Les paramédicaux ne risquent pas, à tout le moins dans le court terme, d'aller de nouveau vers la confrontation avec la tutelle pour faire aboutir leurs revendications. Par le biais de leur syndicat, le SAP (Syndicat algérien des paramédicaux), ils viennent, en effet, d'exprimer ouvertement leur satisfaction pour la finalisation du statut particulier. Un statut qui répond amplement à leurs revendications pour lesquelles ils ont déclenché de nombreux mouvements de grève. Cet «acquis historique (…) renforcera plus que jamais les rangs des paramédicaux pour aller toujours de l'avant et rester mobilisés en permanence pour répondre à l'appel de leur syndicat à chaque fois que la situation l'exige» déclare le SAP, dans un communiqué rendu public hier. Le syndicat est d'autant plus satisfait que le statut particulier pour lequel d'intenses négociations ont eu lieu avec le ministère de la Santé, notamment dans le courant du mois d'avril, «est finalisé, selon une architecture du système LMD, et déposé au niveau de la Direction générale de la Fonction publique». Il faut dire que le SAP n'a de cesse de revendiquer l'accès au système LMD pour une partie des personnels de cette catégorie de la santé publique, de telle sorte à ce qu'elle puisse bénéficier d'un classement conséquent et donc approprié dans la nouvelle mouture du statut général de la Fonction publique et son corollaire la nouvelle grille des salaires. Car, selon le syndicat, cela est cardinal dans l'évolution de carrière des paramédicaux. De plus, relève encore le communiqué, l'acquis de ce nouveau statut particulier réside aussi en «l'intégration» et le «reclassement à la catégorie 11 à la date d'effet du statut particulier des paramédicaux ayant un diplôme d'Etat appartenant aux corps et grades prévus par le décret 91-107 du 27 avril 1991». Selon le syndicat, «l'intégration des paramédicaux principaux tous corps confondus dans le corps paramédical spécialisé, se fera selon les conditions définies dans le statut particulier et bénéficieront de la catégorie 12». Les paramédicaux n'ont obtenu gain de cause qu'après avoir engagé un bras de fer avec le département de Amar Tou. En effet, ils ont débrayé à deux reprises aux mois de février et mars et, à chaque fois, ils ont réussi à paralyser les hôpitaux. Le Sap a démontré sa large représentativité. Le ministère n'est pas resté les bras croisés et a saisi la justice à deux reprises pour suspendre les mouvements de grève. En concertation depuis des semaines, les deux parties ont fini par trouver un terrain d'entente qui met fin, dans une certaine mesure à la tension qui régnait au nivau des infrastructures hospitalières. Car le ministère de la Santé doit aussi répondre favorablement aux doléances des autres syndicats appartenant au corps médical. Les paramédicaux ne risquent pas, à tout le moins dans le court terme, d'aller de nouveau vers la confrontation avec la tutelle pour faire aboutir leurs revendications. Par le biais de leur syndicat, le SAP (Syndicat algérien des paramédicaux), ils viennent, en effet, d'exprimer ouvertement leur satisfaction pour la finalisation du statut particulier. Un statut qui répond amplement à leurs revendications pour lesquelles ils ont déclenché de nombreux mouvements de grève. Cet «acquis historique (…) renforcera plus que jamais les rangs des paramédicaux pour aller toujours de l'avant et rester mobilisés en permanence pour répondre à l'appel de leur syndicat à chaque fois que la situation l'exige» déclare le SAP, dans un communiqué rendu public hier. Le syndicat est d'autant plus satisfait que le statut particulier pour lequel d'intenses négociations ont eu lieu avec le ministère de la Santé, notamment dans le courant du mois d'avril, «est finalisé, selon une architecture du système LMD, et déposé au niveau de la Direction générale de la Fonction publique». Il faut dire que le SAP n'a de cesse de revendiquer l'accès au système LMD pour une partie des personnels de cette catégorie de la santé publique, de telle sorte à ce qu'elle puisse bénéficier d'un classement conséquent et donc approprié dans la nouvelle mouture du statut général de la Fonction publique et son corollaire la nouvelle grille des salaires. Car, selon le syndicat, cela est cardinal dans l'évolution de carrière des paramédicaux. De plus, relève encore le communiqué, l'acquis de ce nouveau statut particulier réside aussi en «l'intégration» et le «reclassement à la catégorie 11 à la date d'effet du statut particulier des paramédicaux ayant un diplôme d'Etat appartenant aux corps et grades prévus par le décret 91-107 du 27 avril 1991». Selon le syndicat, «l'intégration des paramédicaux principaux tous corps confondus dans le corps paramédical spécialisé, se fera selon les conditions définies dans le statut particulier et bénéficieront de la catégorie 12». Les paramédicaux n'ont obtenu gain de cause qu'après avoir engagé un bras de fer avec le département de Amar Tou. En effet, ils ont débrayé à deux reprises aux mois de février et mars et, à chaque fois, ils ont réussi à paralyser les hôpitaux. Le Sap a démontré sa large représentativité. Le ministère n'est pas resté les bras croisés et a saisi la justice à deux reprises pour suspendre les mouvements de grève. En concertation depuis des semaines, les deux parties ont fini par trouver un terrain d'entente qui met fin, dans une certaine mesure à la tension qui régnait au nivau des infrastructures hospitalières. Car le ministère de la Santé doit aussi répondre favorablement aux doléances des autres syndicats appartenant au corps médical.