Yamina Zerrouk, Mina pour les intimes, non, c'était Mina pour tout le monde, nous a quittés lundi des suites d'une longue maladie. Elle, dont le visage était si familier, toujours égale à elle-même et le sourire en prime. Quand elle entrait dans la maison de la presse elle lançait des bonjours à tout ce qui se trouvait sur son chemin. Battante, elle ne se laissait jamais abattre même dans les années noires qu'ont connues les journalistes : "Pas question de baisser les bras me disait-elle. Et puis j'ai confiance en ce peuple, en ces femmes qui luttent contre l'adversité. c'est mon réconfort". Femme de talent, Mina fait ses débuts à la Chaine III puis lance un magazine féminin Ounoutha qui sort épisodiquement. Elle ne se découragera pas pour autant et activera dans des associations de réseaux de communication. Bref, Mina était toujours à l'avant-garde. Elle venait de mettre sur pied un projet Web radio, mais la mort l'a emportée trop tôt, elle avait tout juste 56 ans. Yamina Zerrouk, Mina pour les intimes, non, c'était Mina pour tout le monde, nous a quittés lundi des suites d'une longue maladie. Elle, dont le visage était si familier, toujours égale à elle-même et le sourire en prime. Quand elle entrait dans la maison de la presse elle lançait des bonjours à tout ce qui se trouvait sur son chemin. Battante, elle ne se laissait jamais abattre même dans les années noires qu'ont connues les journalistes : "Pas question de baisser les bras me disait-elle. Et puis j'ai confiance en ce peuple, en ces femmes qui luttent contre l'adversité. c'est mon réconfort". Femme de talent, Mina fait ses débuts à la Chaine III puis lance un magazine féminin Ounoutha qui sort épisodiquement. Elle ne se découragera pas pour autant et activera dans des associations de réseaux de communication. Bref, Mina était toujours à l'avant-garde. Elle venait de mettre sur pied un projet Web radio, mais la mort l'a emportée trop tôt, elle avait tout juste 56 ans.