Des praticiens ont affirmé mercredi que les tumeurs germinales de l'adulte, qui sont une forme de cancer plutôt rare, sont curables mais ne peuvent pas être prévenues. "Les tumeurs germinales de l'adulte sont une forme de cancers plutôt rares comparativement aux autres types de pathologies cancéreuses, mais même si elles sont curables, elle ne peuvent être prévenues", ont affirmé ces praticiens lors des 7es Journées d'oncologie médicale, organisées à l'Hôpital central de l'armée (HCA). Ces tumeurs se manifestent par l'augmentation du volume de l'ovaire chez les jeunes femmes (notamment nullipares) ou du testicule chez l'homme (adulte jeune), ont-il dit. Selon le Pr Sadouki, chef de service d'oncologie à l'HCA, les tumeurs germinales sont des cellules qui dérivent des tumeurs gonadiques germinales qui se localisent le plus souvent au niveau de l'ovaire ou du testicule. Elles surviennent chez des adultes jeunes (de l'âge de la puberté à 35 ans), a-t-il expliqué. "C'est une pathologie qui, pour être traitée, fait appel à plusieurs spécialistes, un oncologue, un anatomopathologiste, un radiologue, un radiothérapeute et un chirurgien", a ajouté le Pr Sadouki. De son côté, le Pr Hamouda a expliqué que les causes des tumeurs germinales sont "peu connues", estimant qu'elles pourraient être "génétiques". Elle a également relevé que ces tumeurs représentent 1% des cancers de par le monde, soulignant qu'elles sont en augmentation notamment dans les pays développés. Le Pr Bouzid a, pour sa part, indiqué que le cancer du testicule est "de bon pronostic quand il est soigné précocement", précisant que l'ablation de cet organe est "nécessaire". "C'est à partir de là que débute le traitement", a-t-il dit, expliquant qu'on l'accompagne par des cures de radiothérapie ou de chimiothérapie, en fonction du diagnostic établi. "Ainsi, on arrive à guérir pratiquement 95% des malades", a-t-il assuré, soulignant toutefois que le problème "majeur" réside dans la qualité de la guérison car souvent la radiothérapie et la chimiothérapie entraînent une stérilité chez les patients. "Un des moyens d'y remédier, c'est de faire une conservation de sperme, avant de procéder aux traitements qui vont provoquer la stérilité, une technologie qui nous fait défaut en Algérie", a-t-il regretté. Des praticiens ont affirmé mercredi que les tumeurs germinales de l'adulte, qui sont une forme de cancer plutôt rare, sont curables mais ne peuvent pas être prévenues. "Les tumeurs germinales de l'adulte sont une forme de cancers plutôt rares comparativement aux autres types de pathologies cancéreuses, mais même si elles sont curables, elle ne peuvent être prévenues", ont affirmé ces praticiens lors des 7es Journées d'oncologie médicale, organisées à l'Hôpital central de l'armée (HCA). Ces tumeurs se manifestent par l'augmentation du volume de l'ovaire chez les jeunes femmes (notamment nullipares) ou du testicule chez l'homme (adulte jeune), ont-il dit. Selon le Pr Sadouki, chef de service d'oncologie à l'HCA, les tumeurs germinales sont des cellules qui dérivent des tumeurs gonadiques germinales qui se localisent le plus souvent au niveau de l'ovaire ou du testicule. Elles surviennent chez des adultes jeunes (de l'âge de la puberté à 35 ans), a-t-il expliqué. "C'est une pathologie qui, pour être traitée, fait appel à plusieurs spécialistes, un oncologue, un anatomopathologiste, un radiologue, un radiothérapeute et un chirurgien", a ajouté le Pr Sadouki. De son côté, le Pr Hamouda a expliqué que les causes des tumeurs germinales sont "peu connues", estimant qu'elles pourraient être "génétiques". Elle a également relevé que ces tumeurs représentent 1% des cancers de par le monde, soulignant qu'elles sont en augmentation notamment dans les pays développés. Le Pr Bouzid a, pour sa part, indiqué que le cancer du testicule est "de bon pronostic quand il est soigné précocement", précisant que l'ablation de cet organe est "nécessaire". "C'est à partir de là que débute le traitement", a-t-il dit, expliquant qu'on l'accompagne par des cures de radiothérapie ou de chimiothérapie, en fonction du diagnostic établi. "Ainsi, on arrive à guérir pratiquement 95% des malades", a-t-il assuré, soulignant toutefois que le problème "majeur" réside dans la qualité de la guérison car souvent la radiothérapie et la chimiothérapie entraînent une stérilité chez les patients. "Un des moyens d'y remédier, c'est de faire une conservation de sperme, avant de procéder aux traitements qui vont provoquer la stérilité, une technologie qui nous fait défaut en Algérie", a-t-il regretté.