Des vétérinaires et des médecins chargés de la prévention au niveau des structures publiques de santé de six wilayas de l'est du pays participent à un séminaire ouvert mardi à l'école para- médicale de Jijel consacré essentiellement à certaines zoonoses dont la brucellose et la rage. Initié par le ministère de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière, ce séminaire, qui regroupe des représentants des wilayas de Jijel, Béjaïa, Skikda, Constantine, Sétif et Mila, a pour but d'évaluer les actions entreprises et de définir un plan d'action dans le cadre de la lutte contre les pathologies de la brucellose et de la rage. Devant se poursuivre jusqu'à jeudi et être animé par des responsables du ministère de la Santé, ce séminare s'inscrit également dans le cadre de la mise à niveau scientifique et professionnelle de vétérinaires et de médecins de la santé publique ainsi que l'échange d'informations et d'expériences sur le terrain. Lors de la cérémonie d'ouverture, des représentants du ministère de la Santé et de la direction locale du secteur ont notamment rappelé l'importance accordée à la lutte contre ces maladies transmissibles qui constituent un "problème de santé publique". Le Dr Merbout, chargée du dossier des maladies transmissibles au niveau du MSPRH, a notamment rappelé que la brucellose et la rage sont des maladies à déclaration obligatoire au terme d'une circulaire ministérielle rendue publique en mai 1982. "Cette pathologie étant encore un problème de santé publique, l'endémie brucellienne persistera tant que le réservoir animal ne sera pas contrôlé", a-t-elle indiqué dans sa communication. Elle a, dans ce sens, appelé à "plus de coordination" entre les services vétérinaires et sanitaires pour éradiquer cette pathologie qui a tendance à prendre de plus en plus d'ampleur sur le terrain et dans diverses régions du pays. Il en est de même pour la vaccination préventive et la sensibilisation, actions plus que nécessaires pour contribuer à la lutte de cette maladie. Connue auparavant sous le nom de "fièvre méditerranéenne" puis "fièvre de Malte", cette maladie a fait ses premières apparitions en 1986 à Ghardaïa (Sud) et à Tlemcen (Ouest) où de nombreux foyers ont été signalés. Plusieurs autres exposés, consacrés à la brucellose, devaient être présentés lors de cette première journée de ce séminaire régional. Le thème de la rage ainsi que le rôle du comité national et celui de wilaya de lutte contre les zoonoses seront abordés lors de la seconde journée des travaux de la rencontre. Les travaux, qui se sont déroulés dans des ateliers, seront sanctionnés par une série de recommandations à mettre en pratique sur le terrain, ont indiqué les organisateurs du séminaire. Des vétérinaires et des médecins chargés de la prévention au niveau des structures publiques de santé de six wilayas de l'est du pays participent à un séminaire ouvert mardi à l'école para- médicale de Jijel consacré essentiellement à certaines zoonoses dont la brucellose et la rage. Initié par le ministère de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière, ce séminaire, qui regroupe des représentants des wilayas de Jijel, Béjaïa, Skikda, Constantine, Sétif et Mila, a pour but d'évaluer les actions entreprises et de définir un plan d'action dans le cadre de la lutte contre les pathologies de la brucellose et de la rage. Devant se poursuivre jusqu'à jeudi et être animé par des responsables du ministère de la Santé, ce séminare s'inscrit également dans le cadre de la mise à niveau scientifique et professionnelle de vétérinaires et de médecins de la santé publique ainsi que l'échange d'informations et d'expériences sur le terrain. Lors de la cérémonie d'ouverture, des représentants du ministère de la Santé et de la direction locale du secteur ont notamment rappelé l'importance accordée à la lutte contre ces maladies transmissibles qui constituent un "problème de santé publique". Le Dr Merbout, chargée du dossier des maladies transmissibles au niveau du MSPRH, a notamment rappelé que la brucellose et la rage sont des maladies à déclaration obligatoire au terme d'une circulaire ministérielle rendue publique en mai 1982. "Cette pathologie étant encore un problème de santé publique, l'endémie brucellienne persistera tant que le réservoir animal ne sera pas contrôlé", a-t-elle indiqué dans sa communication. Elle a, dans ce sens, appelé à "plus de coordination" entre les services vétérinaires et sanitaires pour éradiquer cette pathologie qui a tendance à prendre de plus en plus d'ampleur sur le terrain et dans diverses régions du pays. Il en est de même pour la vaccination préventive et la sensibilisation, actions plus que nécessaires pour contribuer à la lutte de cette maladie. Connue auparavant sous le nom de "fièvre méditerranéenne" puis "fièvre de Malte", cette maladie a fait ses premières apparitions en 1986 à Ghardaïa (Sud) et à Tlemcen (Ouest) où de nombreux foyers ont été signalés. Plusieurs autres exposés, consacrés à la brucellose, devaient être présentés lors de cette première journée de ce séminaire régional. Le thème de la rage ainsi que le rôle du comité national et celui de wilaya de lutte contre les zoonoses seront abordés lors de la seconde journée des travaux de la rencontre. Les travaux, qui se sont déroulés dans des ateliers, seront sanctionnés par une série de recommandations à mettre en pratique sur le terrain, ont indiqué les organisateurs du séminaire.