Alors que les enseignants contractuels sont toujours en grève de la faim, le ministère de l'Education nationale les invitent à passer un concours, « conformément à la loi », s'ils veulent accéder à la titularisation. Dans un communiqué parvenu à notre rédaction, le ministère a déclaré en leur direction, que les pouvoirs publics leur offrent, cette année, «une opportunité inégalée » d'accéder à la titularisation, « conformément à la loi », avec l'ouverture « sans précédent de 27.000 postes budgétaires dont 14.000 sont destinés à l'enseignement secondaire ». Car, selon le ministère, le recrutement des fonctionnaires est « soumis » au principe de l'égal accès aux emplois publics et à l'obligation de «subir un concours », tels que, note-t-on, définis par l'ordonnance 06-03 du 15 juillet 2006 portant statut général de la fonction publique. Ainsi pour dire qu'à l'instar des administrations des autres secteurs publics, l'administration de l'Education nationale « ne peut, en aucun cas, déroger à la loi ». La même source précise, cependant, que les enseignants concernés, ayant déposés leurs candidatures, et déjà assurés des suppléances, doivent savoir qu' « une bonification liée à l'expérience professionnelle leur est affectée pour chaque année de suppléance exercée, reconnue par la fonction publique ». Mais ils doivent également savoir, indique t-on, que dans le cas où ils ne réussissent pas au concours, malgré les bonifications prévues, le ministère de l'Education est « disposé à les réemployer dans leurs postes de vacataires, en fonction des besoin du secteur ». Alors que les enseignants contractuels sont toujours en grève de la faim, le ministère de l'Education nationale les invitent à passer un concours, « conformément à la loi », s'ils veulent accéder à la titularisation. Dans un communiqué parvenu à notre rédaction, le ministère a déclaré en leur direction, que les pouvoirs publics leur offrent, cette année, «une opportunité inégalée » d'accéder à la titularisation, « conformément à la loi », avec l'ouverture « sans précédent de 27.000 postes budgétaires dont 14.000 sont destinés à l'enseignement secondaire ». Car, selon le ministère, le recrutement des fonctionnaires est « soumis » au principe de l'égal accès aux emplois publics et à l'obligation de «subir un concours », tels que, note-t-on, définis par l'ordonnance 06-03 du 15 juillet 2006 portant statut général de la fonction publique. Ainsi pour dire qu'à l'instar des administrations des autres secteurs publics, l'administration de l'Education nationale « ne peut, en aucun cas, déroger à la loi ». La même source précise, cependant, que les enseignants concernés, ayant déposés leurs candidatures, et déjà assurés des suppléances, doivent savoir qu' « une bonification liée à l'expérience professionnelle leur est affectée pour chaque année de suppléance exercée, reconnue par la fonction publique ». Mais ils doivent également savoir, indique t-on, que dans le cas où ils ne réussissent pas au concours, malgré les bonifications prévues, le ministère de l'Education est « disposé à les réemployer dans leurs postes de vacataires, en fonction des besoin du secteur ».