L'ex-Beatle Sir Paul McCartney a offert, dimanche soir, dans sa ville natale de Liverpool, capitale européenne de la culture pour 2008, un concert rock géant devant près de 36.000 spectateurs rassemblés dans le célèbre stade de football d'Anfield. L'ex-Beatle Sir Paul McCartney a offert, dimanche soir, dans sa ville natale de Liverpool, capitale européenne de la culture pour 2008, un concert rock géant devant près de 36.000 spectateurs rassemblés dans le célèbre stade de football d'Anfield. "Nous allons passer une bonne soirée, c'est tout ce que j'ai toujours souhaité faire", avait promis vendredi Paul McCartney, 65 ans, sur la BBC, promettant d'interpréter de nombreux hits lors du "Liverpool sound", concert hommage à l'importante contribution de la ville à la musique. Il n'a pas déçu en démarrant son tour de chant de près de deux heures avec un "Hippy hippy shake" endiablé, puis "Jet", "Drive my car" et "The long and winding road". Au fil de vingt-six morceaux, un McCartney en pleine forme a ravivé les souvenirs de milliers de fans qui l'accompagnent depuis plus de quarante ans avec "Penny lane", "Eleanor Rigby" ou encore les tubes "Back in the USSR", "Live and let die" avec effets pyrotechniques, "Let it be", "Hey Jude" et "Yesterday". Pas besoin de fermer les yeux pour imaginer McCartney à l'époque des Fab four : vêtu d'un costume noir col cheminée et chemise blanche façon Beatles du début et silhouette de jeune homme, il semblait tout droit arriver des Sixties. L'enfant chéri de Liverpool (nord-ouest) — ville qui a fêté ses 800 ans en 2007 — était la tête d'affiche d'un spectacle de quatre heures ouvert par The Zutons, groupe "liverpudlian" en pleine ascension formé en 2001 dont le troisième album très attendu sort cette semaine. Les Kaiser chiefs, originaires de Leeds (nord), ont enflammé pendant près d'une heure et demie avec entre autres leur hit "Ruby" un public qui attendait l'entrée en lice de McCartney. Le footballeur Wayne Rooney était présent et la veuve de John Lennon, Yoko Ono, avait indiqué vendredi qu'elle y assisterait. Quant à la "superstar internationale très spéciale" annoncée par les organisateurs, il s'agissait de Dave Grohl, du groupe américain des Foo Fighters, qui a accompagné trois morceaux. Les rumeurs avaient évoqué Radiohead, les Rolling Stones ou encore U2. Macca "est une légende. Nous avons vu Ringo en janvier, Macca est encore plus grand", ont expliqué avant le spectacle Brenda Baily, 62 ans, et Maureen McCarthy, 66 ans, fans de la première heure des Beatles. Si certains étaient venus voir ou revoir l'idole de leur adolescence, les plus jeunes ont profité de cette opportunité unique d'entendre en live un monument de la musique internationale. Comme prévu, il n'y a pas eu de retrouvailles surprises avec le seul autre ex-Beatle toujours en vie, le batteur Ringo Starr qui a participé en janvier au lancement officiel de Liverpool 08, capitale européenne de la culture. Les deux hommes avaient indiqué chacun de son côté, ces derniers mois, qu'il n'y avait aucune chance que cela se produise. Le retour de McCartney sur la scène de Liverpool cinq ans jour pour jour après le dernier concert de sa tournée "Back in the World" était l'événement marquant de Liverpool 08. "Etre capitale européenne de la culture est une bonne chose. Il y a une douzaine d'années, Liverpool était sur les rotules. Aujourd'hui, on assiste à une sorte de renaissance", avait souligné McCartney sur la BBC. Les bénéfices de la soirée doivent être reversés notamment au Liverpool Institute of Performing Arts (Lipa), établissement co-fondé en 1996 par McCartney dans le bâtiment qui avait abrité son collège et où il avait rencontré George