Des émeutiers ont sur leur lancée saccagé les façades de plusieurs immeubles. S'agissant des dégâts, il est fait état de plusieurs dizaines de blessés au sein des deux parties, émeutiers et policiers. A cela vient s'ajouter le nombre des arrestations que l'on dit s'élever à des centaines. Des émeutiers ont sur leur lancée saccagé les façades de plusieurs immeubles. S'agissant des dégâts, il est fait état de plusieurs dizaines de blessés au sein des deux parties, émeutiers et policiers. A cela vient s'ajouter le nombre des arrestations que l'on dit s'élever à des centaines. Hier, dès 10h du matin la ville de Chlef et devenue le théâtre d'affrontements entre des citoyens et les forces de l'ordre lesquelles ont quadrillé tout le périmètre urbain pour repousser les assauts répétés des manifestants. Des émeutiers pour la plupart des jeunes décidés à en découdre avec tout ce qui représentait les institutions de l'Etat. Et ainsi au moyen de jets de pierres, ils ont sur leur lancée saccagé les façades de plusieurs immeubles comme la direction direction régionale d'Algérie-Telecom, le CPA, la poste centrale. Les privés ont eu également à enregistrer des pertes matérielles et pour ne citer que les plus en vue la Gulf-Arab-Bank, une banque privée qui vient d'ouvrir ses portes ainsi que l'agence Djezzy. Ceci pour ce qui est de ce que nous avons constaté aux environs de 15h au centre ville alors que les mises à sac continuaient dans les quartiers périphériques. S'agissant des dégâts sur le plan humain il est fait état dans un bilan provisoire arrêté à l'heure indiquée plus haut de plusieurs dizaines de blessés au sein des deux parties émeutiers et policiers. A cela vient évidemment s'ajouter le nombre des arrestations que l'on dit s'élève à des centaines. Ce qui n‘a pas du tout jugulé la protesta qui s'est répandue comme une traînée de poudre pour atteindre l'université. Bref, Chlef est devenue ce dimanche une ville morte où tous les commerces ont baissé rideaux par crainte d'être des cibles potentielles par les émeutiers. Les principales artères étaient la proie de foyer de feu d'où la fumée dense couvrait le ciel comme un nuage noir. Du jamais vu auparavant et tout cela, a été engendré à cause d'un procès intenté par le wali contre le président de la coordination des quartiers en préfabriqué pour diffamation, le verdict n'a pas encore été prononcé à l'heure où nous rédigions. Nous y reviendrons dans la prochaine édition. Pour ce qui est le fond de cette affaire il y a lieu de signaler que l'événement était prévisible et cela depuis l'annulation de la subvention de 1.000.000 de dinars qui devait être octroyée aux sinistrés du séisme d'El Asnam en 1980 à titre d'aide de la part de l'Etat. Une disposition entérinée par l'APN et figurait dans la loi des finances 2007. Que s'est-il passé par la suite pour qu'il y ait revirement de la part du gouvernement. C'est ce que tentent de comprendre les manifestants en créant ce dimanche un événement sans précédent. Hier, dès 10h du matin la ville de Chlef et devenue le théâtre d'affrontements entre des citoyens et les forces de l'ordre lesquelles ont quadrillé tout le périmètre urbain pour repousser les assauts répétés des manifestants. Des émeutiers pour la plupart des jeunes décidés à en découdre avec tout ce qui représentait les institutions de l'Etat. Et ainsi au moyen de jets de pierres, ils ont sur leur lancée saccagé les façades de plusieurs immeubles comme la direction direction régionale d'Algérie-Telecom, le CPA, la poste centrale. Les privés ont eu également à enregistrer des pertes matérielles et pour ne citer que les plus en vue la Gulf-Arab-Bank, une banque privée qui vient d'ouvrir ses portes ainsi que l'agence Djezzy. Ceci pour ce qui est de ce que nous avons constaté aux environs de 15h au centre ville alors que les mises à sac continuaient dans les quartiers périphériques. S'agissant des dégâts sur le plan humain il est fait état dans un bilan provisoire arrêté à l'heure indiquée plus haut de plusieurs dizaines de blessés au sein des deux parties émeutiers et policiers. A cela vient évidemment s'ajouter le nombre des arrestations que l'on dit s'élève à des centaines. Ce qui n‘a pas du tout jugulé la protesta qui s'est répandue comme une traînée de poudre pour atteindre l'université. Bref, Chlef est devenue ce dimanche une ville morte où tous les commerces ont baissé rideaux par crainte d'être des cibles potentielles par les émeutiers. Les principales artères étaient la proie de foyer de feu d'où la fumée dense couvrait le ciel comme un nuage noir. Du jamais vu auparavant et tout cela, a été engendré à cause d'un procès intenté par le wali contre le président de la coordination des quartiers en préfabriqué pour diffamation, le verdict n'a pas encore été prononcé à l'heure où nous rédigions. Nous y reviendrons dans la prochaine édition. Pour ce qui est le fond de cette affaire il y a lieu de signaler que l'événement était prévisible et cela depuis l'annulation de la subvention de 1.000.000 de dinars qui devait être octroyée aux sinistrés du séisme d'El Asnam en 1980 à titre d'aide de la part de l'Etat. Une disposition entérinée par l'APN et figurait dans la loi des finances 2007. Que s'est-il passé par la suite pour qu'il y ait revirement de la part du gouvernement. C'est ce que tentent de comprendre les manifestants en créant ce dimanche un événement sans précédent.