Plusieurs pays européens ont condamné les récents attentats terroristes qui ont provoqué la mort d'un ressortissant français et d'un chauffeur algérien à la localité de Béni Amrane (Boumerdès). Le ministre belge des Affaires étrangères, Carel De Gucht, a exprimé sa condamnation avec « la plus grande fermeté » et assuré par là même la « solidarité de la Belgique avec le gouvernement et le peuple algériens ». « Le ministre De Gucht a pris connaissance avec effroi des tragiques attentats commis en Algérie et condamne avec la plus grande fermeté ces actes terroristes », a indiqué le ministère belge des Affaires étrangères dans un communiqué diffusé hier. Il a en outre exprimé « la solidarité de la Belgique avec le gouvernement et le peuple algériens dans leur lutte contre le terrorisme et pour la réconciliation nationale ». Aussi il se dit confiant que « ceux qui veulent replonger l'Algérie dans le chaos et la guerre civile échoueront » et espère que « tous les auteurs de ces lâches attentats seront rapidement démasqués et traduits devant la justice ». De son côté, l'Espagne a vigoureusement condamné les attentats, à travers son ministère des Affaires étrangères. « Le gouvernement espagnol qui déplore cet acte criminel, réitère son soutien à l'Algérie dans sa lutte contre le terrorisme et exprime ses condoléances aux familles des victimes », a notamment affirmé le communiqué. En outre, la Russie a tenu à exprimer sa solidarité au gouvernement algérien dans sa lutte contre le terrorisme, et « condamne vigoureusement ces nouveaux actes perpétrés par des terroristes qui visent des Algériens et des étrangers ». Le ministère russe des AE a présenté ses « plus profondes condoléances aux parents et proches des victimes. Nous réaffirmons notre solidarité avec l'Algérie, pays ami, qui progresse dans la voie de la concorde et de la réconciliation nationale et dans la lutte contre les séquelles du terrorisme ». Auparavant, le président français Nicolas Sarkozy a été le premier à condamner les actes terroristes de Béni Amrane, condamnation que la secrétaire d'Etat française au commerce extérieur a réitéré à l'occasion de sa visite achevée hier à Alger, relayant en cela Bernard Kouchner, qui a appelé les entreprises françaises à rester en Algérie. Plusieurs pays européens ont condamné les récents attentats terroristes qui ont provoqué la mort d'un ressortissant français et d'un chauffeur algérien à la localité de Béni Amrane (Boumerdès). Le ministre belge des Affaires étrangères, Carel De Gucht, a exprimé sa condamnation avec « la plus grande fermeté » et assuré par là même la « solidarité de la Belgique avec le gouvernement et le peuple algériens ». « Le ministre De Gucht a pris connaissance avec effroi des tragiques attentats commis en Algérie et condamne avec la plus grande fermeté ces actes terroristes », a indiqué le ministère belge des Affaires étrangères dans un communiqué diffusé hier. Il a en outre exprimé « la solidarité de la Belgique avec le gouvernement et le peuple algériens dans leur lutte contre le terrorisme et pour la réconciliation nationale ». Aussi il se dit confiant que « ceux qui veulent replonger l'Algérie dans le chaos et la guerre civile échoueront » et espère que « tous les auteurs de ces lâches attentats seront rapidement démasqués et traduits devant la justice ». De son côté, l'Espagne a vigoureusement condamné les attentats, à travers son ministère des Affaires étrangères. « Le gouvernement espagnol qui déplore cet acte criminel, réitère son soutien à l'Algérie dans sa lutte contre le terrorisme et exprime ses condoléances aux familles des victimes », a notamment affirmé le communiqué. En outre, la Russie a tenu à exprimer sa solidarité au gouvernement algérien dans sa lutte contre le terrorisme, et « condamne vigoureusement ces nouveaux actes perpétrés par des terroristes qui visent des Algériens et des étrangers ». Le ministère russe des AE a présenté ses « plus profondes condoléances aux parents et proches des victimes. Nous réaffirmons notre solidarité avec l'Algérie, pays ami, qui progresse dans la voie de la concorde et de la réconciliation nationale et dans la lutte contre les séquelles du terrorisme ». Auparavant, le président français Nicolas Sarkozy a été le premier à condamner les actes terroristes de Béni Amrane, condamnation que la secrétaire d'Etat française au commerce extérieur a réitéré à l'occasion de sa visite achevée hier à Alger, relayant en cela Bernard Kouchner, qui a appelé les entreprises françaises à rester en Algérie.