Première formation politique à réagir aux décisions prises lors du dernier Conseil des ministre, le RND a affiché, dans un communiqué rendu public ce jeudi, sa satisfaction quant à la batterie de mesures décidées dans le cadre de la loi des Finances complémentaire, et destinées à venir en aide aux agriculteurs. Selon ledit communiqué qui a sanctionné la réunion du bureau national du parti, les mesures en question sont de nature à «impulser l'agriculture nationale qui a bénéficié d'une réduction du prix des semences et l'annulation des intérêts des crédits bancaires.» Ces mesures ont été froidement accueillies par des professionnels du domaine, interrogés par Le Midi Libre. Eleveurs et agriculteurs ont critiqué le caractère incomplet de l'initiative gouvernementale. Celle-ci concerne un soutien indirect aux paysans, à travers notamment la suppression de la TVA sur l'aliment de bétail et la prise en charge par l'Etat des taux d'intérêts sur les crédits bancaires à l'investissement. Le RND, dont le secrétaire général occupe la fonction de chef de gouvernement, a exprimé sont total accord avec les décisions du président de la République en rapport avec l'investissement étranger. Le parti d'Ouyahia estime que les observations contenues dans le discours du chef de l'Etat devant les élus locaux sont «judicieuses» et «adaptées» à la nouvelle situation du pays. Donnant l'exemple aux autres formations politiques disposant d'élus à l'échelon local, le RND affiche sa grande disponibilité à donner suite aux «directives présidentielles». Il appelle, pour ce faire, ses élus locaux à «davantage d'efforts pour les consacrer (les directives Ndlr) sur le terrain, en tant que mécanismes de réalisation du programme tracé par le président de la République, en vue de rationaliser la contribution des assemblées locales élues à l'édification du pays.» Au plan organique, le bureau national du RND met en avant sa grande satisfaction par rapport à la restructuration rapide de ses organes au niveau local. Une chance que le FLN, autre parti au pouvoir, n'a pas pu avoir, puisqu'il traîne encore de sérieux problème au sein de sa base. Cette « performance » organique offre, contrairement au vieux parti, une image d'un parti stable qui compte jouer les premiers rôles à l'occasion de la prochaine échéance électorale. Une stabilité, d'autant plus précieuse que le grand frère, à savoir le FLN, se dirige vers un congrès extraordinaire dont l'issue est incertaine. Ainsi, après une traversé du désert, le RND se présente comme la formation politique du pouvoir. Le soutien ouvert aux récentes décisions du chef de l'Etat confirme ce nouvel état de fait. Première formation politique à réagir aux décisions prises lors du dernier Conseil des ministre, le RND a affiché, dans un communiqué rendu public ce jeudi, sa satisfaction quant à la batterie de mesures décidées dans le cadre de la loi des Finances complémentaire, et destinées à venir en aide aux agriculteurs. Selon ledit communiqué qui a sanctionné la réunion du bureau national du parti, les mesures en question sont de nature à «impulser l'agriculture nationale qui a bénéficié d'une réduction du prix des semences et l'annulation des intérêts des crédits bancaires.» Ces mesures ont été froidement accueillies par des professionnels du domaine, interrogés par Le Midi Libre. Eleveurs et agriculteurs ont critiqué le caractère incomplet de l'initiative gouvernementale. Celle-ci concerne un soutien indirect aux paysans, à travers notamment la suppression de la TVA sur l'aliment de bétail et la prise en charge par l'Etat des taux d'intérêts sur les crédits bancaires à l'investissement. Le RND, dont le secrétaire général occupe la fonction de chef de gouvernement, a exprimé sont total accord avec les décisions du président de la République en rapport avec l'investissement étranger. Le parti d'Ouyahia estime que les observations contenues dans le discours du chef de l'Etat devant les élus locaux sont «judicieuses» et «adaptées» à la nouvelle situation du pays. Donnant l'exemple aux autres formations politiques disposant d'élus à l'échelon local, le RND affiche sa grande disponibilité à donner suite aux «directives présidentielles». Il appelle, pour ce faire, ses élus locaux à «davantage d'efforts pour les consacrer (les directives Ndlr) sur le terrain, en tant que mécanismes de réalisation du programme tracé par le président de la République, en vue de rationaliser la contribution des assemblées locales élues à l'édification du pays.» Au plan organique, le bureau national du RND met en avant sa grande satisfaction par rapport à la restructuration rapide de ses organes au niveau local. Une chance que le FLN, autre parti au pouvoir, n'a pas pu avoir, puisqu'il traîne encore de sérieux problème au sein de sa base. Cette « performance » organique offre, contrairement au vieux parti, une image d'un parti stable qui compte jouer les premiers rôles à l'occasion de la prochaine échéance électorale. Une stabilité, d'autant plus précieuse que le grand frère, à savoir le FLN, se dirige vers un congrès extraordinaire dont l'issue est incertaine. Ainsi, après une traversé du désert, le RND se présente comme la formation politique du pouvoir. Le soutien ouvert aux récentes décisions du chef de l'Etat confirme ce nouvel état de fait.