L'audience qui va s'ouvrir aujourd'hui, se distingue des précédentes, car elle consacrera l'acte d'accusation prononcé par le Tribunal de Blida à l'encontre de la personne de Abdelmoumène Khalifa, comme document de fond dans l'examen de son extradition. L'audience qui va s'ouvrir aujourd'hui, se distingue des précédentes, car elle consacrera l'acte d'accusation prononcé par le Tribunal de Blida à l'encontre de la personne de Abdelmoumène Khalifa, comme document de fond dans l'examen de son extradition. C'est aujourd'hui que le Tribunal de Westminster à Londres, va entamer ses audiences relatives à l'extradition de Abdelmoumène Rafik Khalifa, principal accusé dans l'affaire du Groupe Khalifa, condamné en mars 2007 à la prison à perpétuité par le Tribunal de Blida. Cependant, l'examen de la demande algérienne d'extradition, qui devrait s'étaler sur deux jours, pourrait s'inscrire encore dans la durée, si la défense de l'accusé venait à adopter la stratégie de « supplication », pour s'adjuger les faveurs des organisations des droits de l'homme. Cette éventualité devient encore plus plausible, à forte raison que Khalifa Abdelmoumène n'a pas mandaté un avocat, se contentant de celui désigné d'office par la justice britannique. Néanmoins, le dossier d'extradition du « golden boy » progresse de manière remarquable. Le juge Timothy Workman qui chapeaute le dossier, avait déclaré officiellement recevable et fondée dans la forme et dans le fond, la demande algérienne lors de l'audience du 24 avril dernier, consacrée à l'examen de la question dans le fond, alors les deux autres audiences qui s'en étaient suivies, étaient consacrées, elles, aux questions procédurales puis aux recours et réponses. En d'autres termes, l'audience qui va s'ouvrir aujourd'hui, se distingue des précédentes, car elle consacrera l'acte d'accusation prononcé par le Tribunal de Blida à l'encontre de la personne de Abdelmoumène Khalifa, comme document de fond dans l'examen de son extradition. Le procès devrait se pencher sur la légalité des chefs d'accusations du point de vue de la loi britannique, et vérifier si les griefs retenus contre Khalifa considérés comme des crimes par la loi algérienne tombaient sous le coup du code pénal britannique. Dans ce sens, rappelons-le, l'Algérie avait adapté sa demande d'extradition aux dispositions de l'accord relatif à l'extradition dont l'article 2 stipule que « les crimes nécessitant extradition sont ceux passibles, en vertu des lois des deux parties, d'une peine d'emprisonnement, ou toute autre peine privative de la liberté de pas moins d'une année ou d'une peine plus lourde. L'extradition des criminels n'est autorisée que lorsque la demande est relative à une personne inculpée dans ce genre de crimes et faisant l'objet de recherche pour l'application de la peine d'emprisonnement retenue à son encontre ou toute autre peine privative de la liberté de pas moins de quatre mois ou une peine plus lourde ». Dans ce cas figure, l'extradition de Abdelmoumène Khalifa serait imminente, en dépit de la durée que pourrait prendre l'examen du dossier. Pour rappel, Abdelmoumène Khalifa a été arrêté et emprisonné le 27 mars dernier, puis traduit devant le Tribunal de Westminster dans le cadre d'une demande d'extradition formulée par la France pour « banqueroute frauduleuse, blanchiment d'argent et abus de biens sociaux ». Auparavant, il avait été arrêté pour résidence illégale et incarcéré à la prison de haute sécurité de Belmarsh, et ce, durant une semaine. Selon les juristes, Abdelmoumène Khalifa est acquitté dans une affaire, mais il n'échappera pas aux autres pour pouvoir prétendre à la liberté provisoire. C'est aujourd'hui que le Tribunal de Westminster à Londres, va entamer ses audiences relatives à l'extradition de Abdelmoumène Rafik Khalifa, principal accusé dans l'affaire du Groupe Khalifa, condamné en mars 2007 à la prison à perpétuité par le Tribunal de Blida. Cependant, l'examen de la demande algérienne d'extradition, qui devrait s'étaler sur deux jours, pourrait s'inscrire encore dans la durée, si la défense de l'accusé venait à adopter la stratégie de « supplication », pour s'adjuger les faveurs des organisations des droits de l'homme. Cette éventualité devient encore plus plausible, à forte raison que Khalifa Abdelmoumène n'a pas mandaté un avocat, se contentant de celui désigné d'office par la justice britannique. Néanmoins, le dossier d'extradition du « golden boy » progresse de manière remarquable. Le juge Timothy Workman qui chapeaute le dossier, avait déclaré officiellement recevable et fondée dans la forme et dans le fond, la demande algérienne lors de l'audience du 24 avril dernier, consacrée à l'examen de la question dans le fond, alors les deux autres audiences qui s'en étaient suivies, étaient consacrées, elles, aux questions procédurales puis aux recours et réponses. En d'autres termes, l'audience qui va s'ouvrir aujourd'hui, se distingue des précédentes, car elle consacrera l'acte d'accusation prononcé par le Tribunal de Blida à l'encontre de la personne de Abdelmoumène Khalifa, comme document de fond dans l'examen de son extradition. Le procès devrait se pencher sur la légalité des chefs d'accusations du point de vue de la loi britannique, et vérifier si les griefs retenus contre Khalifa considérés comme des crimes par la loi algérienne tombaient sous le coup du code pénal britannique. Dans ce sens, rappelons-le, l'Algérie avait adapté sa demande d'extradition aux dispositions de l'accord relatif à l'extradition dont l'article 2 stipule que « les crimes nécessitant extradition sont ceux passibles, en vertu des lois des deux parties, d'une peine d'emprisonnement, ou toute autre peine privative de la liberté de pas moins d'une année ou d'une peine plus lourde. L'extradition des criminels n'est autorisée que lorsque la demande est relative à une personne inculpée dans ce genre de crimes et faisant l'objet de recherche pour l'application de la peine d'emprisonnement retenue à son encontre ou toute autre peine privative de la liberté de pas moins de quatre mois ou une peine plus lourde ». Dans ce cas figure, l'extradition de Abdelmoumène Khalifa serait imminente, en dépit de la durée que pourrait prendre l'examen du dossier. Pour rappel, Abdelmoumène Khalifa a été arrêté et emprisonné le 27 mars dernier, puis traduit devant le Tribunal de Westminster dans le cadre d'une demande d'extradition formulée par la France pour « banqueroute frauduleuse, blanchiment d'argent et abus de biens sociaux ». Auparavant, il avait été arrêté pour résidence illégale et incarcéré à la prison de haute sécurité de Belmarsh, et ce, durant une semaine. Selon les juristes, Abdelmoumène Khalifa est acquitté dans une affaire, mais il n'échappera pas aux autres pour pouvoir prétendre à la liberté provisoire.