques de plusieurs Etats de la nécessité, voire de l'urgence de prendre une décision commune dans le cadre de la lutte antiterroriste. La proposition algérienne de criminalisation du versement de rançons aux groupes terroristes pour libérer des otages est en train de gagner du terrain. En effet, Alger est parvenu à arracher le soutien des pays arabes dans cette optique, en réussissant à convaincre les premiers responsables diplomatiques de plusieurs Etats de la nécessité, voire de l'urgence de prendre une décision commune dans le cadre de la lutte antiterroriste. Les ministres arabes des Affaires étrangères ont souligné leur rejet de toutes formes d'exactions commises par les groupes terroristes, notamment la demande de rançons pour financer leurs crimes. Concernant la lutte contre le terrorisme international, les ministres arabes des Affaires étrangères ont adopté, lors de leur dernière session ordinaire, la proposition de l'Algérie relative au rejet de toutes formes d'exactions commises par les groupes terroristes telles la menace, l'exécution d'otages ou la demande de rançons pour financer leurs crimes. Par ailleurs, les ministres ont appelé les Etats arabes qui n'ont pas encore ratifié la Convention arabe de lutte anti-terroriste à le faire, tout en réaffirmant leur condamnation du terrorisme sous toutes ses formes et la nécessité de faire la distinction entre le terrorisme et la résistance légitime des peuples face à l'occupation. Ils ont également réaffirmé leur rejet de l'assimilation du terrorisme à l'islam qui prône la tolérance, soulignant la nécessité d'éradiquer le terrorisme à travers l'élimination des foyers de tension et de la politique de deux poids, deux mesures dans l'application de la légalité internationale et de mettre fin à l'occupation, à l'injustice et à l'atteinte aux droits de l'Homme. Lors de cette session, les ministres des Affaires étrangères ont évoqué les efforts déployés par le groupe arabe à l'Onu et l'ont appelé à poursuivre sa coordination avec les groupes régionaux pour la tenue d'une session spéciale de l'assemblée générale de l'Onu ou l'organisation d'une conférence internationale par l'Onu et à accélérer l'élaboration de la convention globale de l'Onu sur le terrorisme visant une définition précise du terrorisme prenant en considération la distinction entre le terrorisme et le droit légitime des peuples à la résistance face à l'occupation. L'Algérie est en train de redoubler d'efforts ces dernières années pour vaincre la menace terroriste qui vient désormais du Sud. De la région du Sahel plus précisément, infestée par les groupes de sanguinaires, « grâcement » renforcés par les rançons des Européens en contrepartie de la libération de leurs otages. Alger ne tarit pas en initiatives, face au double jeu appliqué par certains pays européens, dont des touristes sont régulièrement kidnappés au nord du Mali et du Niger. D'ailleurs, le ministre délégué chargé des Affaires maghrébines et africaines, Abdelkader Messahel a annoncé la tenue, prochainement, de deux réunions sur la situation au Sahel. M. C. La proposition algérienne de criminalisation du versement de rançons aux groupes terroristes pour libérer des otages est en train de gagner du terrain. En effet, Alger est parvenu à arracher le soutien des pays arabes dans cette optique, en réussissant à convaincre les premiers responsables diplomatiques de plusieurs Etats de la nécessité, voire de l'urgence de prendre une décision commune dans le cadre de la lutte antiterroriste. Les ministres arabes des Affaires étrangères ont souligné leur rejet de toutes formes d'exactions commises par les groupes terroristes, notamment la demande de rançons pour financer leurs crimes. Concernant la lutte contre le terrorisme international, les ministres arabes des Affaires étrangères ont adopté, lors de leur dernière session ordinaire, la proposition de l'Algérie relative au rejet de toutes formes d'exactions commises par les groupes terroristes telles la menace, l'exécution d'otages ou la demande de rançons pour financer leurs crimes. Par ailleurs, les ministres ont appelé les Etats arabes qui n'ont pas encore ratifié la Convention arabe de lutte anti-terroriste à le faire, tout en réaffirmant leur condamnation du terrorisme sous toutes ses formes et la nécessité de faire la distinction entre le terrorisme et la résistance légitime des peuples face à l'occupation. Ils ont également réaffirmé leur rejet de l'assimilation du terrorisme à l'islam qui prône la tolérance, soulignant la nécessité d'éradiquer le terrorisme à travers l'élimination des foyers de tension et de la politique de deux poids, deux mesures dans l'application de la légalité internationale et de mettre fin à l'occupation, à l'injustice et à l'atteinte aux droits de l'Homme. Lors de cette session, les ministres des Affaires étrangères ont évoqué les efforts déployés par le groupe arabe à l'Onu et l'ont appelé à poursuivre sa coordination avec les groupes régionaux pour la tenue d'une session spéciale de l'assemblée générale de l'Onu ou l'organisation d'une conférence internationale par l'Onu et à accélérer l'élaboration de la convention globale de l'Onu sur le terrorisme visant une définition précise du terrorisme prenant en considération la distinction entre le terrorisme et le droit légitime des peuples à la résistance face à l'occupation. L'Algérie est en train de redoubler d'efforts ces dernières années pour vaincre la menace terroriste qui vient désormais du Sud. De la région du Sahel plus précisément, infestée par les groupes de sanguinaires, « grâcement » renforcés par les rançons des Européens en contrepartie de la libération de leurs otages. Alger ne tarit pas en initiatives, face au double jeu appliqué par certains pays européens, dont des touristes sont régulièrement kidnappés au nord du Mali et du Niger. D'ailleurs, le ministre délégué chargé des Affaires maghrébines et africaines, Abdelkader Messahel a annoncé la tenue, prochainement, de deux réunions sur la situation au Sahel. M. C.