Les personnes anxieuses qui réduisent le niveau de leur stress ou le maintiennent sous contrôle ont 60% moins de risque de subir une attaque cardiaque ou cérébrale que celles dont l'anxiété est élevée ou s'accroît, révèle une étude de chercheurs américains publiée samedi. Selon de nouvelles recherches divulguées lors d'une conférence sur les soins cardiaques à Chicago (USA), les personnes très anxieuses atteintes de maladies cardiovasculaires ont un risque presque double de subir une attaque cardiaque ou de décéder comparativement à celles prenant la vie avec une plus grande sérénité. L'étude montre que ce lien "de cause à effet" entre l'anxiété et le nombre d'attaques cardiovasculaires mortelles ou non demeure intact en données corrigées prenant en compte d'autres facteurs de risque cardiaque "comme l'âge, le statut familial, le fait de fumer ou l'hypertension". "Des études ont déjà lié le stress psychologique, qu'il provienne d'une dépression ou de l'anxiété, à la progression de l'athérosclérose, au développement de thrombose et à un risque accru d'arrhytmie cardiaque", a relevé le Dr Young-Xu, un cardiologue qui a présenté l'étude, parue dans le Journal of the American College of Cardiology. Il a précisé que "sur les 516 patients souffrant de maladies coronariennes suivis pour cette recherche, 44 ont subi une attaque cardiaque non fatale et 19 sont décédés durant les 3,4 années en moyenne de suivi". Selon une autre recherche présentée à Chicago, le stress émotionnel lié à l'anniversaire du décès d'un être cher peut provoquer une mort subite, surtout chez les hommes. Les personnes anxieuses qui réduisent le niveau de leur stress ou le maintiennent sous contrôle ont 60% moins de risque de subir une attaque cardiaque ou cérébrale que celles dont l'anxiété est élevée ou s'accroît, révèle une étude de chercheurs américains publiée samedi. Selon de nouvelles recherches divulguées lors d'une conférence sur les soins cardiaques à Chicago (USA), les personnes très anxieuses atteintes de maladies cardiovasculaires ont un risque presque double de subir une attaque cardiaque ou de décéder comparativement à celles prenant la vie avec une plus grande sérénité. L'étude montre que ce lien "de cause à effet" entre l'anxiété et le nombre d'attaques cardiovasculaires mortelles ou non demeure intact en données corrigées prenant en compte d'autres facteurs de risque cardiaque "comme l'âge, le statut familial, le fait de fumer ou l'hypertension". "Des études ont déjà lié le stress psychologique, qu'il provienne d'une dépression ou de l'anxiété, à la progression de l'athérosclérose, au développement de thrombose et à un risque accru d'arrhytmie cardiaque", a relevé le Dr Young-Xu, un cardiologue qui a présenté l'étude, parue dans le Journal of the American College of Cardiology. Il a précisé que "sur les 516 patients souffrant de maladies coronariennes suivis pour cette recherche, 44 ont subi une attaque cardiaque non fatale et 19 sont décédés durant les 3,4 années en moyenne de suivi". Selon une autre recherche présentée à Chicago, le stress émotionnel lié à l'anniversaire du décès d'un être cher peut provoquer une mort subite, surtout chez les hommes.