Les deux chefs d'Etat «ont manifesté leur intérêt quant au point relatif aux relations interarabes, soulevé lors des travaux du Sommet de Damas » Les deux chefs d'Etat «ont manifesté leur intérêt quant au point relatif aux relations interarabes, soulevé lors des travaux du Sommet de Damas » Le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, a eu des entretiens en tête-à-tête, hier, à la présidence de la République égyptienne, avec son homologue égyptien, Mohamed Hosni Moubarak. Le président de la République était arrivé dimanche au Caire en provenance de Damas où il a pris part aux travaux du 20e Sommet arabe. Un sommet qui a mis à mal les relations arabo-arabes, tant sont profondes les divergences qui opposent certains dirigeants de la région du Moyen-Orient. « La rencontre entre les Présidents Bouteflika et Moubarak traduit leur attachement à "la concertation et la coordination" autour des différents dossiers arabes et internationaux, notamment ceux relatifs aux résultats du 20e Sommet arabe dont les travaux ont pris fin dimanche en Syrie » a indiqué, hier le porte -parole de la présidence égyptienne, lors d'une conférence de presse, soulignant que les deux chefs d'Etat «ont manifesté leur intérêt quant au point relatif aux relations interarabes, soulevé lors des travaux du Sommet de Damas ». Au menu des Présidents Algérien et Egyptien ont figuré, également, selon le porte- parole, « d'autres dossiers relatifs, notamment, aux développements relevés en Palestine, en Irak, au Liban, au Soudan et en Somalie, aux relations interarabes et au dossier du nucléaire iranien ». Concernant les relations bilatérales, Abdelaziz Bouteflika et Hosni Moubarak ont exprimé leur attachement au « renforcement et à l'intensification de la coopération algéro-égyptienne dans les différents domaines». Les deux chefs d'Etat ont ,également, a poursuivi le porte-parole, « manifesté leur volonté de concrétiser les résultats des accords de la Haute commission mixte algéro-égyptienne qui s'était réunie début mars 2008 à Alger pour « donner une nouvelle impulsion aux relations entre les deux pays », soulignant « l'importance des investissements en cours de réalisation dans les deux pays ». Pour sa part, le ministre des Affaires étrangères, Mourad Medelci, dans des déclarations de presse à l'issue de ses entretiens avec son homologue égyptien, M. Ahmed Abou El-Gheit, a qualifié de "très importantes" les questions qu'il a examinées avec son homologue égyptien, mettant en exergue l'importance de la visite en Egypte du président de la République, M. Abdelaziz Bouteflika, tant elle intervient, a-t-il dit, « au lendemain d'un sommet arabe qui a examiné des questions particulièrement importantes pour la région arabe ». Formulant le vœu que ce sommet soit suivi de démarches positives, le chef de la diplomatie algérienne souhaite que "la volonté politique soit conjuguée à des efforts considérables pour l'amélioration des relations interarabes ». Concernant les relations algéro-égyptiennes, Mourad Medelci juge qu'elles « vont de mieux en mieux » depuis des années et seront consolidées à l'avenir, saluant les efforts égyptiens visant à promouvoir les relations bilatérales, des efforts qui ont donné lieu, selon lui, « à des résultats très positifs ». L'Algérie et l'Egypte partagent les mêmes projets qu'ils comptent matérialiser, a-t-il ajouté. Parlant du dialogue méditerranéen auquel l'Algérie prend part, le ministre a exprimé le désir de l'Algérie de contribuer "efficacement" aux idées soulevées sur la scène méditerranéenne, affirmant que « les idées proposées par le président français nous intéressent et nous devons y contribuer pour imposer notre présence dans la construction de l'avenir de la région ». Le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, a eu des entretiens en tête-à-tête, hier, à la présidence de la République égyptienne, avec son homologue égyptien, Mohamed Hosni Moubarak. Le président de la République était arrivé dimanche au Caire en provenance de Damas où il a pris part aux travaux du 20e Sommet arabe. Un sommet qui a mis à mal les relations arabo-arabes, tant sont profondes les divergences qui opposent certains dirigeants de la région du Moyen-Orient. « La rencontre entre les Présidents Bouteflika et Moubarak traduit leur attachement à "la concertation et la coordination" autour des différents dossiers arabes et internationaux, notamment ceux relatifs aux résultats du 20e Sommet arabe dont les travaux ont pris fin dimanche en Syrie » a indiqué, hier le porte -parole de la présidence égyptienne, lors d'une conférence de presse, soulignant que les deux chefs d'Etat «ont manifesté leur intérêt quant au point relatif aux relations interarabes, soulevé lors des travaux du Sommet de Damas ». Au menu des Présidents Algérien et Egyptien ont figuré, également, selon le porte- parole, « d'autres dossiers relatifs, notamment, aux développements relevés en Palestine, en Irak, au Liban, au Soudan et en Somalie, aux relations interarabes et au dossier du nucléaire iranien ». Concernant les relations bilatérales, Abdelaziz Bouteflika et Hosni Moubarak ont exprimé leur attachement au « renforcement et à l'intensification de la coopération algéro-égyptienne dans les différents domaines». Les deux chefs d'Etat ont ,également, a poursuivi le porte-parole, « manifesté leur volonté de concrétiser les résultats des accords de la Haute commission mixte algéro-égyptienne qui s'était réunie début mars 2008 à Alger pour « donner une nouvelle impulsion aux relations entre les deux pays », soulignant « l'importance des investissements en cours de réalisation dans les deux pays ». Pour sa part, le ministre des Affaires étrangères, Mourad Medelci, dans des déclarations de presse à l'issue de ses entretiens avec son homologue égyptien, M. Ahmed Abou El-Gheit, a qualifié de "très importantes" les questions qu'il a examinées avec son homologue égyptien, mettant en exergue l'importance de la visite en Egypte du président de la République, M. Abdelaziz Bouteflika, tant elle intervient, a-t-il dit, « au lendemain d'un sommet arabe qui a examiné des questions particulièrement importantes pour la région arabe ». Formulant le vœu que ce sommet soit suivi de démarches positives, le chef de la diplomatie algérienne souhaite que "la volonté politique soit conjuguée à des efforts considérables pour l'amélioration des relations interarabes ». Concernant les relations algéro-égyptiennes, Mourad Medelci juge qu'elles « vont de mieux en mieux » depuis des années et seront consolidées à l'avenir, saluant les efforts égyptiens visant à promouvoir les relations bilatérales, des efforts qui ont donné lieu, selon lui, « à des résultats très positifs ». L'Algérie et l'Egypte partagent les mêmes projets qu'ils comptent matérialiser, a-t-il ajouté. Parlant du dialogue méditerranéen auquel l'Algérie prend part, le ministre a exprimé le désir de l'Algérie de contribuer "efficacement" aux idées soulevées sur la scène méditerranéenne, affirmant que « les idées proposées par le président français nous intéressent et nous devons y contribuer pour imposer notre présence dans la construction de l'avenir de la région ».