La justice britannique devra en effet se prononcer demain sur les requêtes formulées par la défense de l'ex-golden boy et, par voie de conséquence, sur la demande d'extradition introduite par la justice algérienne. La justice britannique devra en effet se prononcer demain sur les requêtes formulées par la défense de l'ex-golden boy et, par voie de conséquence, sur la demande d'extradition introduite par la justice algérienne. Tout conduit à dire que l'heure de vérité a sonné pour Abdelmoumene Khalifa. La justice britannique devra en effet se prononcer demain sur les requêtes formulées par la défense de l'ex-golden boy et, par voie de conséquence, sur la demande d'extradition introduite par la justice algérienne. Lors de la précédente audience, le 1er avril passé, les avocats de Abdelmoumène Khalifa se sont évertués, durant presque deux heures, à démonter les arguments présentés par la partie algérienne pour étayer sa demande. Outre le fait d'avoir émis des doutes sur la compétence du juge du tribunal de Westminster à statuer sur la demande d'extradition, les avocats de Khalifa ont exercé aussi un forcing en axant leur plaidoirie sur la forme et non pas sur le fond. Dans sa stratégie, la défense s'est ainsi interrogée si Khalifa comparaît en tant qu'accusé ou en tant que recherché, estimant par ailleurs que le mandat d'arrêt émis par les autorités algériennes comporterait des insuffisances. De plus, la défense a tenté aussi de jouer sur l'aspect humain de l'affaire en soutenant que son mandant risque, dans le cas où il sera extradé, de ne pas bénéficier d'un procès équitable. Dans l'audience de demain, le juge Timothy Workman, comme il l'a affirmé le 1er avril, va trancher sur la requête de la défense, ce qui signifie que l'affaire entrera inévitablement dans une autre phase de cette bataille juridique qui promet d'être longue. En tout cas, la partie algérienne fait montre de son optimisme, arguant que sa demande d'extradition ne souffre d'aucune faille. En effet, selon une source proche du dossier, citée par l'APS, il y a quelques jours, la demande algérienne, officiellement reçue le 26 octobre 2007, répond « à toutes les normes en vigueur ». comme preuve de la solidité du dossier algérien, soutient la partie algérienne, il n'y a qu'à voir la suspension de l'examen de l'appel interjeté par la défense de Abdelmoumène Khalifa en septembre 2007 contre la décision du tribunal de son extradition vers la France et la priorité accordée plutôt à la demande algérienne. Car, pour rappel, la justice britannique a déjà prononcé une décision d'extradition de Khalifa vers la France et ce, le mois d'août de l'année dernière et elle devait être exécutée le 25 septembre 2007. La justice française poursuivait Abdelmouméne Khalifa dans le cadre d'une affaire où il est accusé de « banqueroute frauduleuse, blanchiment d'argent et abus de biens sociaux ». Le milliardaire déchu possédait nombre de sociétés en France. Abdelmoumène Khalifa est loin donc d'être au bout de ses peines, lui qui a été condamné par la justice algérienne à la prison à perpétuité lors du procès qui s'est déroulé à la Cour de Blida au début de l'année 2007. Si la justice britannique décide de son extradition vers l'Algérie, il disposera de 10 jours pour faire appel. Et ce dernier devrait être examiné dans les 40 jours qui suivent. Tout conduit à dire que l'heure de vérité a sonné pour Abdelmoumene Khalifa. La justice britannique devra en effet se prononcer demain sur les requêtes formulées par la défense de l'ex-golden boy et, par voie de conséquence, sur la demande d'extradition introduite par la justice algérienne. Lors de la précédente audience, le 1er avril passé, les avocats de Abdelmoumène Khalifa se sont évertués, durant presque deux heures, à démonter les arguments présentés par la partie algérienne pour étayer sa demande. Outre le fait d'avoir émis des doutes sur la compétence du juge du tribunal de Westminster à statuer sur la demande d'extradition, les avocats de Khalifa ont exercé aussi un forcing en axant leur plaidoirie sur la forme et non pas sur le fond. Dans sa stratégie, la défense s'est ainsi interrogée si Khalifa comparaît en tant qu'accusé ou en tant que recherché, estimant par ailleurs que le mandat d'arrêt émis par les autorités algériennes comporterait des insuffisances. De plus, la défense a tenté aussi de jouer sur l'aspect humain de l'affaire en soutenant que son mandant risque, dans le cas où il sera extradé, de ne pas bénéficier d'un procès équitable. Dans l'audience de demain, le juge Timothy Workman, comme il l'a affirmé le 1er avril, va trancher sur la requête de la défense, ce qui signifie que l'affaire entrera inévitablement dans une autre phase de cette bataille juridique qui promet d'être longue. En tout cas, la partie algérienne fait montre de son optimisme, arguant que sa demande d'extradition ne souffre d'aucune faille. En effet, selon une source proche du dossier, citée par l'APS, il y a quelques jours, la demande algérienne, officiellement reçue le 26 octobre 2007, répond « à toutes les normes en vigueur ». comme preuve de la solidité du dossier algérien, soutient la partie algérienne, il n'y a qu'à voir la suspension de l'examen de l'appel interjeté par la défense de Abdelmoumène Khalifa en septembre 2007 contre la décision du tribunal de son extradition vers la France et la priorité accordée plutôt à la demande algérienne. Car, pour rappel, la justice britannique a déjà prononcé une décision d'extradition de Khalifa vers la France et ce, le mois d'août de l'année dernière et elle devait être exécutée le 25 septembre 2007. La justice française poursuivait Abdelmouméne Khalifa dans le cadre d'une affaire où il est accusé de « banqueroute frauduleuse, blanchiment d'argent et abus de biens sociaux ». Le milliardaire déchu possédait nombre de sociétés en France. Abdelmoumène Khalifa est loin donc d'être au bout de ses peines, lui qui a été condamné par la justice algérienne à la prison à perpétuité lors du procès qui s'est déroulé à la Cour de Blida au début de l'année 2007. Si la justice britannique décide de son extradition vers l'Algérie, il disposera de 10 jours pour faire appel. Et ce dernier devrait être examiné dans les 40 jours qui suivent.