Les syndicats autonomes devant débrayer durant trois jours à partir d'hier ne semblent pas faire preuve à Chlef, d'une unité d'action comme on pourrait le croire. Des déclarations souvent contradictoires émanent de leurs responsables et l'on a peine à croire les uns et les autres. L'exemple le plus frappant de cette cacophonie nous vient du SNAPAP censé coordonner le mouvement. Au niveau de son siège où nous nous sommes rendus, les responsables du bureau de wilaya nous ont textuellement déclaré qu'en l'absence de consignes parvenant de l'instance nationale, aucun mot d'ordre n'a été lancé pour un arrêt de travail. Ce qui revient à dire qu'en ce premier jour, aucun gréviste n'a été enregistré. Ceci pour ce qui est d'un premier son de cloche. Les syndicats autonomes devant débrayer durant trois jours à partir d'hier ne semblent pas faire preuve à Chlef, d'une unité d'action comme on pourrait le croire. Des déclarations souvent contradictoires émanent de leurs responsables et l'on a peine à croire les uns et les autres. L'exemple le plus frappant de cette cacophonie nous vient du SNAPAP censé coordonner le mouvement. Au niveau de son siège où nous nous sommes rendus, les responsables du bureau de wilaya nous ont textuellement déclaré qu'en l'absence de consignes parvenant de l'instance nationale, aucun mot d'ordre n'a été lancé pour un arrêt de travail. Ce qui revient à dire qu'en ce premier jour, aucun gréviste n'a été enregistré. Ceci pour ce qui est d'un premier son de cloche.