Temmar a fait l'éloge de l'excellence des rapports économiques algéro-égyptiens et a demandé aux opérateurs égyptiens de continuer à consolider les liens existant entre les deux nations. Temmar a fait l'éloge de l'excellence des rapports économiques algéro-égyptiens et a demandé aux opérateurs égyptiens de continuer à consolider les liens existant entre les deux nations. Les relations économiques et commerciales entre l'Algérie et l'Egypte connaissent actuellement un dynamisme sans précédent après la récente visite du ministre d'industrie et de la promotion des investissements, Abdelhamid Temmar au Caire, où il a appelé les hommes d'affaires d'Egypte de venir investir massivement en Algérie. La dernière rencontre du président de la république, Abdelaziz Bouteflika, avec Hosni Moubarak dans la capitale égyptienne, a été déterminante dans l'intensification de la coopération bilatérale entre les deux pays. En effet, Temmar a fait l'éloge de l'excellence des rapports économiques algéro-égyptiens et a demandé aux opérateurs égyptiens de continuer à consolider les liens existants entre les deux nations en les invitant à réaliser plus de projets d'investissement en Algérie. En fait, l'Egypte est considéré comme le principal pays arabe ayant lancé des affaires juteuses sur le marché national hors hydrocarbures. Temmar a surtout discuté avec son homologue égyptien des questions inhérentes aux expériences dans les réformes économiques, notamment dans les secteurs financier et bancaire, ainsi que les opportunités de coopération et d'affaires entre les deux pays. Il a affirmé que «l'essentiel, c'est d'avoir suscité un consensus visant à mettre en place une commission de suivi des accords signés par les deux pays et d'encourager les initiatives d'investissement en y associant les hommes d'affaires». Ce genre de consensus permettra, notamment, d'intensifier et de rendre plus fluide les activités économiques des entrepreneurs égyptiens en Algérie où ils occupent une place de choix parmi les investisseurs directs étrangers avec plus de 4 milliards de dollars d'investissement en 2007. Temmar a fructifié ses contacts avec le ministre égyptien de l'Investissement puisqu'il a pu examiner l'état d'avancement des investissements des hommes d'affaires égyptiens en Algérie, où une compagnie d'assurances envisage d'implanter une filiale dans les prochains mois. Le ministre a surtout apprécié les activités de l'organisme égyptien des investissements et des zones franches où il a proposé à ses responsables de nouer des relations de coopération avec l'agence algérienne de développement des investissements (ANDI) pour un échange d'expériences. Les investissements égyptiens dans notre pays ont atteint 4 milliards de dollars, à travers 30 projets purement égyptiens et des projets développés en joint-ventures avec des opérateurs économiques algériens, ainsi que d'autres projets mixtes entre des investisseurs algériens et égyptiens. L'indicateur permettant de jauger l'évolution de la coopération entre l'Algérie et l'Egypte se situe, notamment, au niveau du rôle de la commission mixte des deux pays au sein de laquelle les responsables sont en train de rechercher les voies et les moyens d'accroître les échanges réciproques. Les hommes d'affaires égyptiens envisagent, par ailleurs, d'atteindre 5 milliards de dollars d'investissement en Algérie durant l'année 2008, alors qu'en 2007, la présence économique égyptienne a été à son apogée avec la signature d'un contrat pour la réalisation d'une usine sidérurgique à Jijel. Rappelons que l'accord conclu entre le département de Temmar et la firme El Ezz Steel en 2007 porte sur la construction d'une usine d'un montant dépassant 1,2 milliard de dollars et devant produire 1,5 million de tonnes d'acier par an. Les égyptiens ont également investi dans d'autres secteurs, tels que les télécommunications (Orascom), le bâtiment (réalisation dune cimenterie à Djelfa), et l'industrie pharmaceutique… Pas moins de 25 grandes entreprises ont donc consacré 4 milliards de dollars pour développer des projets d'investissement en Algérie depuis 2002. Les relations économiques et commerciales entre l'Algérie et l'Egypte connaissent actuellement un dynamisme sans précédent après la récente visite du ministre d'industrie et de la promotion des investissements, Abdelhamid Temmar au Caire, où il a appelé les hommes d'affaires d'Egypte de venir investir massivement en Algérie. La dernière rencontre du président de la république, Abdelaziz Bouteflika, avec Hosni Moubarak dans la capitale égyptienne, a été déterminante dans l'intensification de la coopération bilatérale entre les deux pays. En effet, Temmar a fait l'éloge de l'excellence des rapports économiques algéro-égyptiens et a demandé aux opérateurs égyptiens de continuer à consolider les liens existants entre les deux nations en les invitant à réaliser plus de projets d'investissement en Algérie. En fait, l'Egypte est considéré comme le principal pays arabe ayant lancé des affaires juteuses sur le marché national hors hydrocarbures. Temmar a surtout discuté avec son homologue égyptien des questions inhérentes aux expériences dans les réformes économiques, notamment dans les secteurs financier et bancaire, ainsi que les opportunités de coopération et d'affaires entre les deux pays. Il a affirmé que «l'essentiel, c'est d'avoir suscité un consensus visant à mettre en place une commission de suivi des accords signés par les deux pays et d'encourager les initiatives d'investissement en y associant les hommes d'affaires». Ce genre de consensus permettra, notamment, d'intensifier et de rendre plus fluide les activités économiques des entrepreneurs égyptiens en Algérie où ils occupent une place de choix parmi les investisseurs directs étrangers avec plus de 4 milliards de dollars d'investissement en 2007. Temmar a fructifié ses contacts avec le ministre égyptien de l'Investissement puisqu'il a pu examiner l'état d'avancement des investissements des hommes d'affaires égyptiens en Algérie, où une compagnie d'assurances envisage d'implanter une filiale dans les prochains mois. Le ministre a surtout apprécié les activités de l'organisme égyptien des investissements et des zones franches où il a proposé à ses responsables de nouer des relations de coopération avec l'agence algérienne de développement des investissements (ANDI) pour un échange d'expériences. Les investissements égyptiens dans notre pays ont atteint 4 milliards de dollars, à travers 30 projets purement égyptiens et des projets développés en joint-ventures avec des opérateurs économiques algériens, ainsi que d'autres projets mixtes entre des investisseurs algériens et égyptiens. L'indicateur permettant de jauger l'évolution de la coopération entre l'Algérie et l'Egypte se situe, notamment, au niveau du rôle de la commission mixte des deux pays au sein de laquelle les responsables sont en train de rechercher les voies et les moyens d'accroître les échanges réciproques. Les hommes d'affaires égyptiens envisagent, par ailleurs, d'atteindre 5 milliards de dollars d'investissement en Algérie durant l'année 2008, alors qu'en 2007, la présence économique égyptienne a été à son apogée avec la signature d'un contrat pour la réalisation d'une usine sidérurgique à Jijel. Rappelons que l'accord conclu entre le département de Temmar et la firme El Ezz Steel en 2007 porte sur la construction d'une usine d'un montant dépassant 1,2 milliard de dollars et devant produire 1,5 million de tonnes d'acier par an. Les égyptiens ont également investi dans d'autres secteurs, tels que les télécommunications (Orascom), le bâtiment (réalisation dune cimenterie à Djelfa), et l'industrie pharmaceutique… Pas moins de 25 grandes entreprises ont donc consacré 4 milliards de dollars pour développer des projets d'investissement en Algérie depuis 2002.