Harrison, devenu ensuite guitariste des Fab Four. Quelque 36.000 billets avaient été vendus entre 35 et 75 livres (45 à 96 euros) et environ 500 places avaient été offertes à des associations locales, des écoles et des organisations caritatives. "Nous allons passer une bonne soirée, c'est tout ce que j'ai toujours souhaité faire", avait promis vendredi Paul McCartney, 65 ans, sur la BBC, promettant d'interpréter de nombreux hits lors du "Liverpool sound", concert hommage à l'importante contribution de la ville à la musique. Il n'a pas déçu en démarrant son tour de chant de près de deux heures avec un "Hippy hippy shake" endiablé, puis "Jet", "Drive my car" et "The long and winding road". Au fil de vingt-six morceaux, un McCartney en pleine forme a ravivé les souvenirs de milliers de fans qui l'accompagnent depuis plus de quarante ans avec "Penny lane", "Eleanor Rigby" ou encore les tubes "Back in the USSR", "Live and let die" avec effets pyrotechniques, "Let it be", "Hey Jude" et "Yesterday". Pas besoin de fermer les yeux pour imaginer McCartney à l'époque des Fab four : vêtu d'un costume noir col cheminée et chemise blanche façon Beatles du début et silhouette de jeune homme, il semblait tout droit arriver des Sixties. L'enfant chéri de Liverpool (nord-ouest) — ville qui a fêté ses 800 ans en 2007 — était la tête d'affiche d'un spectacle de quatre heures ouvert par The Zutons, groupe "liverpudlian" en pleine ascension formé en 2001 dont le troisième album très attendu sort cette semaine. Les Kaiser chiefs, originaires de Leeds (nord), ont enflammé pendant près d'une heure et demie avec entre autres leur hit "Ruby" un public qui attendait l'entrée en lice de McCartney. Le footballeur Wayne Rooney était présent et la veuve de John Lennon, Yoko Ono, avait indiqué vendredi qu'elle y assisterait. Quant à la "superstar internationale très spéciale" annoncée par les organisateurs, il s'agissait de Dave Grohl, du groupe américain des Foo Fighters, qui a accompagné trois morceaux. Les rumeurs avaient évoqué Radiohead, les Rolling Stones ou encore U2. Macca "est une légende. Nous avons vu Ringo en janvier, Macca est encore plus grand", ont expliqué avant le spectacle Brenda Baily, 62 ans, et Maureen McCarthy, 66 ans, fans de la première heure des Beatles. Si certains étaient venus voir ou revoir l'idole de leur adolescence, les plus jeunes ont profité de cette opportunité unique d'entendre en live un monument de la musique internationale. Comme prévu, il n'y a pas eu de retrouvailles surprises avec le seul autre ex-Beatle toujours en vie, le batteur Ringo Starr qui a participé en janvier au lancement officiel de Liverpool 08, capitale européenne de la culture. Les deux hommes avaient indiqué chacun de son côté, ces derniers mois, qu'il n'y avait aucune chance que cela se produise. Le retour de McCartney sur la scène de Liverpool cinq ans jour pour jour après le dernier concert de sa tournée "Back in the World" était l'événement marquant de Liverpool 08. "Etre capitale européenne de la culture est une bonne chose. Il y a une douzaine d'années, Liverpool était sur les rotules. Aujourd'hui, on assiste à une sorte de renaissance", avait souligné McCartney sur la BBC. Les bénéfices de la soirée doivent être reversés notamment au Liverpool Institute of Performing Arts (Lipa), établissement co-fondé en 1996 par McCartney dans le bâtiment qui avait abrité son collège et où il avait rencontré George Harrison, devenu ensuite guitariste des Fab Four. Quelque 36.000 billets avaient été vendus entre 35 et 75 livres (45 à 96 euros) et environ 500 places avaient été offertes à des associations locales, des écoles et des organisations caritatives.