Jusqu'au 28 du mois en cours, le hall de la salle El Mouggar abrite une exposition regroupant une collection d'œuvres de l'artiste photographe Madina Kermiche, intitulée ‘'Détails algérois''. Comprenant une trentaine de tableaux déclinées dans le noir et blanc et en couleur, la série de photographies est conçue selon trois langages plastiques, à savoir le portrait, le graphisme et la texture. Le choix de cette dernière est motivé par l'intérêt qu'accorde l'artiste à la texture pour donner à l'œil du spectateur à saisir pus de détail. Licenciée en histoire, Madina cultive la passion de la photographie depuis quelques années. Accompagnés de notations, «les portraits pris sur le vif confèrent plus de vie à l'image» dira la plasticienne, estimant que «les yeux sont les fenêtres de l'âme». La plasticienne qui est infographiste, ne choisit jamais au préalable les sujets qu'elle s'apprête à traiter, sinon «ils s'imposent à moi», confie-t-elle. D'autres tableaux proposent le thème de l'architecture traditionnelle. Empreintes de beaucoup de poésie et de musicalité, les photographies égrènent le côté festif de la séculaire médina qu'est la Casbah d'Alger avec ses ruelles, ses venelles et ses fontaines publiques rehaussées de carreaux de céramiques, ses demeures avec les patios et terrasses qui témoignent d'une architecture arabo-mauresque millénaire. Son objectif emprunte également aux instants furtifs qu'elle capte au détour d'une scène de vie dans les Aurès ou la Kabylie. L'artiste a également consacré quelques prises de vue à la nature et particulièrement la flore qu'elle «scrute» jusque dans les moindres détails pour «extraire» des «peintures» riches en couleur avec le jeu d'ombre et de lumière. En somme, Madina Kermiche tente, à travers ses prises de vue de réveiller une certaine sensibilité, avec le jeu d'ombre et de lumière. En somme, une exposition dont le raffinement dans le détail invite à faire le détour. Jusqu'au 28 du mois en cours, le hall de la salle El Mouggar abrite une exposition regroupant une collection d'œuvres de l'artiste photographe Madina Kermiche, intitulée ‘'Détails algérois''. Comprenant une trentaine de tableaux déclinées dans le noir et blanc et en couleur, la série de photographies est conçue selon trois langages plastiques, à savoir le portrait, le graphisme et la texture. Le choix de cette dernière est motivé par l'intérêt qu'accorde l'artiste à la texture pour donner à l'œil du spectateur à saisir pus de détail. Licenciée en histoire, Madina cultive la passion de la photographie depuis quelques années. Accompagnés de notations, «les portraits pris sur le vif confèrent plus de vie à l'image» dira la plasticienne, estimant que «les yeux sont les fenêtres de l'âme». La plasticienne qui est infographiste, ne choisit jamais au préalable les sujets qu'elle s'apprête à traiter, sinon «ils s'imposent à moi», confie-t-elle. D'autres tableaux proposent le thème de l'architecture traditionnelle. Empreintes de beaucoup de poésie et de musicalité, les photographies égrènent le côté festif de la séculaire médina qu'est la Casbah d'Alger avec ses ruelles, ses venelles et ses fontaines publiques rehaussées de carreaux de céramiques, ses demeures avec les patios et terrasses qui témoignent d'une architecture arabo-mauresque millénaire. Son objectif emprunte également aux instants furtifs qu'elle capte au détour d'une scène de vie dans les Aurès ou la Kabylie. L'artiste a également consacré quelques prises de vue à la nature et particulièrement la flore qu'elle «scrute» jusque dans les moindres détails pour «extraire» des «peintures» riches en couleur avec le jeu d'ombre et de lumière. En somme, Madina Kermiche tente, à travers ses prises de vue de réveiller une certaine sensibilité, avec le jeu d'ombre et de lumière. En somme, une exposition dont le raffinement dans le détail invite à faire le détour.