Les congressistes débattront, l'espace de trois journées, aujourd'hui, et les 30 et 31 mars, de plusieurs dossiers ayant trait au monde du travail, et de la situation du syndicalisme en Algérie. Les congressistes débattront, l'espace de trois journées, aujourd'hui, et les 30 et 31 mars, de plusieurs dossiers ayant trait au monde du travail, et de la situation du syndicalisme en Algérie. Le 11° Congrès de l'Union générale des travailleurs algériens (UGTA), s'ouvre aujourd'hui à Alger. Ces assises d'extrême importance pour la Centrale syndicale, s'inscrivent dans le cadre de la modernisation de ses structures et outils de travail, afin d'aligner la stratégie de ce syndicat sur les mutations économiques et sociales du pays. Le Secrétaire général actuel de l'UGTA avait affirmé récemment cette tendance, d'où le slogan de ce congrès intitulé « stabilité, solidarité et modernité ». En effet, quelques 1.100 délégués et 400 invités étrangers se rencontrent aujourd'hui, selon les chiffres communiqués par la Centrale syndicale, qui confirme la présence de plusieurs organisations travaillistes internationales, à l'image du Bureau international du travail (BIT), l'Organisation africaine du travail (OAT), et bien d'autres . Les congressistes débattront, l'espace de trois journées, aujourd'hui, et les 30 et 31 mars, de plusieurs dossiers ayant trait au monde du travail, et de la situation du syndicalisme en Algérie. Abdelmadjid Sidi Saïd avait déclaré, il y a quelques jours, à l'occasion de la Conférence organique du syndicat national des enseignants universitaires, que le congrès sera une opportunité pour redonner du souffle à la Centrale, par un nouveau départ, et ce, en faisant du volet modernisation des structures et des méthodes de travail, le cheval de bataille des instances qui seront issues de ces assises. Le Congrès sera également l'occasion de présenter un rapport très détaillé des activités de l'UGTA entre 2000 et 2007, par des statistiques et des textes législatifs qui témoigneront sur les réalisations de la Centrale syndicale au profit du monde du travail. Il sera également question de la nouvelle grille des salaires, qui devrait entrer en vigueur le premier janvier de l'année en cours mais qui a été, retardée à cause du retard pris par l'élaboration des statuts particuliers des différentes Fédérations affiliées à l'UGTA. Cette grille, faut-il le rappeler, fait l'objet d'une controverse, notamment de la part des syndicats autonomes, qui enchaînent les grèves pour la contester. Ce qui a contraint le gouvernement à annoncer son application anticipée, à partir du premier avril prochain, avec effet rétroactif. Bien que cette mesure ne semble pas apaiser la fougue des syndicats autonomes, l'UGTA soutient mordicus que cela représente un acquis historique pour le monde du travail en Algérie. Par ailleurs, le chargé de communication au sein de la Centrale syndicale est resté évasif sur la composante des candidats au poste de SG de l'UGTA. Cela conforte encore plus les pronostics des observateurs nationaux, qui ne reviennent plud sur la question : Abdelmadjid Sidi Saïd succèdera à lui-même. Par ailleurs, et outre l'élection du nouveau SG de l'UGTA, les congressistes auront à désigner les commissions qui s'attelleront à élaborer le programme d'action du prochain mandat et la Déclaration finale qui chapeautera les travaux du 11° congrès au troisième et dernier jour, a ajouté Rachid Ait Ali. Le 11° Congrès de l'Union générale des travailleurs algériens (UGTA), s'ouvre aujourd'hui à Alger. Ces assises d'extrême importance pour la Centrale syndicale, s'inscrivent dans le cadre de la modernisation de ses structures et outils de travail, afin d'aligner la stratégie de ce syndicat sur les mutations économiques et sociales du pays. Le Secrétaire général actuel de l'UGTA avait affirmé récemment cette tendance, d'où le slogan de ce congrès intitulé « stabilité, solidarité et modernité ». En effet, quelques 1.100 délégués et 400 invités étrangers se rencontrent aujourd'hui, selon les chiffres communiqués par la Centrale syndicale, qui confirme la présence de plusieurs organisations travaillistes internationales, à l'image du Bureau international du travail (BIT), l'Organisation africaine du travail (OAT), et bien d'autres . Les congressistes débattront, l'espace de trois journées, aujourd'hui, et les 30 et 31 mars, de plusieurs dossiers ayant trait au monde du travail, et de la situation du syndicalisme en Algérie. Abdelmadjid Sidi Saïd avait déclaré, il y a quelques jours, à l'occasion de la Conférence organique du syndicat national des enseignants universitaires, que le congrès sera une opportunité pour redonner du souffle à la Centrale, par un nouveau départ, et ce, en faisant du volet modernisation des structures et des méthodes de travail, le cheval de bataille des instances qui seront issues de ces assises. Le Congrès sera également l'occasion de présenter un rapport très détaillé des activités de l'UGTA entre 2000 et 2007, par des statistiques et des textes législatifs qui témoigneront sur les réalisations de la Centrale syndicale au profit du monde du travail. Il sera également question de la nouvelle grille des salaires, qui devrait entrer en vigueur le premier janvier de l'année en cours mais qui a été, retardée à cause du retard pris par l'élaboration des statuts particuliers des différentes Fédérations affiliées à l'UGTA. Cette grille, faut-il le rappeler, fait l'objet d'une controverse, notamment de la part des syndicats autonomes, qui enchaînent les grèves pour la contester. Ce qui a contraint le gouvernement à annoncer son application anticipée, à partir du premier avril prochain, avec effet rétroactif. Bien que cette mesure ne semble pas apaiser la fougue des syndicats autonomes, l'UGTA soutient mordicus que cela représente un acquis historique pour le monde du travail en Algérie. Par ailleurs, le chargé de communication au sein de la Centrale syndicale est resté évasif sur la composante des candidats au poste de SG de l'UGTA. Cela conforte encore plus les pronostics des observateurs nationaux, qui ne reviennent plud sur la question : Abdelmadjid Sidi Saïd succèdera à lui-même. Par ailleurs, et outre l'élection du nouveau SG de l'UGTA, les congressistes auront à désigner les commissions qui s'attelleront à élaborer le programme d'action du prochain mandat et la Déclaration finale qui chapeautera les travaux du 11° congrès au troisième et dernier jour, a ajouté Rachid Ait Ali.