La ministre de la Culture, Mme Khalida Toumi a rendu hommage dimanche au poète de la Palestine et des Arabes Mahmoud Darwich décédé samedi, soulignant que sa poésie «de la résistance, de la lutte, de l'amour et de la paix restera éternelle». «C'est une grande tragédie qui vient de nous affliger, d'emplir nos âmes de douleur et les cœurs du peuple palestinien et de la Nation arabe et musulmane et de tous les hommes libres du monde de chagrin avec la disparition du grand poète et militant, l'aède de la Palestine et son enfant fidèle Mahmoud Darwich que Dieu ait son âme», écrit Mme Toumi dans un message de condoléances adressé au ministre palestinien de la Culture. «C'est la voix retentissante de la Palestine qui nous quitte», ajoute la ministre qui regrette «la disparition de celui qui, à travers sa poésie élevée, véhiculait les espoirs et les douleurs du peuple palestinien, celui qui portait dans son âme et défendait la cause de son peuple, armé du verbe de la résistance porteur des sémantismes du combat, un verbe qui était une panacée pour les plaies, un incitant voire un mobilisateur des consciences pour la révolte et la résistance à l'injustice et à la frustration (...)». «Au summum de son apport, poursuit-elle, Darwich est parti en laissant son testament pour la Palestine, un testament qu'il avait écrit le long de son vécu à l'encre de la résistance et de la paix, aux tons éloquents qui devinrent l'abécédaire des hommes libres à travers le monde, un testament dont il a composé les notes en feu et en lumière pour en faire, en définitive, la symphonie de l'insoumission et de la paix». Pour la ministre de la Culture, feu Darwich s'est éteint «en léguant une poésie éternelle, un recueil de poèmes impérissables, une ode de la résistance, du combat, de l'amour et de la paix». Le poète «a chanté la Palestine qu'il vénérait et pour laquelle il restait fidèle, en déclamant les plus beaux hymnes», a ajouté Mme Toumi. Mahmoud Darwich «a porté la voix de la Palestine à travers le monde et en a fait une cause humanitaire pour laquelle tous les hommes libres ont pris fait et cause», écrit-elle. «Tantôt des balles et des pierres, tantôt des jasmins et des branches d'olivier», le verbe du défunt «naquit de la douleur et de la souffrance, mais aussi de la lueur d'espoir et du rêve», écrit la ministre dans son message. Les poèmes du regretté étaient «l'expression sincère à la fois du chagrin et de la joie (...) ils furent tout simplement un manifeste pour la Palestine, la Palestine de la meurtrissure et de l'espoir», a-t-elle poursuivit. «Nous devons te pleurer Darwich, car ta disparition est une perte pour nous, pour notre Nation et pour notre cause sacrée», écrit encore la ministre dans son message ajoutant que «si nous sommes profondément affligés ainsi que tous les fidèles à ton testament, c'est parce que nous n'avions guère connu un poète aussi insoumis (...) aussi épris de son peuple, de sa terre et de la paix». Et de conclure, Mme Toumi a rendu hommage aux enseignements de Darwich, notamment «la résistance, l'abnégation, l'appartenance et la loyauté pour le peuple et la patrie (...) nous te faisons aujourd'hui nos adieux Darwich, mais nous ne te perdrons jamais, car tu resteras présent par ta poésie et ta pensée». La ministre de la Culture, Mme Khalida Toumi a rendu hommage dimanche au poète de la Palestine et des Arabes Mahmoud Darwich décédé samedi, soulignant que sa poésie «de la résistance, de la lutte, de l'amour et de la paix restera éternelle». «C'est une grande tragédie qui vient de nous affliger, d'emplir nos âmes de douleur et les cœurs du peuple palestinien et de la Nation arabe et musulmane et de tous les hommes libres du monde de chagrin avec la disparition du grand poète et militant, l'aède de la Palestine et son enfant fidèle Mahmoud Darwich que Dieu ait son âme», écrit Mme Toumi dans un message de condoléances adressé au ministre palestinien de la Culture. «C'est la voix retentissante de la Palestine qui nous quitte», ajoute la ministre qui regrette «la disparition de celui qui, à travers sa poésie élevée, véhiculait les espoirs et les douleurs du peuple palestinien, celui qui portait dans son âme et défendait la cause de son peuple, armé du verbe de la résistance porteur des sémantismes du combat, un verbe qui était une panacée pour les plaies, un incitant voire un mobilisateur des consciences pour la révolte et la résistance à l'injustice et à la frustration (...)». «Au summum de son apport, poursuit-elle, Darwich est parti en laissant son testament pour la Palestine, un testament qu'il avait écrit le long de son vécu à l'encre de la résistance et de la paix, aux tons éloquents qui devinrent l'abécédaire des hommes libres à travers le monde, un testament dont il a composé les notes en feu et en lumière pour en faire, en définitive, la symphonie de l'insoumission et de la paix». Pour la ministre de la Culture, feu Darwich s'est éteint «en léguant une poésie éternelle, un recueil de poèmes impérissables, une ode de la résistance, du combat, de l'amour et de la paix». Le poète «a chanté la Palestine qu'il vénérait et pour laquelle il restait fidèle, en déclamant les plus beaux hymnes», a ajouté Mme Toumi. Mahmoud Darwich «a porté la voix de la Palestine à travers le monde et en a fait une cause humanitaire pour laquelle tous les hommes libres ont pris fait et cause», écrit-elle. «Tantôt des balles et des pierres, tantôt des jasmins et des branches d'olivier», le verbe du défunt «naquit de la douleur et de la souffrance, mais aussi de la lueur d'espoir et du rêve», écrit la ministre dans son message. Les poèmes du regretté étaient «l'expression sincère à la fois du chagrin et de la joie (...) ils furent tout simplement un manifeste pour la Palestine, la Palestine de la meurtrissure et de l'espoir», a-t-elle poursuivit. «Nous devons te pleurer Darwich, car ta disparition est une perte pour nous, pour notre Nation et pour notre cause sacrée», écrit encore la ministre dans son message ajoutant que «si nous sommes profondément affligés ainsi que tous les fidèles à ton testament, c'est parce que nous n'avions guère connu un poète aussi insoumis (...) aussi épris de son peuple, de sa terre et de la paix». Et de conclure, Mme Toumi a rendu hommage aux enseignements de Darwich, notamment «la résistance, l'abnégation, l'appartenance et la loyauté pour le peuple et la patrie (...) nous te faisons aujourd'hui nos adieux Darwich, mais nous ne te perdrons jamais, car tu resteras présent par ta poésie et ta pensée».