«Youm El ilm» a été célébré officiellement à Constantine en présence du Chef du gouvernement. M. Ghazi, conseiller à la présidence, a prononcé, à l'université Emir - Abdelkader, le message adressé par M. Bouteflika. «Youm El ilm» a été célébré officiellement à Constantine en présence du Chef du gouvernement. M. Ghazi, conseiller à la présidence, a prononcé, à l'université Emir - Abdelkader, le message adressé par M. Bouteflika. Chaque année, l'Algérie en général et Constantine en particulier rendent hommage, le 16 avril, au cheikh Abdelhamid Benbadis. Hier, «Youm El Ilm» a été célébré officiellement à Constantine en présence du Chef du gouvernement accompagné, pour la circonstance, d'un des conseillers du président de la République, M. Ghazi. D'ailleurs c'est ce dernier qui a prononcé, à l'université Emir - Abdelkader, le message adressé par M. Bouteflika. Assez crispé, le Chef du gouvernement a réussi à cacher son irritation lorsqu'un cadre de la santé l'a interpellé sur le sit-in des grévistes de la Fonction publique et la manière forte avec laquelle les forces de sécurité ont dispersé la foule. M.Belkhadem s'est contenté de dire que « le dialogue est notre culture et qu'il aurait fallu que les fonctionnaires attendent d'abord de voir leurs salaires avant de réagir ». Nul doute que cette explication n'a pas convaincu grand monde. Pour en revenir à la journée de youm el ilm, la visite du chef du gouvernement n'est pas sortie de son cadre purement protocolaire. Recueillement devant la tombe de Benbadis, distribution de prix aux étudiants de l'université islamique et à des médecins au niveau de la faculté de médecine, elle n'aura duré qu'une demi - journée. Concernant le message du président de la République, il y a lieu de relever qu'il s'est articulé autour de la nécessité de la revalorisation de la langue arabe sans négliger l'apport des langues étrangères. « Toute hémorragie dans la langue nationale portera atteinte à la souveraineté du pays; il faut lutter contre toute diffamation visant la langue arabe », indique le message du Président. Pendant que le Chef du gouvernement accomplissait sa visite, sur les hauteurs de la ville on procédait aux premiers essais du téléphérique. Les Constantinois pensent que si Belkhadem ne s'est pas déplacé jusqu'à la station située à proximité du CHU, cela ne veut dire qu'une seule chose, M. Bouteflika viendra incessamment à Constantine pour l'inaugurer. Chaque année, l'Algérie en général et Constantine en particulier rendent hommage, le 16 avril, au cheikh Abdelhamid Benbadis. Hier, «Youm El Ilm» a été célébré officiellement à Constantine en présence du Chef du gouvernement accompagné, pour la circonstance, d'un des conseillers du président de la République, M. Ghazi. D'ailleurs c'est ce dernier qui a prononcé, à l'université Emir - Abdelkader, le message adressé par M. Bouteflika. Assez crispé, le Chef du gouvernement a réussi à cacher son irritation lorsqu'un cadre de la santé l'a interpellé sur le sit-in des grévistes de la Fonction publique et la manière forte avec laquelle les forces de sécurité ont dispersé la foule. M.Belkhadem s'est contenté de dire que « le dialogue est notre culture et qu'il aurait fallu que les fonctionnaires attendent d'abord de voir leurs salaires avant de réagir ». Nul doute que cette explication n'a pas convaincu grand monde. Pour en revenir à la journée de youm el ilm, la visite du chef du gouvernement n'est pas sortie de son cadre purement protocolaire. Recueillement devant la tombe de Benbadis, distribution de prix aux étudiants de l'université islamique et à des médecins au niveau de la faculté de médecine, elle n'aura duré qu'une demi - journée. Concernant le message du président de la République, il y a lieu de relever qu'il s'est articulé autour de la nécessité de la revalorisation de la langue arabe sans négliger l'apport des langues étrangères. « Toute hémorragie dans la langue nationale portera atteinte à la souveraineté du pays; il faut lutter contre toute diffamation visant la langue arabe », indique le message du Président. Pendant que le Chef du gouvernement accomplissait sa visite, sur les hauteurs de la ville on procédait aux premiers essais du téléphérique. Les Constantinois pensent que si Belkhadem ne s'est pas déplacé jusqu'à la station située à proximité du CHU, cela ne veut dire qu'une seule chose, M. Bouteflika viendra incessamment à Constantine pour l'inaugurer.