Une étude américaine a révélé que 10 à 20% des cas de cancers colorectaux ont une cause génétique. "Cette caractéristique génétique présente dans 10 à 20% des cas de cancers colorectaux accroît considérablement dans le cours de la vie le risque de développer cette tumeur", selon les auteurs de l'étude. Si une personne hérite de ce trait génétique de sa famille, le risqued'avoir un cancer du colon est 50% plus élevé au cours de sa vie que dans le reste de la population, où ce risque est de 6%, estiment les chercheurs de l'université Northwestern à Chicago (nord). "Cette variation d'un gène appelé TGFBR1 (Transforming growth factor beta receptor) est probablement la cause génétique la plus courante découverte à ce jour des cancers colorectaux", souligne le Dr Boris Pasche, du centre du cancer de la faculté de médecine de cette université, principal auteur de ces travaux parus dans l'édition en ligne de la revue américaine Science. "Nous allons pouvoir identifier un plus grand nombre de personnes présentant un risque élevé de développer un cancer colorectal permettant probablement de réduire sur le long terme le nombre de cas et de décès en procédant à des examens fréquents", explique le médecin. Le cancer du colon est l'un des cancers les plus communs dans les paysindustrialisés avec 149.000 nouveaux cas et 50.000 décès annuellement aux Etats-Unis, où cette maladie est la seconde cause de mortalité par cancer. Dans le monde, le cancer du colon frappe un million de personnes chaque année. Cette variation du gène TGFBR1 entraîne une diminution de la production d'un récepteur clé (TGF-beta) qui est le plus puissant frein à la croissance des cellules. La diminution de cette substance vitale pour empêcher la croissance cellulaire fait que les cellules cancéreuses du colon peuvent aisément se multiplier, précisent les chercheurs. Une étude américaine a révélé que 10 à 20% des cas de cancers colorectaux ont une cause génétique. "Cette caractéristique génétique présente dans 10 à 20% des cas de cancers colorectaux accroît considérablement dans le cours de la vie le risque de développer cette tumeur", selon les auteurs de l'étude. Si une personne hérite de ce trait génétique de sa famille, le risqued'avoir un cancer du colon est 50% plus élevé au cours de sa vie que dans le reste de la population, où ce risque est de 6%, estiment les chercheurs de l'université Northwestern à Chicago (nord). "Cette variation d'un gène appelé TGFBR1 (Transforming growth factor beta receptor) est probablement la cause génétique la plus courante découverte à ce jour des cancers colorectaux", souligne le Dr Boris Pasche, du centre du cancer de la faculté de médecine de cette université, principal auteur de ces travaux parus dans l'édition en ligne de la revue américaine Science. "Nous allons pouvoir identifier un plus grand nombre de personnes présentant un risque élevé de développer un cancer colorectal permettant probablement de réduire sur le long terme le nombre de cas et de décès en procédant à des examens fréquents", explique le médecin. Le cancer du colon est l'un des cancers les plus communs dans les paysindustrialisés avec 149.000 nouveaux cas et 50.000 décès annuellement aux Etats-Unis, où cette maladie est la seconde cause de mortalité par cancer. Dans le monde, le cancer du colon frappe un million de personnes chaque année. Cette variation du gène TGFBR1 entraîne une diminution de la production d'un récepteur clé (TGF-beta) qui est le plus puissant frein à la croissance des cellules. La diminution de cette substance vitale pour empêcher la croissance cellulaire fait que les cellules cancéreuses du colon peuvent aisément se multiplier, précisent les chercheurs.