Les redresseurs qui viennent de décider, à l'unanimité, du retrait de confiance en la personne de Salah Souileh, ont essayé de force d'occuper le bureau du Secrétaire général. Les services de police après avoir entendu les deux parties, ont procédé à la fermeture du siège de l'Union pour ne le rouvrir que lorsque la justice aura tranché sur la question. Les redresseurs qui viennent de décider, à l'unanimité, du retrait de confiance en la personne de Salah Souileh, ont essayé de force d'occuper le bureau du Secrétaire général. Les services de police après avoir entendu les deux parties, ont procédé à la fermeture du siège de l'Union pour ne le rouvrir que lorsque la justice aura tranché sur la question. Finalement, le conflit entre les partisans de Saleh Souileh et les redresseurs de l'Union générale des commerçants et artisans algériens (UGCAA) s'est soldé par la fermeture du siège national. Les deux parties belligérantes devront répondre de leurs actes devant la justice, après que la police eut décidé de mettre sous scellé ledit siège, suite à la grande confusion qui y avait régné à l'occasion de la tenue de la Conférence des cadres dimanche dernier. En effet, les redresseurs qui viennent de décider, à l'unanimité, du retrait de confiance en la personne de Salah Souileh, ont essayé de force d'occuper le bureau du Secrétaire général. Ce dernier, sous la pression, a alerté les services de police qui, après avoir entendu les deux parties, ont procédé à la fermeture du siège de l'Union pour ne le rouvrir que lorsque la justice aura tranché sur la question. On n'aurait jamais imaginé un tel sort pour une si importante organisation, fortement représentative au sein des commerçants et des artisans. Ses membres, animés par une adversité qui ne trouve son explication que dans la gestion des biens de l'Union, ont fini par éclater au grand jour leur rancune. En attendant la décision qui sera prise par la justice, les redresseurs de l'UGCAA se réjouissent de leur forcing. « Le SG de l'Union est officiellement déchu par la commission chargée de gérer les affaires courantes, en attendant le congrès extraordinaire anticipé qui se tiendra en décembre prochain », nous a déclaré, hier, Mohamed Tahar Boulanouar, membre actif des redresseurs. Contacté par nos soins, il a affirmé que les travaux de préparation du prochain congrès se poursuivront le plus normalement, en dépit des incidents qui ont conduit à la fermeture du siège national. Cependant, dépourvus de leur siège et traduits en justice, pourront-ils mener à terme leur processus de redressement ? Pour Boulanouar, l'essentiel a été fait, en invalidant l'activité du Secrétariat national de l'Union des commerçants et en mettant sur pied une commission pour préparer le congrès extraordinaire. « Actuellement, la commission s'attelle à préparer les documents nécessaires, et elle se réunira régulièrement », a-t-il ajouté, tout en expliquant que l'agrément de l'UGCAA sera aussitôt octroyé par le ministère du Travail. Pour rappel, les membres du Conseil national de cette organisation se sont livrés à une vraie guerre de leadership qui a fini par détruire ses structures et révélé plusieurs carences en son sein. Une guerre qui aura permis, néanmoins, de mettre à nu des affaires indignes de la grandeur de cette organisation. Des détournements de biens de commerçants, des marchés complaisants et des falsifications de documents étaient monnaie courante, à se fier aux propos des antagonistes. Ces derniers ont révélé des affaires gravissimes qui n'honorent en rien la réputation de l'UGCAA. Finalement, le conflit entre les partisans de Saleh Souileh et les redresseurs de l'Union générale des commerçants et artisans algériens (UGCAA) s'est soldé par la fermeture du siège national. Les deux parties belligérantes devront répondre de leurs actes devant la justice, après que la police eut décidé de mettre sous scellé ledit siège, suite à la grande confusion qui y avait régné à l'occasion de la tenue de la Conférence des cadres dimanche dernier. En effet, les redresseurs qui viennent de décider, à l'unanimité, du retrait de confiance en la personne de Salah Souileh, ont essayé de force d'occuper le bureau du Secrétaire général. Ce dernier, sous la pression, a alerté les services de police qui, après avoir entendu les deux parties, ont procédé à la fermeture du siège de l'Union pour ne le rouvrir que lorsque la justice aura tranché sur la question. On n'aurait jamais imaginé un tel sort pour une si importante organisation, fortement représentative au sein des commerçants et des artisans. Ses membres, animés par une adversité qui ne trouve son explication que dans la gestion des biens de l'Union, ont fini par éclater au grand jour leur rancune. En attendant la décision qui sera prise par la justice, les redresseurs de l'UGCAA se réjouissent de leur forcing. « Le SG de l'Union est officiellement déchu par la commission chargée de gérer les affaires courantes, en attendant le congrès extraordinaire anticipé qui se tiendra en décembre prochain », nous a déclaré, hier, Mohamed Tahar Boulanouar, membre actif des redresseurs. Contacté par nos soins, il a affirmé que les travaux de préparation du prochain congrès se poursuivront le plus normalement, en dépit des incidents qui ont conduit à la fermeture du siège national. Cependant, dépourvus de leur siège et traduits en justice, pourront-ils mener à terme leur processus de redressement ? Pour Boulanouar, l'essentiel a été fait, en invalidant l'activité du Secrétariat national de l'Union des commerçants et en mettant sur pied une commission pour préparer le congrès extraordinaire. « Actuellement, la commission s'attelle à préparer les documents nécessaires, et elle se réunira régulièrement », a-t-il ajouté, tout en expliquant que l'agrément de l'UGCAA sera aussitôt octroyé par le ministère du Travail. Pour rappel, les membres du Conseil national de cette organisation se sont livrés à une vraie guerre de leadership qui a fini par détruire ses structures et révélé plusieurs carences en son sein. Une guerre qui aura permis, néanmoins, de mettre à nu des affaires indignes de la grandeur de cette organisation. Des détournements de biens de commerçants, des marchés complaisants et des falsifications de documents étaient monnaie courante, à se fier aux propos des antagonistes. Ces derniers ont révélé des affaires gravissimes qui n'honorent en rien la réputation de l'UGCAA.